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Ufuk K
517 abonnés
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Critique de la série
3,5
Publiée le 23 janvier 2023
"Sky Rojo" diffusé sur Netflix est une série espagnole explosive. En effet même si l'ensemble composé de trois saisons part parfois dans du grand n'importe quoi, j'ai beaucoup aimé cette série qui traitre de la prostitution (forcée) qui mêle le genre policier, le drame, l'horreur, la comédie en séquences tantôt impressionnantes, hyper violentes, effrayantes et colorées qui ne laisseront personne indifférent avec un trio de comédiennes génialissime mention spéciale à Verónica Sánchez.
Par le créateur de "La Casa de Papel", la série espagnole "Sky Rojo" est de retour après plus d’un an et demi pour une troisième et dernière saison sur Netflix. Loin du club et loin de leurs ravisseurs, nos trois héroïnes prennent un tout nouveau départ à Almérie. Avec une première partie de saison plutôt calme, l’intrigue devient plus intense dès le cinquième épisode grâce à son rythme effréné et bourré d’action. Bien que cette ultime saison soit la moins surprenante de la série, elle est néanmoins toujours aussi déjantée, plaisante et efficace grâce à ses personnages attachants et son court format. Et malgré son dénouement précipité, "Sky Rojo" se termine sur une note plutôt satisfaisante. - 14/20 Critique sur Sky Rojo (saison 3) Vue du 14 au 15.01.2023 sur Netflix
Super rythme, ambiance gloque mais fun et dynamique. Les épisodes courts et intenses nous surprennent et on s’attache aux personnages malgré les images crues et le manque de cohérence parfois pais on adore
Une série efficace et tres rythmée, un peu rapide certes, mais qui remplit son rôle de fiction et qui est très divertissante. Le thème soulevé est dur et les scènes de prostitution ou de violence le sont aussi mais cela est compensé par une bonne dose d'humour (noir) et des péripéties rocambolesques. Nous sommes encore loin de la qualité de la casa de papel (surtout les deux premières parties) mais encore une fois les espagnols ont le mérite de se renouveler et signent une belle pépite qui se dévore en un rien de temps. Mention spéciale pour la réalisation et spécialement la direction photo.
Cette série se veut sexy et irrévérencieux, elle tient surtout avec un scénario écrit sur un post it, l'avantage est que chaque épisode sont court et bien rythmés.
Le pitch de départ est faible : une tuerie dans un club de strip qui entraîne un enchaînement de causes à effets, c'est du déjà vu. Il y avait des solutions dès le début pour que ce soit original, mais finalement ça tourne en rond. Les flashbacks sont en trop, je trouve, car cela confirme que la bio des personnages manque de profondeur. Ce qui m'a le plus dérangé, c'est la photographie, avec des dominantes vertes et roses (ce n'est pas la première fois que je retrouve cet accord dans des univers de 'boîte de nuit') et je trouve cela pénible sur la durée.
Ultime saison pour nos trois héroïnes désormais affranchies de leur proxénète tentant de rentrer dans la norme sous le soleil de Tenerife. Mais bien évidemment leur ancienne vie va finir par les rattraper. Cette bonne série d'action féministe toujours aussi speed aura eu le mérite de ne pas s'éterniser gardant ainsi tout son impact initial, les créateurs de la Casa Del Papel étant aux commandes on pouvait avoir un doute. Et elle aura eu l'intelligence d'aborder un sujet extrêmement révoltant et glauque de manière vive et colorée sans édulcorer sa dénonciation.
Clap de fin pour une quasi mini-série hors du commun dans les coulisses bien sombres mais hyper colorés du monde des strip-club et maison closes. 8 épisodes richement penser tel une course poursuite entre nos héroïnes en fuite et leur proxénètes ne reculant devant rien pour parvenir à leur fin. Le casting encore et toujours parfait, un récit toujours passionnant à suivre et une direction percutante ou chaque scène clé est aussi bien drama, tendue et parfois même touchante tant on réussit naturellement à s'attacher à ses femmes dont la vie fut "vouée" à une cause d'une telle noirceur, illégalité (suivant l'état dans lequel elle est pratiquée) et surtout, violence gratuite. Des ennemis que j'aurais savoureusement aimer voir souffrir tant ils l'on mériter. Quant à Yany Prado, son jeu final fut percutant et d'une immense sensibilité et la naissance de son bébé fut d'une grande puissance visuelle, la morale sur le choix de garder ou non l'enfant issue d'une fausse relation est évidement au cœur de la saison. L'épisode final, combiner de l'affrontement final bien armer, la destruction de l'établissement avec une aide nouvelle et bienvenue ainsi que l'ouverture de la nouvelle vie de nos femmes de joie aura été une parfaite conclusion à cette dernière saison hors du commun. Netflix aura parfaitement sût nous imprégner de cet ambiance glauque mais si réaliste et toujours actuelle, découvrir les méfaits de l'industrie sexuelle et le quotidien impossible de ces femmes ne pouvant subvenir aux besoins des leurs que par cette manière. Une série immanquable.
Toujours si expresse et savoureuse sur 2 à 3 jours, la course poursuite entre les proxénètes et notre trio de femmes de joie s'est menée à vitesse V pour une nouvelle saison toujours si trash, ultra dynamique, hyper sensible par instants, drôle par d'autres et une pointe poétique avec une magnifique morale de conclusion. Un jeu coup d'poing, script percutant et scénario diabolique avec des retrouvailles ultra tendues et une belles nouveauté, de coriaces combats armés digne de "Casa De Papel". Des flash-back en club toujours pointilleux et magiques sur cette industrie sexuelle sans scrupule qui mènera assurément à la fin à de grandes révélations morales. La suite s'annonce particulièrement vorace avec un tout nouveau décors toujours plus national.
Brutale, sexuellement trash et hyper coloré, expresse de 8 épisodes mais quelle f... programme. Un jeu diablement bon, un casting principal et secondaire **** pour un scénario qui en dit tellement long sur le monde brutal, impitoyable et donc cruel des club de prostituées, stripeurs et de la drogue. Une direction globale de main de maître pour une production signée des créateurs du phénomène bientôt agrandit d'un spin-off "Casa de Papel". Un trio féminin canon, un jeu canon pour un premier récit canon. L'Espagne comme on ne là voit décidément pas comme ailleurs.
Une bonne petite série comme je les aime. On ne s'ennuie pas. Des personnages très attachants, et des histoires qui tiennent debout. On sent que la troisième saison arrive à bout de souffle, d'où ma note 4/5.