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yeuce
31 abonnés
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2,5
Publiée le 21 février 2024
Cette série se veut sexy et irrévérencieux, elle tient surtout avec un scénario écrit sur un post it, l'avantage est que chaque épisode sont court et bien rythmés.
Brutale, sexuellement trash et hyper coloré, expresse de 8 épisodes mais quelle f... programme. Un jeu diablement bon, un casting principal et secondaire **** pour un scénario qui en dit tellement long sur le monde brutal, impitoyable et donc cruel des club de prostituées, stripeurs et de la drogue. Une direction globale de main de maître pour une production signée des créateurs du phénomène bientôt agrandit d'un spin-off "Casa de Papel". Un trio féminin canon, un jeu canon pour un premier récit canon. L'Espagne comme on ne là voit décidément pas comme ailleurs.
J'ai bien aimé cette première saison. C'est rythmé, esthétique, décalé et plein de surprises. Un aspect de la prostitution est bien abordé. Je me suis facilement attaché aux personnages, hauts en couleurs. J'ai même parfois retrouvé l'humour noir de Breaking Bad et certains aspects des films de Tarantino. Bien sûr, c'est largement invraisemblable mais tellement truculent. Et cela ne s'adresse pas à tout public.
À la suite d'une violente altercation avec leur Mac, trois prostituées prennent la fuite et sont poursuivies par les gros bras de ce dernier. Une cavale riche en rebondissements et ponctuée de nombreux flashbacks qui se déroule sur un rythme effréné, nous donnant l'impression que tout se déroule en temps réel ou presque. Le récit est tellement fluide d'ailleurs que la série peut se regarder d'une traite, comme un gros film, étant donné que les épisodes ont une durée assez courte. Une véritable course et lutte pour survivre durant laquelle Coral, Wendy et Gina vont tisser des liens très forts, car après tout, elles ont vécu le même enfer et ont la même ambition à savoir de retrouver leur liberté. Se déroulant sur l'île de Tenerife, ce qui donne un aspect de huis clos à ciel ouvert où il n'y a pas d'échappatoire étant donné qu'elles n'ont pas leur passeport, "Sky Rojo" est une série sulfureuse et décomplexée qui est à la fois divertissante et violente. Une série provocante qui sait être sérieuse et pertinente quand elle évoque l'envers du décor du milieu de la prostitution avec des filles qui sont trompées pour être recrutées puis exploitées dans des conditions difficiles. L'argent coule à flot, c'est vrai, mais à quel prix... Évidemment, on n'apprend rien, et ce n'est pas forcément l'objectif, mais les créateurs de "La Casa de Papel" ont au moins le mérite d'en parler. Et, ils le font avec des mots très forts puisque je trouve que la série est plus trash dans les propos notamment quand les filles parlent de leur quotidien que dans les faits avec la violence graphique qui reste assez basique. Sans aller dans la comparaison, il y a un petit côté Tarantino au niveau de l'esthétique et de l'ambiance, mais aussi un côté série B avec ce mélange de sexe et de violence. Bref, une première saison divertissante qui donne envie de voir la suite. Moyenne des épisodes : 7/10
Alex Pina après la Casa de papel et White lines ne nous déçoit pas avec une plongée dans un univers sordide comme il sait le faire avec des personnages attachants et une histoire qui dérape comme toujours. L'action se situe aux Canaries. L'univers des maisons closes, des prostituées et souteneurs est présenté d'une manière dure crue mais réaliste. Du bon Tarantino On ne voit pas le temps passer d'autant que les épisodes sont courts.
Série qui ne résulte à des vulgaires mots dans tout les épisodes, comment est-ce possible que Roméo survit à une telle violence derrière sa tête en restant 30 minutes par terre avec du sang qui coule abondamment. Très déçu de cette série. Seule point positif c'est que j'ai partagé cette série avec la meilleure de copines du monde.
On vibre et on s'exalte pour cette prise de position, de ce Thelma & Louise sous acide. Mais on revient souvent au point de départ, la marche arrière est coincée et le ravin ne nous fait pas face. On traîne sur la route et on déchante. Dommage.
