Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
indieWIRE
par Steve Greene
Alors que les oscillations émotionnelles de la série illustrent les différents états dans lesquels se trouve Syd, [Sophia] Lillis parvient à faire le lien entre elles (...) Pendant les rares moments où Syd, Dina et Stan peuvent opérer en tant que groupe, la série nous donne une petite idée de ce qu'elle pourrait devenir si elle va au-delà de ces sept premiers chapîtres. Même quand ils sont séparés, I Am Not Okay With This existe à l'intersection de son rythme et de son étendue, qui donne à l'histoire de Syd la place nécessaire pour respirer.
La critique complète est disponible sur le site indieWIRE
Collider
par Lauren Thoman
En tant que comédie ado sombre sur fond de passage à l'âge adulte, I Am Not Okay With This fonctionne totalement, en présentant des personnages attachants, un humour malin et un jeune casting immensément talentueux. Mais en tant que comédie ado sombre sur fond de passage à l'âge adulte d'une adolescente dotée de super pouvoirs, elle ne trouve jamais vraiment son équilibre (...) Pourtant, si l'on considère qu'I Am Not Okay With This réussit plus souvent qu'il n'échoue et qu'une intrigue maladroite sur des super pouvoirs est tout ce qu'il me faut pour pouvoir passer une autre saison avec ces personnages, je pense que cela me va.
La critique complète est disponible sur le site Collider
TV Guide
par Kaitlin Thomas
Les thèmes que la série aborde ne sont pas fondamentalement nouveaux ou uniques, et Sydney peut parfois se révéler être une héroïne frustrante, mais je répondrais que c'est le but et que c'est aussi ce pourquoi la série est une réussite en tant que vecteur de l'ennui adolescent.
La critique complète est disponible sur le site TV Guide
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
Pas foncièrement original, I Am Not Okay With This reste terriblement attendrissant et divertissant. En mêlant admirablement comédie, conte surnaturel et référence aux classiques du genre, la série livre sa version du récit iniatique portée par une impériale.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Entertainment weekly
par Kristen Baldwin
, dans sa première saison du moins, suivait un arc narratif clair - un ado psychopathe qui découvre son humanité - tandis que I Am Not Okay With This dilue sa saga sur la perte et le découverte de soi dans un vacarme supernaturel qui n'était pas nécessaire (...) Les stars de ont une alchimie douce et confortable.
La critique complète est disponible sur le site Entertainment weekly
New York Times
par James Poniewozik
I Am Not Okay With This ne vous surprendra peut-être pas beaucoup, mais elle a du charme et de la voix à revendre. Et contrairement à la tendance qu'ont les séries en streaming à s'étirer, elle se compose de sept épisodes énergiques d'environ vingt minutes chacun.
La critique complète est disponible sur le site New York Times
Slant Magazine
par Steven Scalfe
La série est à son meilleur lorsque ses personnages passent du temps ensemble, à ne rien faire, ou qu'ils ont le sentiment d'être prisonniers ou qu'ils refoulent ce qu'ils veulent se dire. Mais il est déçevant de voir que cette première saison s'achève en courant après l'ombre de , alors que son atmosphère et ses riches personnages permettent à cette histoire autrement familière de se démarquer.
La critique complète est disponible sur le site Slant Magazine
Première
par Charles Martin
Indéniablement, on retrouve la même vibe dépressive [que dans ], la même ambiance maussade, la même atmosphère désabusée, dans ce nouveau drama adolescent de Netflix, qui coche toutes les cases du genre. Un peu trop d'ailleurs. La série ne nous épargne aucun cliché et se vautre dans l'image marginale qu'elle espère tellement renvoyer. Heureusement, les jeunes membres de la distribution font un travail remarquable pour apporter beaucoup de nuance et d'humanité à ces ados en quête d'identité (...) Sauf que cette première saison ne dure que 7 épisodes de 20 minutes, et la mythologie surnaturelle a à peine le temps de se dessiner que déjà, on nous renvoie à la saison 2.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Alan Sepinewall
Cette nouvelle série (...) a à peine commencé lorsque le final se termine, et sa conclusion soulève d'intrigantes questions pour une éventuelle suite. Espérons qu'une suite nous offre une histoire plus solide digne de la juste colère de son héroïne.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
The A.V. Club
par Angelica Cataldo
L'intrigue et l'histoire sont simples, linéaires et plus qu'un peu familières, mais [Sophia] porte avec succès cette première saison vers sa fin gore et pleine de suspense. Sans cette approche fraîche sur la façon dont un "super-héros" doit se comporter, la série tombe à plat dans sa manière de ne rien développer d'autre qu'un chemin prévisible vers l'acceptation de soi.
