Avis Why Women Kill S2

J’adore la saison 2 ! Elle est véritablement mieux que la première. Le simple fait que cette saison est un fil conducteur unique et que les personnages soient tous liés les uns aux autres…. ça change totalement la donne ! Le modèle de la saison 2 rappelle évidement un autre grand succès de ce réalisateur que vous devinerez tous facilement. A la base j’avais regardé la saison 1 pour l’actrice Ginnifer Goodwin que j’adore mais j’avoue que je n’ai jamais vraiment accroché, ni à la série ni aux personnages, j’ai été tellement déçue du choix des acteurs. Alors que là, cette nouvelle saison, les personnages ils sont tous tellement intéressants, intrigants, les acteurs sont tellement woah ! Je ne spoilerait rien mais clairement j’adore chaque personnage et j’adore détester certains personnages. En bref de quoi cette saison est un second souffle pour cette série et on adore !

Quelle déception après une saison 1 époustouflante ! Il s agit de théâtre de bouvelards. Je la regarde mais franchement j ai hâte d en finir. Ls personnages dont agaçants, les acteurs surjouent. Bref plus rien à voir avec la saison 1 qui était absolument géniale !

Soit une famille de la "middle class" d'après-guerre (1949) : le père, "Bertram", vétérinaire de quartier, la mère, "Alma", femme au foyer, férue de jardinage et de reconnaissance sociale (tous deux milieu de quarantaine), et la fille "Deirdre" ("Dee"), à la recherche de l'âme soeur. Sympathiques et bons vivants (en fait, tous trois obèses). Cette 2e saison de "Why Women kill ?" démarre sur les chapeaux de roue, eu égard aux activités... altruistes (mais un peu particulières) de Daddy, croisées avec les ambitions mondaines de Mummy, et la vie sentimentale de Dee : personnages, principaux comme secondaires, pittoresques, situations cocasses et humour décalé, voire noir, très noir. Réjouissant. Cette chronique de la vie de banlieue californienne, ou l'émancipation spoiler: (par le crime)
d'Alma, simple "housewife", tient un bon moment ses promesses, en termes de causticité. Mais le rythme perd en vivacité vers les derniers épisodes (10 - trop long !), l'intérêt s'aiguise, et le final déçoit vraiment ! Bilan en demi-teinte donc, mais on peut se laisser tenter par l'originalité du sujet. Et la distribution plutôt convaincante.

La première saison de Why women kills étonnait par sa structure narrative originale combinant trois récits différents se situant à différentes époques. On aurait pu penser que le succès rencontré par celle-ci aurait pu amener à reproduire ce style de récit. Cependant, Marc Cherry a osé s’éloigner de celle-ci, dans la seconde saison, pour revenir à un style de scénario plus classique ne comprenant qu’une seule histoire. Toutefois, la patte du créateur de Desperate Housewives est toujours aussi présente en mettant en scène de multiples personnages plus ou moins ambigus (caractéristiques les rendant véritablement humains et intéressants) dans une ambiance pleine d’ironie : une fois de plus, les êtres en apparence les plus respectables cachent des aspects beaucoup plus sombres. Définitivement, Marc Cherry prouve qu’il est un créateur de série extrêmement talentueux qui possède un vrai talent pour présenter de multiples pièces de puzzles qui peuvent sembler disparates et sans grand intérêt au début (au point qu’on pourrait craindre au départ que la réussite ne soit pas aussi grande) et les imbriquer petit à petit afin d’arriver à un ensemble redoutable et d’une grande intelligence. En outre, on peut également saluer le choix de cette nouvelle saison de mettre en avant des personnages qui apriori ne correspondent pas aux canons classiques des principaux protagonistes des séries télévisées (la famille principalement au centre de l’histoire est constituée de trois personnages obèses l’éloignant clairement du glamour habituel). Cherry, créateur pourtant généralement présenté comme étant un personnage plutôt conservateur (bien qu’homosexuel), réussit ainsi à faire exploser les codes traditionnels pour les rendre plus progressifs, quitte à ce qu'ils soient parfois difficilement crédible spoiler: (il est surprenant que dans une société aussi raciste que celle des États-Unis de la fin des années 40, la liaison interraciale de Dee et Vern ne semble jamais être l’objet de critiques de près ou de loin)
et à livrer une fois de plus une saison passionnante qui tient son spectateur de haleine jusqu’à la dernière minute. On attend ainsi avec impatience de voir ce qu’il saura nous livrer pour une troisième saison que l’on peut imaginer une fois de plus différente tout en conservant la patte si caractéristique de son créateur.

