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Du cliché, du cliché et encore du cliché. Idéal pour ceux qui pensent que leur vie de quartier est stylée et ceux qui la fantasme. Mais si on analyse le fond c'est très très faible et Kitsch.
Autant la saison 1 était prenante, addictive parce que bien écrite et grâce au talent de certains acteurs, malgré quelques clichés bien sûr, il y avait une grosse énergie.
Autant dans la saison 2 ils ont donné dans la facilité. Plus trop de créativité, limite bâclé, même les acteurs n'ont pas l'air d'être vraiment concerné, on ressuscite même des morts ( mais bon heureusement finalement peut-être), on donne dans le politiquement correct et on se soumet à la propagande et au bourrage de crâne actuels, à croire que c'est inscrit dans le cahier des charges des séries Canal dorénavant, comme ça l'est sur d'autres chaines et chez les annonceurs.
Je vois pas comment une saison 3 pourrait être possible
Autant dans la saison 2 ils ont donné dans la facilité. Plus trop de créativité, limite bâclé, même les acteurs n'ont pas l'air d'être vraiment concerné, on ressuscite même des morts ( mais bon heureusement finalement peut-être), on donne dans le politiquement correct et on se soumet à la propagande et au bourrage de crâne actuels, à croire que c'est inscrit dans le cahier des charges des séries Canal dorénavant, comme ça l'est sur d'autres chaines et chez les annonceurs.
Je vois pas comment une saison 3 pourrait être possible
Yetcha
Une super série autour du rap et de la dénonciation de ce milieu gangréné par des égos surdimensionnés, la violence et les trafics en tout genres. Car ne nous faisons pas d'illusion, nombreux sont ceux qui traînent avec des personnes non recommandables, voire sont elles-mêmes des personnes non recommandables. Si la saison 2 appuie moins sur le rap en lui-même, la première est vraiment au cœur de la musique. Super production de Canal.
L'exemple type d'une deuxième saison qui n'apporte rien à la première... En réutilisant les mêmes codes narratifs que lors de l'ascension d'Apash, la route vers la gloire de l'Alpha ne comporte aucune originalité ni surprise -
spoiler:
sinon en passant de l'arrêt du trafic de drogue à l'éloignement d'un ex conjoint gangster
. Comme souvent malheureusement, on vise la surenchère, tant dans les facilités du scénario, le simplisme des personnages (le plus plaisant à suivre devenant Mounir!), les scènes entre malfrats, au lieu de développer le monde des médias ou des studios (option intéressante immédiatement abandonnée!) et de proposer une trajectoire diverse. Ainsi, les acteurs se retrouvent avec bien peu d'émotions et d'enjeux à interpréter, tandis que le spectateur se lasse devant une réécriture fainéante des huit premiers épisodes (pourquoi avoir étendu à neuf cette fois?!) sans se sentir véritablement concerné par le sort de l'héroïne... Très décevant!
. Comme souvent malheureusement, on vise la surenchère, tant dans les facilités du scénario, le simplisme des personnages (le plus plaisant à suivre devenant Mounir!), les scènes entre malfrats, au lieu de développer le monde des médias ou des studios (option intéressante immédiatement abandonnée!) et de proposer une trajectoire diverse. Ainsi, les acteurs se retrouvent avec bien peu d'émotions et d'enjeux à interpréter, tandis que le spectateur se lasse devant une réécriture fainéante des huit premiers épisodes (pourquoi avoir étendu à neuf cette fois?!) sans se sentir véritablement concerné par le sort de l'héroïne... Très décevant!
Le début de la saison 2 est à l'image de la fin de la une : renversant et bouleversant, il prend aux tripes, la gorge est nouée. Gastambide a mis à l'honneur les rappeuses dans cette saison 2, c'est tout à son honneur.
