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    Cheyenne et Lola
    Critiques spectateurs
    Critiques presse
    Note moyenne
    3,5
    9 titres de presse
    • Télé Loisirs
    • Le Monde
    • Le Parisien
    • Les Echos
    • Première
    • Télé Câble Sat
    • La Voix du Nord
    • Les Inrockuptibles
    • Télérama

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    9 critiques presse

    Télé Loisirs

    par Anne Lenoir

    Un polar sociétal très réussi, à la réalisation impeccable.

    La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs

    Le Monde

    par Thomas Sotinel

    Plus se dessinent nettement les lignes de l’affrontement entre les deux clans, plus se lézarde la façade de réalisme, pour laisser apparaître les couleurs vives d’une fantaisie sombre et violente qui fait parfois penser au parcours du héros d’Un prophète, le film de Jacques Audiard. 

    La critique complète est disponible sur le site Le Monde

    Le Parisien

    par Stéphanie Guerrin

    Tout cela donne un western moderne avec également des accents de « Thelma et Louise », formidablement réalisé par le Flamand Eshref Reybrouck. Une réussite impossible sans le parfait duo de comédiennes que forment la Belge Veerle Baetens et la Québécoise Charlotte Le Bon. 

    La critique complète est disponible sur le site Le Parisien

    Les Echos

    par Cecilia Delporte

    Mais loin de raconter une cavale, une fuite en avant, « Cheyenne et Lola » relate plutôt une impasse, un huis clos, où chaque personnage joue un double jeu. Loin de sombrer dans le misérabilisme, la série se veut à la fois drôle et émouvante, joyeuse et tragique. On y découvre l'émancipation de deux femmes, face à des figures masculines oppressantes.

    La critique complète est disponible sur le site Les Echos

    Première

    par Damien Leblanc

    Mais Cheyenne et Lola, qui se revendique aussi de Breaking Bad, raconte moins une cavale que le combat de personnages entravés faisant du surplace dans un quotidien soumis au trafic de migrants et aux combines en tous genres. Si l’humour et la fantaisie s’avèrent parfois au rendez-vous, la force de cette série est d’assumer jusqu’au bout sa dimension tragique et de faire naître dans les ultimes minutes une émotion insoupçonnée.

    La critique complète est disponible sur le site Première

    Télé Câble Sat

    par La rédaction

    La mécanique du polar est savamment et patiemment enclenchée, permettant à l'ensemble de gagner en intensité dramatique au fil des épisodes. Malgré certaines longueurs, la série est un attachant et puissant portrait de femmes blessées par la vie, la société et les hommes.

    La critique complète est disponible sur le site Télé Câble Sat

    La Voix du Nord

    par Lucie Vidal

    La créatrice, Virginie Brac (Engrenages saison 2), autrice de romans noirs, nous offre une galerie de personnages féminins hauts en couleur et un ensemble d’archétypes du western avec le bon (Alban Lenoir, en flic idéaliste, de retour dans le Nord, amour de jeunesse de Cheyenne (tiens tiens), la brute et le truand. Ambiance western, donc, parfaitement saisie par la réalisation d’Eshref Reybrouck qui offre une vision originale de ce Nord qu’on connaît bien.

    La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord

    Les Inrockuptibles

    par Alexandre Büyükodabas

    Tout ne fonctionne pas dans "Cheyenne et Lola", tantôt trop déférente envers ses modèles de fiction (d’où une mécanique de récit un peu rigide et soumise à une tentation esthétisante), ou très appuyée dans ses intentions (notamment celle de filmer de “vraies” gens avec de “vrais” problèmes). Mais lorsque ces deux pôles s’équilibrent, elle parvient à inscrire sa galerie de personnages dans une géographie solide et à construire, pas à pas, le récit d’une émancipation féminine.

    La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

    Télérama

    par Marianne Levy

    À se vouloir sociale, western, politique et conte, la série sombre dans une narration glauque et caricaturale parfois jusqu’au ridicule. Aucun des personnages ne se voit offerte la possibilité d’exister autrement que de manière monolithique. Prisonniers d’une écriture qui à refuser de choisir finit par ne rien dire et d’une réalisation dont la sophistication affectée écrase la moindre étincelle d’humanité.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama
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