Frisson et suspense garanti dans cette série espagnole réalisée par les créateurs de "La Casa de Papel". "Sky Rojo" aborde avec brio le thème de la prostitution derrière se cache une traite humaine, des violences sexuelles et un esclavage moderne qui se nourrit de la misère des jeunes femmes dans des pays plus ou moins lointains. Cette première saison comportant huit épisodes de vingt-cinq minutes accouche d'un récit survolté, rythmé par une bande son jouissive et des prises de vues parfaites. L'esthétisme si particulier de la série n'est pas sans rappeler le roi du genre, TARANTINO. "Sky Rojo" possède des personnages hauts en couleurs avec un trio d'actrices complètement déjanté. L'action s'enchaîne sans laisser de répit aux personnages, et le spectateur reste en haleine jusqu'à la dernière minute.
Agréablement divertissante, Sky Rojo s’avère être une belle petite surprise ! Le court format en huit épisodes de 25 minutes présente une première saison à la fois très efficace et rythmée d’action, d’humour et de rebondissements. La série qui se montre captivante du début à la fin, exploite merveilleusement le thème de la prostitution dans une intrigue particulièrement bien ficelée. Les personnages, très déjantés, mais surtout attachants nous emmènent dans une folle course poursuite illustrée par de magnifiques décors de Far-West espagnol. Cette production crée par le talentueux Álex Pina est étrangement similaire à Birds Of Prey, le blockbuster sur Harley Queen, notamment sur ses héroïnes déterminées, mais surtout sur son esthétique haute en couleur. Après un final de saison qui nous laisse en suspens, la suite est très évidemment attendue. - 15/20 Critique sur Sky Rojo (saison 1) Vue du 06 au 09.04.2021 sur Netflix
Voici une série complètement paradoxale, et le fait qu'elle soit écrite à deux mains n'y est pas étranger. Parce que nous avons d'une part une vision ultraféministe et caricaturale du milieu de la prostitution (qui entre parenthèse n'existe pas, l'activité recouvrant une variété de situations et de réalités très différentes) avec son lot d'idées reçues habituels sur les proxénètes, les filles, les pratiques, les clients et cela jusqu'à la caricature. D'un autre côté vu comme un thriller, c'est plutôt très bien foutu; la tension est omniprésente, les rebondissements abondent, les actrices sont excellentes à commencer par Lali Espositio qui a du trop regarder Emilia Clarke dans Games of Thrones à ce point qu'on les croirait interchangeables ! Yani Prado est étonnante et Verónica Sánchez montre toute l'étendue de son talent. Côté masculin, ça va beaucoup moins bien, les trois crétins ressemblent plus à des caricatures qu'à des personnages convenablement écrits. (les quelques tentatives visant à les humaniser tombant dans le ridicule) Alors comment faire la balance ? Se rappeler qu'on est au cinéma, que l'environnement dans lequel évoluent nos trois héroïnes est davantage fictif que documentaire, et surtout s'étonner que cette série se regarde avec autant de plaisir
Rien a dire de négatif de cette première saison, mise a part peut-être qu'elle soit a mon gout bien trop courte. On suis sans déplaisir le road trip ultra féministe des trois héroïnes, et à qui on s'attache sans problème. J'ai dévoré les 8 épisodes intégralement, et j'attend avec grande impatience la suite.
Nous suivrons les aventures de Wendy, Gina et Coral, trois prostituées en cavale après avoir poignardé Roméo, leur proxénète.
Prisonnières depuis trop longtemps dans cette maison close « Las Novias », la liberté aura un goût amer lorsque Moisés et Christian, deux hommes de main de Roméo, se lancent à leur poursuite.
Au péril de tous les dangers, la course poursuite pour la survie commence sur la petite île de Ténérife où les cachettes sont rares !
Nouvelle série espagnole, « Sky Rojo » n’est pas une série intellectuelle mais a le mérite de tenir en haleine, le rythme est très soutenu, des rebondissements à gogo, pas de temps mort et donc pas le temps de s’ennuyer.
De plus, au fil des épisodes, on s’attache volontiers à ces trois filles et à leur passé douloureux, contraintes de se prostituer pour survivre !
Attention le langage est assez cru, à regarder à l’abri des plus chastes oreilles !
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La série Skyrojo, comment dire, ce fut un navet. le contexte est intéressant, un sujet qui n'est pas assez médiatisé et dont on ne parle peu. Cependant, le scénario est bidon, les rebondissements sont tous attendus. Il n'y a aucunes surprises dans l'action. J'ai trouvé cette série si mauvaise, que je me devais de créer un compte sur Allociné afin de partager mon avis.