Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Le Parisien
par Renaud Baronian
"(...) Si Halston, après un démarrage un peu trop en douceur, monte rapidement en gamme, c’est grâce à son interprète principal. (...) À la fois cassant, étincelant, orgueilleux, déchaîné, abattu, hilarant, sinistre, séduisant et émouvant, sans cesse sur la brèche, le comédien impressionne dans tous ces registres qu’il nuance avec brio, livrant une prestation rare et sidérante qui vaut à elle seule le coup d’œil."
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Cecilia Delporte
A l'heure des années sida, la série Halston témoigne aussi de la fin d'une époque, d'une certaine insouciance, où les sirènes de la fête ont finalement laissé place à une dure réalité. Toujours aussi inspiré, Ryan Murphy réussi son pari avec une narration efficace, mêlant à un sens certain du dialogue une bonne dose de fantaisie, le tout porté comme à son habitude par une esthétique très léchée.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Alexandre Büyükodabas
Force est de constater qu’à l’audace provocante à laquelle nous a habitué·e·s Ryan Murphy, Halston substitue un classicisme cousu de fil blanc, sans fulgurance ni emphase, et une mise en scène un peu terne marquée par une économie de moyens.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Charles Martin
(...) Le prolifique Ryan Murphy signe pour Halston un biopic nettement plus conventionnel. Le scénariste (...) déroule son histoire de Cendrillon avec une forme de classicisme qu'on ne lui connaissait guère. Une narration linéaire quelque peu paresseuse, depuis sa jeunesse miséreuse au fin fond du très conservateur état d'Indiana, puis ses débuts prometteurs à New York, avant la gloire et la fortune dans les années 70, et la déchéance dans les années 1980.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Lucas Armati
Pièce mineure dans l’œuvre de Murphy, la chronique n’échappe à aucun incontournable du genre. Moins ambitieuse que Hollywood, plus anecdotique que The Assassination of Gianni Versace, elle n’en demeure pas moins attendrissante, par l’implication remarquable de ses interprètes et le regard sincère d’admiration qu’elle porte sur Halston – un grand enfant profondément vulnérable qui, par peur de ne pas être aimé, protégé, financé, s’alliera très tôt avec des investisseurs peu scrupuleux, qui causeront sa perte.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Audrey Fournier
La réalisation, confiée au chevronné Daniel Minahan, est à l’avenant : fluide, classieuse mais un poil rébarbative par moments. Et au final, tout cela sonne un peu creux. Pour le coup de poing dans le ventre, il faudra encore attendre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Vanity Fair
par Norine Raja
N’assumant ni complètement le portrait intimiste, ni ses aspects les plus clinquants, la série s’achève sur l’épisode le plus déchirant, mais laisse toutefois une impression d’inachevé. Celle de n’avoir toujours pas saisi le mystère de l’homme à la cigarette, d’avoir observé Halston à défaut de comprendre Roy.
La critique complète est disponible sur le site Vanity Fair
Le Figaro
par La Rédaction
Malgré le charisme d'Ewan McGregor dans la peau de celui qui détestait les sous-vêtements et imaginait des robes fluides cousues au plus près du corps, ces cinq épisodes manquent de souffle. Ils effleurent à peine l'apparition du sida, l'effervescence du Studio 54, ses folles nuits et ses excès, dont Halston était un habitué. En pilotage automatique, ce portrait apathique d'un génie en souffrance se brûlant les ailes fleure bon, côté mise en scène, le mauvais téléfilm.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
"(...) Si Halston, après un démarrage un peu trop en douceur, monte rapidement en gamme, c’est grâce à son interprète principal. (...) À la fois cassant, étincelant, orgueilleux, déchaîné, abattu, hilarant, sinistre, séduisant et émouvant, sans cesse sur la brèche, le comédien impressionne dans tous ces registres qu’il nuance avec brio, livrant une prestation rare et sidérante qui vaut à elle seule le coup d’œil."
Les Echos
A l'heure des années sida, la série Halston témoigne aussi de la fin d'une époque, d'une certaine insouciance, où les sirènes de la fête ont finalement laissé place à une dure réalité. Toujours aussi inspiré, Ryan Murphy réussi son pari avec une narration efficace, mêlant à un sens certain du dialogue une bonne dose de fantaisie, le tout porté comme à son habitude par une esthétique très léchée.
Les Inrockuptibles
Force est de constater qu’à l’audace provocante à laquelle nous a habitué·e·s Ryan Murphy, Halston substitue un classicisme cousu de fil blanc, sans fulgurance ni emphase, et une mise en scène un peu terne marquée par une économie de moyens.
Première
(...) Le prolifique Ryan Murphy signe pour Halston un biopic nettement plus conventionnel. Le scénariste (...) déroule son histoire de Cendrillon avec une forme de classicisme qu'on ne lui connaissait guère. Une narration linéaire quelque peu paresseuse, depuis sa jeunesse miséreuse au fin fond du très conservateur état d'Indiana, puis ses débuts prometteurs à New York, avant la gloire et la fortune dans les années 70, et la déchéance dans les années 1980.
Télérama
Pièce mineure dans l’œuvre de Murphy, la chronique n’échappe à aucun incontournable du genre. Moins ambitieuse que Hollywood, plus anecdotique que The Assassination of Gianni Versace, elle n’en demeure pas moins attendrissante, par l’implication remarquable de ses interprètes et le regard sincère d’admiration qu’elle porte sur Halston – un grand enfant profondément vulnérable qui, par peur de ne pas être aimé, protégé, financé, s’alliera très tôt avec des investisseurs peu scrupuleux, qui causeront sa perte.
Le Monde
La réalisation, confiée au chevronné Daniel Minahan, est à l’avenant : fluide, classieuse mais un poil rébarbative par moments. Et au final, tout cela sonne un peu creux. Pour le coup de poing dans le ventre, il faudra encore attendre.
Vanity Fair
N’assumant ni complètement le portrait intimiste, ni ses aspects les plus clinquants, la série s’achève sur l’épisode le plus déchirant, mais laisse toutefois une impression d’inachevé. Celle de n’avoir toujours pas saisi le mystère de l’homme à la cigarette, d’avoir observé Halston à défaut de comprendre Roy.
Le Figaro
Malgré le charisme d'Ewan McGregor dans la peau de celui qui détestait les sous-vêtements et imaginait des robes fluides cousues au plus près du corps, ces cinq épisodes manquent de souffle. Ils effleurent à peine l'apparition du sida, l'effervescence du Studio 54, ses folles nuits et ses excès, dont Halston était un habitué. En pilotage automatique, ce portrait apathique d'un génie en souffrance se brûlant les ailes fleure bon, côté mise en scène, le mauvais téléfilm.