Avis Love, Death + Robots S2

Tout comme la précédente mais à vrai dire, commencé par la dernière pour poursuivre automatiquement avec la 2, passons, voyez ça avec Netflix. Visuellement sans fausses notes, des satires XXL de la société (1 & 6) aux perfections totales (3 &7) en passant évidement par les moins jolies à mon égard (2 & 5). Le premier reste pour moi la mention spéciale tant son écho surdimensionner aux conversations robotiquement hallucinantes des télé-achats ou S.A.V. est un moment savoureusement jouissif. Quand l'artificiel devient ingérable et que le n° censé vous aidez devient à son tour, votre prie ennemie. Les bémol resteront les durées d'épisodes et de saisons ainsi que les fins "brutales" de chacun, sans suites possibles. Un tous faisant qu'à un moment donner, on fait face à un programme légèrement à la ramasse chronologique.

toujours au top ! la saison 2 gorge de bonne idée mais il n'y a pas assez d'épisode pour moi mais ça ne change pas le concept incroyablement bien réussi

Quelle déception cette saison 2 ! Pas d'humour, pas de gore, pas de trash, pas de sexe, pas de cynisme .... RIEN !!! Je suis dégoûté ! Je l'avais tellement attendu ! D'autant plus que la saison 1 avait tout cassé ! Vu les quelques commentaires déjà lu, j'ai l'impression que je ne suis pas le seul déçu... Dommage

Je suis extrêmement déçu par cette deuxième saison de Love Death + Robot. J’avais été élogieux envers la première saison, il faut dire qu’elle le méritait. 18 épisodes, au moins une dizaine de grande qualité, avec des scénarios prenants et des thèmes exploités à fond, une morale parfois, et des visuels sympas. Cette saison était excellente, exceptionnelle. Que vaut cette seconde saison de Love Death + robot ? Pas grand chose, hélas. Déjà, nous avons 8 épisodes. 8, en comparaison des 18 de la première, c’est pas fameux. Mais passons, on pourrait se dire que les 8 épisodes sont longs, particulièrement profonds et travaillés. QUE NENI ! Alors oui, on a 5 épisodes d’environ 11/13 minutes, et 2 de 18 minutes. Sauf que, déjà, vous enlevez 2 minutes 40 à chaque fois (Générique de fin, avec les crédits), ce qui réduit déjà la durée des épisodes. Ensuite, ce serait oublier que sur 8 épisodes, bah on a finalement pas grand chose. Des épisodes marquants, j’en compte 3 : Le 1 « Le robot et la vieille dame », le 3 «  Groupe d’intervention » et le 7e « Module de secours ». Aller, je rajoute le 4e « Snow et le désert » en qualité d’épisode aux beaux visuels, pour être sympa. Et c’est tout. Les 4 autres sont totalement dénués d’intérêt. Sauf peut-être le dernier, « Le géant noyé », un épisode philosophique qui clôt la saison mais quelle, saison ! Y’a pas de continuité entre les courts métrages, je veux dire, la force de la première saison, c’est que dans l’ensemble, de nombreux thèmes sont exploités, avec des épisodes parfois plus courts qui exploitent des nuances absentes des plus longs, Là, y’a pas ces épisodes nuance, chaque fois c’est diamétralement opposé. Et c’est surtout vide. La première saison, malgré ses qualités, présentait déjà ce défaut : Des épisodes qui se finissaient de façon brute, nous laissant sur notre faim, en se disant que c’était un peu bâclé. MAIS C’EST PAS GRAVE COUSIN ! C’EST LOVE DEATH + ROBOT, UNE EXPÉRIENCE, UN TRIP ! Ouais, c’était un peu l’état d’esprit dans les critiques. Sauf que ça marche que si tu as assez de matière pour que tout s’équilibre. Là, y’a littéralement pas de saison. A part les épisodes que j’ai cité, et encore, le premier passant plus pour une introduction, c’est beaucoup trop léger. « Groupe d’intervention » est le court métrage qui se démarque de tous les autres, et pour cause, il est fabuleux. Au point qu’il détonne du reste, cette saison n’atteignant, dans l’ensemble, aucun sommet. Je pense que cet épisode est ce sur quoi aurait dû se diriger cette saison : Pourquoi pas 10 courts-métrages, de 10 à 15 minutes chacun, avec cette profondeur et cette qualité. La saison aurait été plus agréable. Plus intéressante. La, en l’état, c’est une déception qui passerait presque pour une honte, tellement cette saison est loin, niveau qualité et quantité, de la première. L’inconstance des épisodes, puisque l’on passe d’un chef d’œuvre à un court métrage moyen, n’arrange pas le tout, et me rend assez inquiet au sujet de la saison 3. Quelques perles, pour un résultat d’ensemble oubliable.