La saison 1 était tous ce que j’adorais venant de Marc Cherry, une vrai pépite (elle était limite dans mon top 3 de mes séries préférés). Mais je savais pas que le créateur aurait pu tomber aussi bas avec cette saison 2. Les deux premiers épisodes sont lents mais le cliffhanger de fin reste prenant pour autant, ensuite vient la décadence de notre personnage principale Alma. Ici nous avons à vrai dire que des femmes mauvaises sans cœur, que ce soit du côté de Rita étant une femme égocentrique rabaissant les autres, ou d’Alma spoiler: devenant par la suite une psychopathe rigide prêtes à tuer n’importe qui pour sa satisfaction
, sans oublier la femme mexicaine qui est juste agaçante du début jusqu’à la fin. J’aime vrmt pas le message qu’évoque cette saison, on nous montre clairement que sans la beauté et l’argent, une femme ne pourra jamais atteindre des sommets sauf si elle commet des actes extrêmes comme le meurtre, la trahison et nier l’existence de l’amour. La scène de fin montre clairement que alma est devenu une psychopathe malade mentalement, ça me désole tellement qu’une femme grosse doit aller jusqu’à vouloir le meurtre de son gendre pour qu’elle ait enfin la reconnaissance qu’elle “merite”. C’est dommage qu’après des chefs d’œuvres comme DesperaTe Houswives/ devious maids/ saison 1 wwk, Marc cherry nous vend cette saison manquant clairement de son sarcasme et de son humour.

Autant la première saison était vraiment super, avec le jonglage entre les différentes époques, les répliques désopilantes et situations cocasses comme Marc Cherry en a le secret, autant la deuxième n'a rien à sauver. Une histoire plate, un personnage principal qui nous donne un sentiment de haine au fur et à mesure que l'histoire se déroule, et une fin abominable où finalement personne n'est gagnant.

Bien c'est toujours pareil : de grosses ficelles qui s'emboîtent et une touche d'humour et de sarcasme. Mais là on approche de la perfection : décors, acteurs réalisation et scénario : tout est comme on voudrait que ce soit toujours. Chef d'œuvre assurément à voir absolument.

Je n'ai jamais accroché à Desparate Housewives, ni à la première saison. Mais là, juste époustouflant à tout niveaux casting, jeux des acteurs, prises de vue, décors et costumes et intrigues avec ses rebondissements. Ça fait juste du bien une telle série.

Autant première saison ennuyeuse autant la seconde fait très plaisir à regarder et ne peut que me faire augmenter la note. des airs de Fargo, génial

J'ai beaucoup aimé la saison 1, mais celle-ci n'a vraiment rien à voir ! Le début est bof mais c'est vraiment de pire en pire... À éviter !

Le même pitch que dans Desperate Housewives : des gens en apparence ordinaires, ayant des secrets extraordinaires et vivant dans des banlieues américaines de prime abord tranquilles et paisibles.
Cette saison est un modèle de cynisme avec des dialogues percutants oscillant entre humour et sarcasmes. Nous sommes témoin du parcours d'une femme insouciante, pleine de rêve qui ambitionne de s'élever dans la société, ou l'histoire d'Alma qui se transforme en Rita. Une réplique résume bien la progression de cette femme : "Pas plus que je ne regrette ce que j'étais : timide et invisible, trop effrayée pour exiger du respect ou quoi que ce soit qui était dû. Mais cette femme est morte et maintenant quand je veux quelque chose je le prends et quand j'ai un problème je le règle par moi-même, (…) et ça fait un bien fou". Allison Tolman joue admirablement bien cette évolution, elle est bluffante !
Alma Fillcot est passée d'une femme anonyme, simple et quelconque, faisant partie du décor à une femme qui a pour ambition d'être remarquée.
Why Women Kill ? Par arrivisme !

La saison 2 est nettement au dessus de la saison 1 (qui était déjà géniale !). La saison 2 est remarquable, les intrigues sont folles, les acteurs sont excellents, j’ai adoré. Bravo pour le scénario !

Nouvelle intrigue complètement différente de la saison 1, le personnage principal qu’on aime de moins en moins donne un effet original, j’ai tout de même passé un bon moment à regarder cette saison