Les acteurs, amateurs, jouent vraiment bien (Laëtitia Kerfa (Sara) est bluffante, mais aussi Rachid Guellaz (Yamar) : ce dernier a réussi la prouesse de faire deux fois la même tête, comme s'il avait vu le diable en personne, totalement apeuré : quand il a attaqué Apash à coups de batte de base-ball après avoir planté Mounir et quand il a vu Mounir revenir d'entre les morts lors de son planète rap dans les studios de Skyrock). Saïdou Camara (William) est également exceptionnel : il tient la baraque depuis le début. Certaines idées sont lourdes comme le coup de génie de trafiquer la voix de l'Alpha pour lui permettre de revenir sur le devant de la scène masquée et avec son unique talent. Gros coup de com, le buzz assuré ! Brahim Bouhlel (Brahim) est toujours aussi marrant, il permet de faire redescendre la pression qui est souvent palpable, à l'image de Gomorra. A chaque plan, à chaque coin de rue on s'attend à une fusillade. Enfin, de bonnes punchlines : "Il a des chicos on dirait des griffes".
Par contre le coup du Mounir qui sort d'entre les morts et revient sur le devant de la scène est particulièrement ridicule. Déjà je ne suis pas fan de ce genre de pirouette, encore plus quand ce n'est absolument pas crédible comme ici. Mais je dois avouer que j'aime le personnage et son charisme. C'est un déglingué dans sa tête qui peut vriller à tout moment.
Malgré toutes ces bonnes intentions, le charisme, la naïveté, la bonhomie et les yeux qui brillent d'Hatik nous manquent !
Les acteurs, amateurs, jouent vraiment bien (Laëtitia Kerfa (Sara) est bluffante, mais aussi Rachid Guellaz (Yamar) : ce dernier a réussi la prouesse de faire deux fois la même tête, comme s'il avait vu le diable en personne, totalement apeuré : quand il a attaqué Apash à coups de batte de base-ball après avoir planté Mounir et quand il a vu Mounir revenir d'entre les morts lors de son planète rap dans les studios de Skyrock). Saïdou Camara (William) est également exceptionnel : il tient la baraque depuis le début. Certaines idées sont lourdes comme le coup de génie de trafiquer la voix de l'Alpha pour lui permettre de revenir sur le devant de la scène masquée et avec son unique talent. Gros coup de com, le buzz assuré ! Brahim Bouhlel (Brahim) est toujours aussi marrant, il permet de faire redescendre la pression qui est souvent palpable, à l'image de Gomorra. A chaque plan, à chaque coin de rue on s'attend à une fusillade. Enfin, de bonnes punchlines : "Il a des chicos on dirait des griffes".
Par contre le coup du Mounir qui sort d'entre les morts et revient sur le devant de la scène est particulièrement ridicule. Déjà je ne suis pas fan de ce genre de pirouette, encore plus quand ce n'est absolument pas crédible comme ici. Mais je dois avouer que j'aime le personnage et son charisme. C'est un déglingué dans sa tête qui peut vriller à tout moment.
Malgré toutes ces bonnes intentions, le charisme, la naïveté, la bonhomie et les yeux qui brillent d'Hatik nous manquent !
Une première saison froidement réaliste !
Hatik joue super bien (notamment le gamin émerveillé de rencontrer ses stars, les strass et les paillettes). Les autres personnages ne sont pas en reste et tout ce petit monde est attachant. Le trio qu'il forme avec Brahim "Chinois" (le rigolo et gaffeur de la bande) et William (le manager stratège empli de sagesse) est le réel moteur de Validé. L'instru en intro est lourde. La petite touche d'humour (venant principalement de Brahim), avec des punchlines à tomber, est une bouffée d'air frais. Une tension incroyable se dégage au fil des épisodes, énormément de rebondissements et de suspens. On voit le poids que représente la cité, toute la difficulté à s'en sortir et à devenir quelqu'un, à s'extirper de cet environnement qui vous rattrape pour vous tirer vers le bas ; la complexité d’être un jeune talent montant et la jalousie/frustration que cela peut amener : la réussite de l'un des siens est attaquée pour éviter de se confronter à ses propres échecs et pour essayer de croquer un peu sa part du gâteau. Clément est donc partagé entre soutenir ses anciens "camarades" (je ne parle pas de William et Brahim mais des gens satellites qui gravitent autour) ou être un minimum égoïste pour percer. Et c'est ici que l'on observe que dans ce milieu les vrais se comptent sur les doigts d'une main (et encore).