Après deux ans d’attente, la série animée d’anthologie « Love, Death & Robots » de Netflix nous propose enfin son deuxième volume d’épisodes. Plus court en nombre par rapport à la première saison, ces nouveaux épisodes se relèvent pourtant autant réussis que les précédents. La qualité d’écriture et la beauté des différents graphismes demeurent toujours au rendez-vous, créant même un visuel parfois proche du réel, pour nous éblouir devant ces huit nouveaux courts métrages. Certes, moins « trash » et moins surprenantes que le premier volume sortit en 2019, ces nouvelles histoires pleines d’ambitions nous plongent dans de beaux univers passionnants. Ces différents récits à la fois angoissant, drôle, intriguant ou même émouvant ont su être à la hauteur des attentes pour plaire de nouveau.
-
17/20
Critique sur Love, Death & Robots (saison 2)
Vue du 14 au 16.05.2021 sur Netflix

Une saison bien inégale et très tournée sur l'exception graphique. La qualité est au rendez-vous, la romance bien moins.

Love, Death and Robots est une série de courts-métrages avec une durée de 8 à 20 minutes maximum par épisodes. En passant par divers genres comme l’horreur, le thriller, le fantastique ou même encore l’action les courts-métrages ne sont jamais à court de propositions avec chacune sa qualité d’image parfois très animée, parfois très cinématique, parfois très relief ou encore bien plus que ça, car parfois certains frôlent le réalisme, c’est bluffant à voir.

Tous ont leur propre qualité tantôt appréciable, tantôt moyen, mais jamais détestables, ils ont tous un intérêt en commun qui est l’amour, la mort et les robots (le titre de la série n'est pas anodin) et pour cette thèse les références sont bien présentes et quasiment innombrables avec même de nombreuses ressemblances à des œuvres et d'autres, mais l'originalité sait malgré tout toujours primer sur l'ensemble des histoires.

Enfin bref, il n'y a plus grand-chose à ajouter sur l’ensemble, l’idéale est plutôt de s’y prendre au cas par cas pour être fixé.

Toujours aussi inventif avec certains épisodes qui sont un peu effrayants. L'immortalité est l'un des thèmes traités tout comme le robot qui se dérègle et devient objet menaçant. La courte durée des épisodes rend sa vision plus facile comme une sorte de bonbon acidulé à déguster.

Très déçu par cette saison 2. Autant de très nombreux épisodes de la saison 1 restent bien gravés et on les regardent de nouveau avec plaisir, autant là, à la 1ere visualisation, on se souvient à peine de se que l'on a vu. Des épisodes très vite oubliables, sans grand intérêt pour certains, des courts-métrages qui finissent comme ça, sans trop prévenir sans réelle fin... enfin si, mais c'est à nous à continuer en imaginant la suite ou d'en tirer la conclusion ou une pseudo morale... visuellement c'est toujours très beau mais niveau scénario, la saison 2 est clairement à des kilomètres de sa grande soeur qui à placé la barre très (trop?) haut...

LOVE, DEATH + ROBOTS.
Belle nouvelle : la série de petits dessins animés SF revient sur Netflix pour un volume 2.
Avec toujours aux commandes les réalisateurs Tim Miller (Dead Pool, Terminator, ...) et David Fincher (Se7en, Zodiac, ... ) le titre résume le cahier des charges pour ces très courts métrages (moins de dix minutes) confiés à des réalisateurs différents un peu partout dans le monde, ce qui garantit des scénarios, des ambiances et des dessins très différents pour le plaisir de chacun (sauf des petits, car rappelons-le, Love & Death ça veut dire sexe et violence en VF).
Disons le franchement cette saison 2 se montre un peu inégale.
1 - Le premier épisode est le plus "robots" et fera rire jaune tous ceux qui viennent d'acquérir l'un de ces robots aspirateurs .... ah ah ah !
2 - Coup de cœur graphique pour l'épisode 2 avec sa planète glacée et ses magnifiques baleines.
3 - Ambiance polar à la Blade Runner pour un thriller où l'on pourchasse les "éleveurs" qui osent encore faire des enfants (magnifique travail sur les visages)
4 - Décors à la Star Wars (version Tatooine) ou à la Mad max pour une mystérieuse love story réalisée par un collectif français Les Andy's (avec la charmante Zita Hanrot)
8 - C'est Tim Miller lui-même qui revisite ici le mythe de Gulliver en adaptant une nouvelle de J.G. Ballard.
Vivement une sortie sur grand écran.
Du coup il ne faut surtout pas manquer de (re-)visionner le volume 1, celui de 2019, avec un très grand plaisir (entièrement renouvelé, c'est garanti).