La critique complète est disponible sur le site The A.V. Club
The Guardian
par Lucy Mangan
Le vrai plaisir réside dans la formidable performance de [Sophia] , qui parvient à exprimer les profondeurs et la torpeur de la perte qui se cachent derrière la fureur adolescente plus ordinaire et la frustration que cachent la pose de l'indifférence sardonique (...) Il y a [chez elle] des bouts de , de la Lindsay de (Stanley aurait aussi sa place ici), Janis de et d'Angela Chase, pilier de la regrettée .
La critique complète est disponible sur le site The Guardian
The Hollywood Reporter
par Dan Flenberg
La brièveté n'est pas nécessairement la meilleure qualité d'I Am Not Okay With This et mon plus gros reproche à l'issue de cette première saison, c'est que j'en voulais, ou qu'il m'en fallait, plus - plus de saisons, mais également plus de profondeur et d'histoire et juste un peu de fraîcheur.
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
The Telegraph
par Amy Jones
Dans un univers alternatif, il existe une version d'I Am Not Okay With This qui dure douze épisodes au lieu de [sept], avec du temps pour explorer convenablement les choses qui se passent dans la vie de Sydney et où une série solide progresse vers une conclusion satisfaisante au lieu de subitement devenir intéressante autour de l'épisode 6. À la place, nous avons... ça. Et bien que cela me convienne totalement, ça ne va pas plus loin - et je regrette beaucoup que nous n'ayons pas eu la série brillante qu'elle aurait pu être.
La critique complète est disponible sur le site The Telegraph
Variety
par Caroline Framke
Cette exécution terne d'idées potentiellement intéressantes hante I Am Not Okay With This de plus d'une manière. Les deux twists marquants de l'histoire - les pouvoirs de Sydney et l'explication de la mort de son père - se devéloppent trop lentement dans la mesure où cette saison n'a que sept épisodes pour le faire.
La critique complète est disponible sur le site Variety
indieWIRE
Alors que les oscillations émotionnelles de la série illustrent les différents états dans lesquels se trouve Syd, [Sophia] Lillis parvient à faire le lien entre elles (...) Pendant les rares moments où Syd, Dina et Stan peuvent opérer en tant que groupe, la série nous donne une petite idée de ce qu'elle pourrait devenir si elle va au-delà de ces sept premiers chapîtres. Même quand ils sont séparés, I Am Not Okay With This existe à l'intersection de son rythme et de son étendue, qui donne à l'histoire de Syd la place nécessaire pour respirer.
Collider
En tant que comédie ado sombre sur fond de passage à l'âge adulte, I Am Not Okay With This fonctionne totalement, en présentant des personnages attachants, un humour malin et un jeune casting immensément talentueux. Mais en tant que comédie ado sombre sur fond de passage à l'âge adulte d'une adolescente dotée de super pouvoirs, elle ne trouve jamais vraiment son équilibre (...) Pourtant, si l'on considère qu'I Am Not Okay With This réussit plus souvent qu'il n'échoue et qu'une intrigue maladroite sur des super pouvoirs est tout ce qu'il me faut pour pouvoir passer une autre saison avec ces personnages, je pense que cela me va.
TV Guide
Les thèmes que la série aborde ne sont pas fondamentalement nouveaux ou uniques, et Sydney peut parfois se révéler être une héroïne frustrante, mais je répondrais que c'est le but et que c'est aussi ce pourquoi la série est une réussite en tant que vecteur de l'ennui adolescent.
Ecran Large
Pas foncièrement original, I Am Not Okay With This reste terriblement attendrissant et divertissant. En mêlant admirablement comédie, conte surnaturel et référence aux classiques du genre, la série livre sa version du récit iniatique portée par une impériale.
