Critiques spectateurs
Critiques presse
Note moyenne
3,0
5 titres de presse

Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

5 critiques presse

Le Parisien

par Stéphanie Guerrin

Si Ragnarök n'a pas la force de Borgen ou d'Au nom du père, elle reste assez surprenante pour nous captiver de bout en bout. Notamment grâce à son atmosphère magnétique accentuée par ses paysages de fjords norvégiens majestueux.

La critique complète est disponible sur le site Le Parisien

Le Journal du Geek

par Julie Hay

Sans révolutionner le genre, Ragnarök propose une réécriture intéressante des légendes nordiques. La série, destinée aux adolescents pourra aussi séduire les amateurs de fantastique, curieux de découvrir cette origin story. Après avoir visionné cinq épisodes de la série qui en comporte six, on a hâte d’en découvrir plus. Ragnarök n’est sans doute pas un coup de foudre, mais aura provoqué quelques étincelles.

La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek

Les Inrockuptibles

par Alexandre Buyukodabas

"Ragnarok" invoque le folklore scandinave à l’heure de l’urgence écologique mais peine à manier le registre fantastique.

La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

Ecran Large

par Déborah Lechner

Le traitement de la série n'est pas dénué d'intérêt, au contraire, (...) mais la série utilise les dieux et géants nordiques comme appâts et la narration peine à concilier ses ambitions environnementales et mythologiques. En vidant le Ragnarök de toute sa portée fantastique, Ragnarök livre un message fort, mais aussi terriblement assommant.

La critique complète est disponible sur le site Ecran Large

Télérama

par Isabelle Poitte

Cette première saison peine à convaincre parce qu’elle semble avoir été écrite comme une longue introduction à une saison 2… Et Price se révèle beaucoup moins à l’aise avec les émotions de l’adolescence qu’avec les arcanes de la politique (comme dans Borgen) et de l’Église luthérienne (Au nom du père). (...) Avant la fin du monde, une première grande bataille aura bien lieu : contre l’ennui.

La critique complète est disponible sur le site Télérama