Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Le Journal du Geek
par Julie Hay
Déroutante, la nouvelle proposition des créateurs de Dark a tout pour s’imposer comme notre nouvelle obsession. Le navire 1899 fonce tout droit vers le succès, avec à son bord la dose de mystère qui faisait la réputation de son aînée et une nouvelle approche du puzzle fantastique. La série Titanic tout !
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
indieWIRE
par Steve Greene
"1899", comme "Dark", tire certainement sa force de ses propres révélations. Que la rétention d'informations clés soit ou non quelque chose qui fonctionne en faveur de "1899", il existe au moins une structure méthodique à la folie du navire hanté. À bien des égards, il est utile d'être aussi à la dérive et désemparé que les personnages qui jouent l'histoire devant vous.
La critique complète est disponible sur le site indieWIRE
Collider
par Marco Vito Oddo
Pour qu'une série soit un succès à long terme, il doit y avoir des personnages dont il faut se soucier avec des histoires significatives. Et si 1899 réussit à construire un puzzle à la fois brillant et accessible, elle échoue à nous faire applaudir l'avenir de ses meilleurs personnages. Lorsque l'apparaît le générique de fin de la saison, tant de choses ont été subverties que les victoires et les échecs de ces personnages n'ont plus de but.
La critique complète est disponible sur le site Collider
Ecran Large
par Lino Cassinat
1899 ne réussit pas tout ce qu'elle entreprend, mais s'avère être une proposition forte dans un genre trop rare. L'envoûtement fonctionne et c'est avec plaisir que l'on erre hagard dans l'inquiétante étrangeté de 1899, dont on attend tout de même des futures saisons un peu moins de dispersion et des personnages plus poussés
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Les Inrockuptibles
par Léo Moser
Passé·es maîtres dans les récits à énigmes, maniant le mindfuck avec métier, Jantje Friese et Baran bo Odar signent une nouvelle série intrigante, par moments envoûtante. On pourra néanmoins lui reprocher un sérieux papal un peu plombant (à l’inverse de Lost par exemple) et des personnages unidimensionnels qui tirent invariablement la gueule, débitant intensément des dialogues solennels pas toujours à la hauteur de l’ambition de la série.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Emilie Gavoille
La tonalité sombre et anxiogène qui teinte les trois premiers épisodes de 1899 – les seuls que nous ayons pu voir en amont – ne surprendra pas les amateurs de Dark, la précédente production en trois saisons (sur Netflix) qui avait révélé Baran bo Odar et Jantje Friese. Encore une fois, le tandem de créateurs allemands navigue dans les replis du temps avec cette série d’angoisse en costumes qui avance sur le fil entre réel et imaginaire, peinture d’époque et hallucinations horrifiques.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Variety
par Mike McCahill
"1899" est en fait plusieurs séries à la fois et une partie du puzzle consiste à déterminer laquelle elle veut être véritablement. Malgré une interpolation souvent pleine d'esprit de la pop du XXe siècle ("The Killing Moon", "Don't Fear the Reaper", "White Rabbit"), l'absence d'humour qui prévaut devient lassante au bout d'un moment. Comme avec "Westworld", récemment annulée, le jeu ne vous laisse pas avec un sourire, mais avec un sourcil froncé.
La critique complète est disponible sur le site Variety
The Guardian
par Leila Latif
Les épisodes de "1899" vont de langoureux à exténuants, rampant vers le prochain point de l'intrigue avec un niveau de retenue souvent angoissant.
La critique complète est disponible sur le site The Guardian
Le Journal du Geek
Déroutante, la nouvelle proposition des créateurs de Dark a tout pour s’imposer comme notre nouvelle obsession. Le navire 1899 fonce tout droit vers le succès, avec à son bord la dose de mystère qui faisait la réputation de son aînée et une nouvelle approche du puzzle fantastique. La série Titanic tout !
indieWIRE
"1899", comme "Dark", tire certainement sa force de ses propres révélations. Que la rétention d'informations clés soit ou non quelque chose qui fonctionne en faveur de "1899", il existe au moins une structure méthodique à la folie du navire hanté. À bien des égards, il est utile d'être aussi à la dérive et désemparé que les personnages qui jouent l'histoire devant vous.
Collider
Pour qu'une série soit un succès à long terme, il doit y avoir des personnages dont il faut se soucier avec des histoires significatives. Et si 1899 réussit à construire un puzzle à la fois brillant et accessible, elle échoue à nous faire applaudir l'avenir de ses meilleurs personnages. Lorsque l'apparaît le générique de fin de la saison, tant de choses ont été subverties que les victoires et les échecs de ces personnages n'ont plus de but.
Ecran Large
1899 ne réussit pas tout ce qu'elle entreprend, mais s'avère être une proposition forte dans un genre trop rare. L'envoûtement fonctionne et c'est avec plaisir que l'on erre hagard dans l'inquiétante étrangeté de 1899, dont on attend tout de même des futures saisons un peu moins de dispersion et des personnages plus poussés
Les Inrockuptibles
Passé·es maîtres dans les récits à énigmes, maniant le mindfuck avec métier, Jantje Friese et Baran bo Odar signent une nouvelle série intrigante, par moments envoûtante. On pourra néanmoins lui reprocher un sérieux papal un peu plombant (à l’inverse de Lost par exemple) et des personnages unidimensionnels qui tirent invariablement la gueule, débitant intensément des dialogues solennels pas toujours à la hauteur de l’ambition de la série.
Télérama
La tonalité sombre et anxiogène qui teinte les trois premiers épisodes de 1899 – les seuls que nous ayons pu voir en amont – ne surprendra pas les amateurs de Dark, la précédente production en trois saisons (sur Netflix) qui avait révélé Baran bo Odar et Jantje Friese. Encore une fois, le tandem de créateurs allemands navigue dans les replis du temps avec cette série d’angoisse en costumes qui avance sur le fil entre réel et imaginaire, peinture d’époque et hallucinations horrifiques.
Variety
"1899" est en fait plusieurs séries à la fois et une partie du puzzle consiste à déterminer laquelle elle veut être véritablement. Malgré une interpolation souvent pleine d'esprit de la pop du XXe siècle ("The Killing Moon", "Don't Fear the Reaper", "White Rabbit"), l'absence d'humour qui prévaut devient lassante au bout d'un moment. Comme avec "Westworld", récemment annulée, le jeu ne vous laisse pas avec un sourire, mais avec un sourcil froncé.
The Guardian
Les épisodes de "1899" vont de langoureux à exténuants, rampant vers le prochain point de l'intrigue avec un niveau de retenue souvent angoissant.