Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Le Parisien
par Renaud Baronian
La forme choisie de la sitcom qui évolue à chaque épisode consacré à une décennie spécifique, et ces anomalies qui viennent perturber la bonne humeur ambiante, font de « WandaVision » une série à part, étonnante. Elizabeth Olsen et Paul Bettany reprennent leurs rôles de la saga « Avengers » avec brio.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Benjamin Fau
WandaVision n'est pas un film plus ou moins découpé en épisodes, pratique de plus en plus adoptée par les créateurs de séries depuis l'émergence du streaming. C'est véritablement une « série télé », et l'attachement de ses créateurs aux fondamentaux du format et du genre n'est certainement pas pour rien dans sa réussite. Drôle, étonnante, angoissante, émouvante, tout cela tour à tour et même parfois en même temps : une vraie bonne série télé, quoi.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Cecilia Delporte
Drôle de série que celle proposée en ce début d'année par les très inspirés studios Marvel. A la fois audacieuse et atypique, la fiction « WandaVision » navigue entre les époques et les univers, sous forme de lettre d'amour à l'âge d'or de la télévision.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Première
par Charles Martin
Cette nouvelle approche des personnages secondaires du MCU est franchement rafraîchissante. Originale. Audacieuse. Et si Wanda Maximoff est censée avoir un rôle majeur dans les prochains films de la phase IV, cette série est clairement l'écrin idéal pour donner de l'épaisseur à cette puissante héroïne de l'écurie, jusque-là cantonnée au second plan.
La critique complète est disponible sur le site Première
20 Minutes
par Anne Demoulin
(...) WandaVision s’annonce comme une série atypique, mélangeant habilement les genres et les clins d’œil à l’histoire de la télévision. Bref, un régal façon Ma Sorcière bien aimée piégée dans la Quatrième dimension ou une sorte de Desperate Housewives mâtiné de Twin Peaks.(...) WandaVision s’annonce comme une série atypique, mélangeant habilement les genres et les clins d’œil à l’histoire de la télévision. Bref, un régal façon Ma Sorcière bien aimée piégée dans la Quatrième dimension ou une sorte de Desperate Housewives mâtiné de Twin Peaks.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le Monde
par Thomas Sotinel
Comme un coup du marteau de Thor derrière la tête, comme une colère de Bruce Banner, WandaVision vous prend au dépourvu. De la première série Marvel diffusée sur Disney+, on n’attendait pas une succession d’exquis pastiches de classiques de l’âge d’or de la télévision américaine, section sitcoms familiales.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Pierre Langlais
Paul Bettany, souvent clownesque et régulièrement drôle, vole la vedette à Elizabeth Olsen dans ce registre de sitcom traditionnelle façon I Love Lucy. On ne s’ennuie pas devant leurs mésaventures truffées de clins d’œil (« Vous êtes une vraie machine ! » lâche le patron de Vision), qui gagnent en efficacité au fur et à mesure que l’absurdité de la situation s’accentue. Espérons, une fois le fin mot de l’histoire révélé, que la série deviendra plus qu’un amusant exercice de style et que ces débuts déconcertants ne sont qu’une mise en bouche, amusante mais un peu longue.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Inrockuptibles
par Alexandre Buyukodabas
Plus qu’un hommage à la télévision classique, WandaVision nous apparaît comme la dernière manifestation en date de l’appétit carnassier d’un studio qui, non content de régner sur le grand écran, s’apprête à phagocyter le petit. L’apparition de la couleur et l’élargissement du cadre durant le 3e épisode, quant à eux, ne signent pas tant un retour au réel qu’une reconquête symbolique du premier depuis le second.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Le Parisien
La forme choisie de la sitcom qui évolue à chaque épisode consacré à une décennie spécifique, et ces anomalies qui viennent perturber la bonne humeur ambiante, font de « WandaVision » une série à part, étonnante. Elizabeth Olsen et Paul Bettany reprennent leurs rôles de la saga « Avengers » avec brio.
Le Point
WandaVision n'est pas un film plus ou moins découpé en épisodes, pratique de plus en plus adoptée par les créateurs de séries depuis l'émergence du streaming. C'est véritablement une « série télé », et l'attachement de ses créateurs aux fondamentaux du format et du genre n'est certainement pas pour rien dans sa réussite. Drôle, étonnante, angoissante, émouvante, tout cela tour à tour et même parfois en même temps : une vraie bonne série télé, quoi.
Les Echos
Drôle de série que celle proposée en ce début d'année par les très inspirés studios Marvel. A la fois audacieuse et atypique, la fiction « WandaVision » navigue entre les époques et les univers, sous forme de lettre d'amour à l'âge d'or de la télévision.
Première
Cette nouvelle approche des personnages secondaires du MCU est franchement rafraîchissante. Originale. Audacieuse. Et si Wanda Maximoff est censée avoir un rôle majeur dans les prochains films de la phase IV, cette série est clairement l'écrin idéal pour donner de l'épaisseur à cette puissante héroïne de l'écurie, jusque-là cantonnée au second plan.
20 Minutes
(...) WandaVision s’annonce comme une série atypique, mélangeant habilement les genres et les clins d’œil à l’histoire de la télévision. Bref, un régal façon Ma Sorcière bien aimée piégée dans la Quatrième dimension ou une sorte de Desperate Housewives mâtiné de Twin Peaks.(...) WandaVision s’annonce comme une série atypique, mélangeant habilement les genres et les clins d’œil à l’histoire de la télévision. Bref, un régal façon Ma Sorcière bien aimée piégée dans la Quatrième dimension ou une sorte de Desperate Housewives mâtiné de Twin Peaks.
Le Monde
Comme un coup du marteau de Thor derrière la tête, comme une colère de Bruce Banner, WandaVision vous prend au dépourvu. De la première série Marvel diffusée sur Disney+, on n’attendait pas une succession d’exquis pastiches de classiques de l’âge d’or de la télévision américaine, section sitcoms familiales.
Télérama
Paul Bettany, souvent clownesque et régulièrement drôle, vole la vedette à Elizabeth Olsen dans ce registre de sitcom traditionnelle façon I Love Lucy. On ne s’ennuie pas devant leurs mésaventures truffées de clins d’œil (« Vous êtes une vraie machine ! » lâche le patron de Vision), qui gagnent en efficacité au fur et à mesure que l’absurdité de la situation s’accentue. Espérons, une fois le fin mot de l’histoire révélé, que la série deviendra plus qu’un amusant exercice de style et que ces débuts déconcertants ne sont qu’une mise en bouche, amusante mais un peu longue.
Les Inrockuptibles
Plus qu’un hommage à la télévision classique, WandaVision nous apparaît comme la dernière manifestation en date de l’appétit carnassier d’un studio qui, non content de régner sur le grand écran, s’apprête à phagocyter le petit. L’apparition de la couleur et l’élargissement du cadre durant le 3e épisode, quant à eux, ne signent pas tant un retour au réel qu’une reconquête symbolique du premier depuis le second.