Le seul mini défaut ce sont quelques épisodes au début où la fin laisse penser à un soap opera cheap à l'ancienne avec un petit temps de suspension laissé volontairement pendant 3/4 secondes, l'air de dire et de faire comprendre "il y a de la tension de ouf, vous avez vu ?" alors qu'il n'y aucunement besoin de cela pour être dans le suspens (il est déjà présent) et avoir envie de bouffer le prochain épisode.
La fin est à l'image de la série : renversante, inattendue ! On s'attend constamment à ce qu'il arrive une couille, on a toujours peur que tout dérape alors que tout avait été arrangé en amont. On ne sait jamais dans quel traquenard ils vont tomber. La vie d'un rappeur (de cité ; c'est, pour la grande majorité, un pléonasme) est faite d'incertitudes, de clash, de mauvaises fréquentations, de vautours, d'embrouilles à tout bout de champ. La scène finale est ahurissante, froidement réaliste et d'actualité : la nouvelle étoile montante du rap français spoiler: se faisant liquider en plein live
.
Bienvenue dans le Rap Game !
Hatik joue super bien (notamment le gamin émerveillé de rencontrer ses stars, les strass et les paillettes). Les autres personnages ne sont pas en reste et tout ce petit monde est attachant. Le trio qu'il forme avec Brahim "Chinois" (le rigolo et gaffeur de la bande) et William (le manager stratège empli de sagesse) est le réel moteur de Validé. L'instru en intro est lourde. La petite touche d'humour (venant principalement de Brahim), avec des punchlines à tomber, est une bouffée d'air frais. Une tension incroyable se dégage au fil des épisodes, énormément de rebondissements et de suspens. On voit le poids que représente la cité, toute la difficulté à s'en sortir et à devenir quelqu'un, à s'extirper de cet environnement qui vous rattrape pour vous tirer vers le bas ; la complexité d’être un jeune talent montant et la jalousie/frustration que cela peut amener : la réussite de l'un des siens est attaquée pour éviter de se confronter à ses propres échecs et pour essayer de croquer un peu sa part du gâteau. Clément est donc partagé entre soutenir ses anciens "camarades" (je ne parle pas de William et Brahim mais des gens satellites qui gravitent autour) ou être un minimum égoïste pour percer. Et c'est ici que l'on observe que dans ce milieu les vrais se comptent sur les doigts d'une main (et encore).
Le seul mini défaut ce sont quelques épisodes au début où la fin laisse penser à un soap opera cheap à l'ancienne avec un petit temps de suspension laissé volontairement pendant 3/4 secondes, l'air de dire et de faire comprendre "il y a de la tension de ouf, vous avez vu ?" alors qu'il n'y aucunement besoin de cela pour être dans le suspens (il est déjà présent) et avoir envie de bouffer le prochain épisode.
La fin est à l'image de la série : renversante, inattendue ! On s'attend constamment à ce qu'il arrive une couille, on a toujours peur que tout dérape alors que tout avait été arrangé en amont. On ne sait jamais dans quel traquenard ils vont tomber. La vie d'un rappeur (de cité ; c'est, pour la grande majorité, un pléonasme) est faite d'incertitudes, de clash, de mauvaises fréquentations, de vautours, d'embrouilles à tout bout de champ. La scène finale est ahurissante, froidement réaliste et d'actualité : la nouvelle étoile montante du rap français spoiler: se faisant liquider en plein live
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Bienvenue dans le Rap Game !
Quand on aime les films sur les banlieues comme La haine, Les misérables ou encore BAC nord on ne peut qu'adorer Validé.
La série coche toutes les cases : Engagée, jamais dans le cliché, qui manie l'art de la mise en scène ainsi que du suspense à la perfection.
Une réussite totale, merci à Franck Gastambide pour cette merveilleuse série française.
Cocorico !
La série coche toutes les cases : Engagée, jamais dans le cliché, qui manie l'art de la mise en scène ainsi que du suspense à la perfection.