Entertainment weekly
, dans sa première saison du moins, suivait un arc narratif clair - un ado psychopathe qui découvre son humanité - tandis que I Am Not Okay With This dilue sa saga sur la perte et le découverte de soi dans un vacarme supernaturel qui n'était pas nécessaire (...) Les stars de ont une alchimie douce et confortable.
New York Times
I Am Not Okay With This ne vous surprendra peut-être pas beaucoup, mais elle a du charme et de la voix à revendre. Et contrairement à la tendance qu'ont les séries en streaming à s'étirer, elle se compose de sept épisodes énergiques d'environ vingt minutes chacun.
Slant Magazine
La série est à son meilleur lorsque ses personnages passent du temps ensemble, à ne rien faire, ou qu'ils ont le sentiment d'être prisonniers ou qu'ils refoulent ce qu'ils veulent se dire. Mais il est déçevant de voir que cette première saison s'achève en courant après l'ombre de , alors que son atmosphère et ses riches personnages permettent à cette histoire autrement familière de se démarquer.
Première
Indéniablement, on retrouve la même vibe dépressive [que dans ], la même ambiance maussade, la même atmosphère désabusée, dans ce nouveau drama adolescent de Netflix, qui coche toutes les cases du genre. Un peu trop d'ailleurs. La série ne nous épargne aucun cliché et se vautre dans l'image marginale qu'elle espère tellement renvoyer. Heureusement, les jeunes membres de la distribution font un travail remarquable pour apporter beaucoup de nuance et d'humanité à ces ados en quête d'identité (...) Sauf que cette première saison ne dure que 7 épisodes de 20 minutes, et la mythologie surnaturelle a à peine le temps de se dessiner que déjà, on nous renvoie à la saison 2.
Rolling Stone
Cette nouvelle série (...) a à peine commencé lorsque le final se termine, et sa conclusion soulève d'intrigantes questions pour une éventuelle suite. Espérons qu'une suite nous offre une histoire plus solide digne de la juste colère de son héroïne.
The A.V. Club
L'intrigue et l'histoire sont simples, linéaires et plus qu'un peu familières, mais [Sophia] porte avec succès cette première saison vers sa fin gore et pleine de suspense. Sans cette approche fraîche sur la façon dont un "super-héros" doit se comporter, la série tombe à plat dans sa manière de ne rien développer d'autre qu'un chemin prévisible vers l'acceptation de soi.
The Guardian
Le vrai plaisir réside dans la formidable performance de [Sophia] , qui parvient à exprimer les profondeurs et la torpeur de la perte qui se cachent derrière la fureur adolescente plus ordinaire et la frustration que cachent la pose de l'indifférence sardonique (...) Il y a [chez elle] des bouts de , de la Lindsay de (Stanley aurait aussi sa place ici), Janis de et d'Angela Chase, pilier de la regrettée .
The Hollywood Reporter
La brièveté n'est pas nécessairement la meilleure qualité d'I Am Not Okay With This et mon plus gros reproche à l'issue de cette première saison, c'est que j'en voulais, ou qu'il m'en fallait, plus - plus de saisons, mais également plus de profondeur et d'histoire et juste un peu de fraîcheur.
The Telegraph
Dans un univers alternatif, il existe une version d'I Am Not Okay With This qui dure douze épisodes au lieu de [sept], avec du temps pour explorer convenablement les choses qui se passent dans la vie de Sydney et où une série solide progresse vers une conclusion satisfaisante au lieu de subitement devenir intéressante autour de l'épisode 6. À la place, nous avons... ça. Et bien que cela me convienne totalement, ça ne va pas plus loin - et je regrette beaucoup que nous n'ayons pas eu la série brillante qu'elle aurait pu être.
Variety
Cette exécution terne d'idées potentiellement intéressantes hante I Am Not Okay With This de plus d'une manière. Les deux twists marquants de l'histoire - les pouvoirs de Sydney et l'explication de la mort de son père - se devéloppent trop lentement dans la mesure où cette saison n'a que sept épisodes pour le faire.