Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Le Parisien
par La rédaction
Avec HP, on aurait pu tomber dans de la comédie lourde et caricaturale. Or les scénaristes parviennent à signer une comédie dramatique douce-amère vraiment touchante et au ton juste. Un tour de force souligné par une très belle interprétation, la jeune Tiphaine Daviot, qui joue Sheila, en tête.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
20 Minutes
par Anne Demoulin
Après Hippocrate, encore une série française qui va fiche une blessure narcissique aux séries médicales américaines !
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Huffington Post (FR)
par Evandelia Valladier
La nouvelle série télé [d’]OCS, donne l'espoir que les maladies mentales ne soient plus vues d'après le cliché de ‘l’asile de fous’.
La critique complète est disponible sur le site Huffington Post (FR)
L'Humanité
par Marianne Behar
Une comédie de blouses blanches, dans les couloirs d’un hôpital psychiatrique, qui fonctionne bien.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro Magazine
par Constance Jamet
Une tendre et juste exploration de l’hôpital psychiatrique.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Les Inrockuptibles
par Olivier Joyard
Entre burlesque et noirceur, HP le parcours d’une interne en hôpital psy et les destins entremêlés de soignants et malades à la folie partagée.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télé Loisirs
par Albin Duvert
Avec cette nouvelle série, OCS confirme le style très décalé de ses productions françaises. Et le moins qu'on puisse dire, c'est qu'elle réussit à nous intriguer ! Son originalité ne tient pas seulement au milieu dans lequel il nous plonge, mais aussi à son ton et son ambiance ambigüe. (…) Mais la série respire grâce à quelques scènes drôlissimes (les secrétaires qui doivent professionnaliser les patients à leur sortie ou encore cette femme qui est convaincue d'être Beyoncé) et finit par trouver un juste équilibre. Nul doute qu'HP titille notre curiosité jusqu'au bout...
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Le Monde
par Martine Delahaye
Aussi peu angoissante qu’Hippocrate se montre crue, HP mise sur un fond de poésie et d’humour pour nous lier à ses personnages, soignants ou soignés, tous aussi intrigants et curieux les uns que les autres. Hormis un épisode 2 qui ne sait pas mettre fin à son intrigue, voici une belle bulle de fantaisie, de tendresse, qui fait sens au travers de ses délires.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Isabelle Poitte
HP a le culot des débutants. Pour leur première série, Angela Soupe et Sarah Santamaria-Mertens s’emparent d’un sujet grave sur le mode épineux de la ‘dramédie’… et trouvent une note remarquablement juste. Rien n’est convenu ou surligné, et tout, ou presque, relève du subtil pas de côté dans leur écriture et leurs personnages. Malgré une évidente économie de moyens, HP gomme sans cesse puis redessine la frontière entre la bulle surréaliste des malades et le blues des blouses blanches.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
par Valentin Pimare
Malgré son manque cruel de moyens, HP se révèle très réjouissante dès les premiers épisodes. (...) Même si la série ne révolutionne pas le genre, elle se révèle plus que convaincante au fil des épisodes, en évitant les pièges d'un sujet délicat. Plutôt que d'opter pour l'approche dramatique, HP choisit la légèreté et la justesse. Un pari gagnant qui, on l'espère, se poursuivra lors d'une saison 2.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Parisien
Avec HP, on aurait pu tomber dans de la comédie lourde et caricaturale. Or les scénaristes parviennent à signer une comédie dramatique douce-amère vraiment touchante et au ton juste. Un tour de force souligné par une très belle interprétation, la jeune Tiphaine Daviot, qui joue Sheila, en tête.
20 Minutes
Après Hippocrate, encore une série française qui va fiche une blessure narcissique aux séries médicales américaines !
Huffington Post (FR)
La nouvelle série télé [d’]OCS, donne l'espoir que les maladies mentales ne soient plus vues d'après le cliché de ‘l’asile de fous’.
L'Humanité
Une comédie de blouses blanches, dans les couloirs d’un hôpital psychiatrique, qui fonctionne bien.
Le Figaro Magazine
Une tendre et juste exploration de l’hôpital psychiatrique.
Les Inrockuptibles
Entre burlesque et noirceur, HP le parcours d’une interne en hôpital psy et les destins entremêlés de soignants et malades à la folie partagée.
Télé Loisirs
Avec cette nouvelle série, OCS confirme le style très décalé de ses productions françaises. Et le moins qu'on puisse dire, c'est qu'elle réussit à nous intriguer ! Son originalité ne tient pas seulement au milieu dans lequel il nous plonge, mais aussi à son ton et son ambiance ambigüe. (…) Mais la série respire grâce à quelques scènes drôlissimes (les secrétaires qui doivent professionnaliser les patients à leur sortie ou encore cette femme qui est convaincue d'être Beyoncé) et finit par trouver un juste équilibre. Nul doute qu'HP titille notre curiosité jusqu'au bout...
Le Monde
Aussi peu angoissante qu’Hippocrate se montre crue, HP mise sur un fond de poésie et d’humour pour nous lier à ses personnages, soignants ou soignés, tous aussi intrigants et curieux les uns que les autres. Hormis un épisode 2 qui ne sait pas mettre fin à son intrigue, voici une belle bulle de fantaisie, de tendresse, qui fait sens au travers de ses délires.
Télérama
HP a le culot des débutants. Pour leur première série, Angela Soupe et Sarah Santamaria-Mertens s’emparent d’un sujet grave sur le mode épineux de la ‘dramédie’… et trouvent une note remarquablement juste. Rien n’est convenu ou surligné, et tout, ou presque, relève du subtil pas de côté dans leur écriture et leurs personnages. Malgré une évidente économie de moyens, HP gomme sans cesse puis redessine la frontière entre la bulle surréaliste des malades et le blues des blouses blanches.
L'Express
Malgré son manque cruel de moyens, HP se révèle très réjouissante dès les premiers épisodes. (...) Même si la série ne révolutionne pas le genre, elle se révèle plus que convaincante au fil des épisodes, en évitant les pièges d'un sujet délicat. Plutôt que d'opter pour l'approche dramatique, HP choisit la légèreté et la justesse. Un pari gagnant qui, on l'espère, se poursuivra lors d'une saison 2.