Une réussite totale, merci à Franck Gastambide pour cette merveilleuse série française.
Cocorico !
Un casting qui déchire, un scénario surprenant, une réalisation maîtrisée, un univers musical qui décoiffe, du suspense... La série de Franck Gastambide est une vraie réussite. Qu'on aime ou non le rap, les deux saisons entrent dans le game des bonnes séries françaises.
N'étant pas un fan de rap, je n'étais pas emballé à suivre cette série tournant autour du rap. Je me suis laissé convaincre.
Et je ne regrette pas. Gastambide a su créer une atmosphère de thriller dans la bataille des contrats, des relations dans le monde du rap. C'est rythmé. C'est bien réalisé.
Alors oui la série pâtit de l'amateurisme d'une partie du casting, Gastambide ayant pioché dans son cercle d'amis.
La première saison est un cran au dessus de la deuxième.
Et je ne regrette pas. Gastambide a su créer une atmosphère de thriller dans la bataille des contrats, des relations dans le monde du rap. C'est rythmé. C'est bien réalisé.
Alors oui la série pâtit de l'amateurisme d'une partie du casting, Gastambide ayant pioché dans son cercle d'amis.
La première saison est un cran au dessus de la deuxième.
Seconde saison toujours aussi bonne que la précédente ! Ce qui est bien avec cette série , c'est qu on a toujours l'impression qu'il peut se passer un évènement dramatique à tout moment , la tension est toujours omniprésente. L'écriture et le développement des personnages est tout aussi excellente. Cette saison est validé !
Une première saison parfaite avec une histoire plaisante et les musiques qui déchire , Des guest en veux-tu en voilà, concernant la deuxième saison c'est pas mauvais mais c'est moins bien que la première , la mort de apache je pense n'était pas une bonne idée.
Largement en dessous de la première saison... William, l'un des premiers rôles est très mal interprété, et bien d'autres acteurs sont tout aussi mauvais... Certaines scènes sont dignes de Plus belle la vie, alors on invite quelques rappeurs célèbres en guest star pour tenter de faire avaler la pilule.. Mais j'ai perdu mon temps, vraiment déçu.
Divertissant et qui se laisse regarder facilement. Néanmoins le jeu des acteurs est très moyen. Une série qu'on oublie vite après l'avoir visionnée.
Et c'est reparti pour une deuxième saison de cette série qui a la particularité d'être intégralement doublée en patois banlieusard, version je parle à toute vitesse. Ca surprend un peu au début puis a la fin on s'habitue.
La première saison était pas ouf mais ca se regardait.
Sur la deuxième clairement on passe un cap, et pas le bon cap malheureusement.
Le jeu d'acteur c'est la cata. Ca parle vite, tellement que parfois c'est incompréhensible, les intonations sont mauvaises, toujours les mêmes, toujours dans l'agressivité verbale, sans justesse.
Le tout au service d'un scénar improbable assez pauvre. Impossible de donner de la crédibilité à l'histoire avec des ingrédients pareil.
Je déconseille clairement la saison... voir la série.
La première saison était pas ouf mais ca se regardait.
Sur la deuxième clairement on passe un cap, et pas le bon cap malheureusement.
Le jeu d'acteur c'est la cata. Ca parle vite, tellement que parfois c'est incompréhensible, les intonations sont mauvaises, toujours les mêmes, toujours dans l'agressivité verbale, sans justesse.
Le tout au service d'un scénar improbable assez pauvre. Impossible de donner de la crédibilité à l'histoire avec des ingrédients pareil.
Je déconseille clairement la saison... voir la série.
la saison 1 vaut le coup. Elle pose un décor, nous montre un univers, des personnages plutôt crédibles, avec un Hatik attachant. 👍
La saison 2 est vraiment à éviter. Les dialogues deviennent lourdauds, les situations, dejà-vues, les personnages, des caricatures. 😓
La saison 2 est vraiment à éviter. Les dialogues deviennent lourdauds, les situations, dejà-vues, les personnages, des caricatures. 😓