Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
RogerEbert.com
par Allison Shoemaker
Chose importante bien sûr, cela sonne vrai. Le scénario de McNamara pour "La Favorite" était justement célébré à ce propos, mais c'est l'honnêteté émotionnelle de The Great qui permet que la comédie passe si vicieusement. Comme ce merveilleux casting, il maintient cet équilibre précaire avec une facilité apparente.
La critique complète est disponible sur le site RogerEbert.com
Marie Claire
par Clélia Cohen
Débauche de soieries flamboyantes, de coiffes ridicules et de mœurs décadentes : au départ, on craint un peu la fiction historique sursignifiante truffée de bons mots lâchés par des acteurs à l'accent "so british", mais la formidable Elle Fanning (...), dans le rôle principal, balaie nos réserves avec son aplomb, sa fièvre et une sincérité qui contrastent avec ce monde foufou.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Rolling Stone
par Alan Sepinwall
Il vaut mieux voir la série comme une succession de sketchs d'humour très noir. Certains ne fonctionnent pas au point d'en devenir profondément gênants à suivre, mais capturent les sentiments d'une femme et d'un pays pris en otage par un imbécile trop sûr de lui. (Cela vous rappelle quelque chose ?) Et ceux qui visent juste sont à mourir de rire précisément car le monde dans lequel évolue Catherine est constamment horrible.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
The Guardian
par Adrian Horton
The Great est parfaite lorsqu'elle sublime les dilemmes politiques éternels avec un ton agnostique -le radicalisme contre l'avancée du progrès, le choix contre la force- dans des jeux absurdes de surenchère. Et bien qu'elle se délecte trop (...) du spectacle de la mort arbitraire, de l'effondrement du personnel et du public, sa représentation du gouffre béant entre la décadence opulente de la Cour et la sérénité de la "poker face" royale reste aiguisée.
La critique complète est disponible sur le site The Guardian
indieWIRE
par Kristen Lopez
The Great ne porte pas exactement bien son titre. Fanning et l'équipe font des merveilles mais on ne sait pas vraiment à qui la série s'adresse. C'est trop grivois pour les adolescents (le public de "Dickinson") et pourtant trop peu intellectuel pour ceux qui ont consommé "Downton Abbey". Et si vous avez apprécié "La Favorite", [la série] vous paraîtra une version coupée à l'eau de ce qui fonctionnait parfaitement dans le film.
La critique complète est disponible sur le site indieWIRE
Les Inrockuptibles
par Alexandre Büyükodabas
Alignant tous les clichés de la fiction historique révisionniste (BO anachronique, regards caméra et goût du détail incongru), "The Great" multiplie les effets de connivence pour constituer son personnage en étendard féministe. Corsetée par les liens d’une fiction trop étroite, Elle minaude, joue en surface, comme si elle n’y croyait plus vraiment. Coincée entre les pages de ce livre d’images, la fleur Fanning a fané.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
RogerEbert.com
Chose importante bien sûr, cela sonne vrai. Le scénario de McNamara pour "La Favorite" était justement célébré à ce propos, mais c'est l'honnêteté émotionnelle de The Great qui permet que la comédie passe si vicieusement. Comme ce merveilleux casting, il maintient cet équilibre précaire avec une facilité apparente.
Marie Claire
Débauche de soieries flamboyantes, de coiffes ridicules et de mœurs décadentes : au départ, on craint un peu la fiction historique sursignifiante truffée de bons mots lâchés par des acteurs à l'accent "so british", mais la formidable Elle Fanning (...), dans le rôle principal, balaie nos réserves avec son aplomb, sa fièvre et une sincérité qui contrastent avec ce monde foufou.
Rolling Stone
Il vaut mieux voir la série comme une succession de sketchs d'humour très noir. Certains ne fonctionnent pas au point d'en devenir profondément gênants à suivre, mais capturent les sentiments d'une femme et d'un pays pris en otage par un imbécile trop sûr de lui. (Cela vous rappelle quelque chose ?) Et ceux qui visent juste sont à mourir de rire précisément car le monde dans lequel évolue Catherine est constamment horrible.
The Guardian
The Great est parfaite lorsqu'elle sublime les dilemmes politiques éternels avec un ton agnostique -le radicalisme contre l'avancée du progrès, le choix contre la force- dans des jeux absurdes de surenchère. Et bien qu'elle se délecte trop (...) du spectacle de la mort arbitraire, de l'effondrement du personnel et du public, sa représentation du gouffre béant entre la décadence opulente de la Cour et la sérénité de la "poker face" royale reste aiguisée.
indieWIRE
The Great ne porte pas exactement bien son titre. Fanning et l'équipe font des merveilles mais on ne sait pas vraiment à qui la série s'adresse. C'est trop grivois pour les adolescents (le public de "Dickinson") et pourtant trop peu intellectuel pour ceux qui ont consommé "Downton Abbey". Et si vous avez apprécié "La Favorite", [la série] vous paraîtra une version coupée à l'eau de ce qui fonctionnait parfaitement dans le film.
Les Inrockuptibles
Alignant tous les clichés de la fiction historique révisionniste (BO anachronique, regards caméra et goût du détail incongru), "The Great" multiplie les effets de connivence pour constituer son personnage en étendard féministe. Corsetée par les liens d’une fiction trop étroite, Elle minaude, joue en surface, comme si elle n’y croyait plus vraiment. Coincée entre les pages de ce livre d’images, la fleur Fanning a fané.