Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
GQ
par Jérémy Patrelle
Ce sera souvent violent, parfois drôle, toujours tendu et tout à fait captivant avec des scènes de poursuite, des face-à-face angoissants, des rebondissements. Le tout dans un décor entre carte postale baignée de soleil et trou à rat que l'on ne conseillerait pas de fréquenter, même à notre plus grand ennemi.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Ecran Large
par Geoffrey Nabavian
Sky Rojo a clairement pour but de divertir et d’en mettre plein la vue, avec un état d’esprit bien plus bourrin que La Casa de papel, comme le laisse deviner sa bande-annonce. Elle marche dans les pas de films mettant en scène des personnages de femmes fortes et indépendantes, et n’hésitant pas à défoncer le patriarcat à coups d'armes à feu, et parfois à se montrer déjantées, à la manière de Birds of Prey par exemple.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Parisien
par Pauline Conradsson
Le challenge était de captiver l'attention du public avec une intrigue bien ficelée et des personnages entourés de mystère. Le tout avec des épisodes courts, de 25 minutes chacun. (...) Progressivement, pourtant, on plonge tête la première dans les huit épisodes de la première saison de ce road-movie et son ambiance électrique. C'est fascinant et dérangeant à la fois. Diablement efficace. On attend la deuxième saison, déjà tournée.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Laura Berny
Portée par une bande-son éclectique, qui va du chanteur gitan Camarón au groupe de rock britannique Primal Scream, la série déroule ses multiples rebondissements dans ce décor aride et intimidant de western spaghetti. Moins consensuelle que La Casa de Papel, Sky Rojo a le charme d'un cactus au milieu du désert, bourré de piquants mais plein de sucs. Un pari osé.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Première
par Charles Martin
D'abord un peu racoleuse dans sa mise en scène et son approche tape-à-l'oeil d'un style ostensiblement référencé, la série finit par trouver son ton et surtout son rythme. La course-poursuite mise tout sur une fièvre rageuse communicative, qui se dégage de ces anti-héroïnes qui n'ont plus grand chose à perdre. A tel point que Sky Rojo ne rechigne pas à basculer dans une tragi-comédie absurde, à l'audace indéniable.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Figaro
par Constance Jamet
Avec leur nouvelle série Netflix intitulée Sky Rojo , les scénaristes poussent loin le curseur de l’adrénaline en imaginant un road-trip pulp qui combine une problématique sociale et une approche psychlogique à un déluge de sensations fortes et d’humour sardonique. (...) Osée, la prise de risques n’évite pas toujours, dans les quatre épisodes mis à notre disposition, la surenchère de violences ou d’ébats. Mais la série roule à un tel train d’enfer qu’il est impossible de ne pas se laisser entraîner.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Vanity Fair
par Norine Raja
Cette tentative de mettre en exergue la traite des femmes est toutefois parasitée par le voyeurisme de la série, où cette exploitation du corps devient un spectacle éclairé aux néons, riche en gros plans de seins et de fesses.
La critique complète est disponible sur le site Vanity Fair
Télérama
par Le Rédaction
Personnages féminins constamment ramenées à leur statut d’objets sexuels, mis en scène graveleuse, dialogues très explicites, pour ne pas dire vulgaires, antagonistes tout en muscles et en tatouages… La traversée du désert de Ténérife, où se déroule Sky Rojo, n’a jamais été aussi pénible.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
GQ
Ce sera souvent violent, parfois drôle, toujours tendu et tout à fait captivant avec des scènes de poursuite, des face-à-face angoissants, des rebondissements. Le tout dans un décor entre carte postale baignée de soleil et trou à rat que l'on ne conseillerait pas de fréquenter, même à notre plus grand ennemi.
Ecran Large
Sky Rojo a clairement pour but de divertir et d’en mettre plein la vue, avec un état d’esprit bien plus bourrin que La Casa de papel, comme le laisse deviner sa bande-annonce. Elle marche dans les pas de films mettant en scène des personnages de femmes fortes et indépendantes, et n’hésitant pas à défoncer le patriarcat à coups d'armes à feu, et parfois à se montrer déjantées, à la manière de Birds of Prey par exemple.
Le Parisien
Le challenge était de captiver l'attention du public avec une intrigue bien ficelée et des personnages entourés de mystère. Le tout avec des épisodes courts, de 25 minutes chacun. (...) Progressivement, pourtant, on plonge tête la première dans les huit épisodes de la première saison de ce road-movie et son ambiance électrique. C'est fascinant et dérangeant à la fois. Diablement efficace. On attend la deuxième saison, déjà tournée.
Les Echos
Portée par une bande-son éclectique, qui va du chanteur gitan Camarón au groupe de rock britannique Primal Scream, la série déroule ses multiples rebondissements dans ce décor aride et intimidant de western spaghetti. Moins consensuelle que La Casa de Papel, Sky Rojo a le charme d'un cactus au milieu du désert, bourré de piquants mais plein de sucs. Un pari osé.
Première
D'abord un peu racoleuse dans sa mise en scène et son approche tape-à-l'oeil d'un style ostensiblement référencé, la série finit par trouver son ton et surtout son rythme. La course-poursuite mise tout sur une fièvre rageuse communicative, qui se dégage de ces anti-héroïnes qui n'ont plus grand chose à perdre. A tel point que Sky Rojo ne rechigne pas à basculer dans une tragi-comédie absurde, à l'audace indéniable.
Le Figaro
Avec leur nouvelle série Netflix intitulée Sky Rojo , les scénaristes poussent loin le curseur de l’adrénaline en imaginant un road-trip pulp qui combine une problématique sociale et une approche psychlogique à un déluge de sensations fortes et d’humour sardonique. (...) Osée, la prise de risques n’évite pas toujours, dans les quatre épisodes mis à notre disposition, la surenchère de violences ou d’ébats. Mais la série roule à un tel train d’enfer qu’il est impossible de ne pas se laisser entraîner.
Vanity Fair
Cette tentative de mettre en exergue la traite des femmes est toutefois parasitée par le voyeurisme de la série, où cette exploitation du corps devient un spectacle éclairé aux néons, riche en gros plans de seins et de fesses.
Télérama
Personnages féminins constamment ramenées à leur statut d’objets sexuels, mis en scène graveleuse, dialogues très explicites, pour ne pas dire vulgaires, antagonistes tout en muscles et en tatouages… La traversée du désert de Ténérife, où se déroule Sky Rojo, n’a jamais été aussi pénible.