Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Collider
par Carly Lane
En tenant compte de certaines faiblesses de l'histoire, cette version est absolument la plus proche de la sensation que l'on peut ressentir en lisant le livre de Niffenegger, qui avait ses propres qualités addictives.
La critique complète est disponible sur le site Collider
Télérama
par La Rédaction
Entre pure romcom aux élans mélodramatiques, comédie absurde et tragédie SF, The Time Traveler’s Wife profite aussi du charme de son couple principal, Rose Leslie (Game of Thrones) et Theo James (Divergente).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Figaro
par Constance Jamet
Cette délicate réflexion sur le couple, l'indépendance affective et les métamorphoses intérieures débouche sur une idylle surnaturelle et existentielle qui n'a rien de fleur bleue.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Léo Moser
Généreuse et habilement architecturée, parfois un brin kitsch, The Time Traveler’s Wife est un curieux objet, dont on aurait aimé qu’il soit autre chose tout en se demandant bien ce qu’il aurait pu être d’autre. Un Doliprane, définitivement.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
New York Times
par Mike Hale
Moffat et le réalisateur David Nutter ("Game of Thrones") l'ont rendue regardable - en privilégiant l'humour et l'action plutôt que le soap opera - mais ils n'ont pas réussi à susciter l'émotion, ou à dramatiser les idées, que tant de gens semblent trouver dans l'histoire.
La critique complète est disponible sur le site New York Times
Première
par Charles Martin
La narration est, il est vrai, quelque peu décousue, pour ne pas dire un brin fastidieuse. Steven Moffat, le créateur de Sherlock, qui a déjà largement jonglé avec le temps dans Doctor Who, grippe parfois sa romance dans les rouages d'un concept assez lourd et qui n'arrive pour autant jamais vraiment à initier une réflexion solide sur le destin, le libre arbitre ou le fameux effet papillon.
La critique complète est disponible sur le site Première
The Hollywood Reporter
par Angie Han
Des personnages creux, un ton incertain et, surtout, un manque total d'alchimie empêchent The Time Traveler's Wife de s'élever à un niveau renversant.
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
Variety
par Daniel D'Addario
L'histoire ne parvient pas à convaincre que le couple partage beaucoup plus qu'une compréhension des obstacles qui les séparent. On passe tellement de temps à établir les règles du jeu de cette série qu'il y a peu de place pour jouer.
La critique complète est disponible sur le site Variety
Le Monde
par Au. F.
Ni Moffat ni ses acteurs ne parviennent à hisser la série à la hauteur de sa pourtant très belle ambition : faire du voyage à travers les temps et les âges une métaphore du mariage et des sentiments. La construction fastidieuse de l’histoire – qui nous est par moments littéralement sous-titrée –, ajoutée à une bande-son lacrymale, n’aide évidemment pas.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
RogerEbert.com
par Nandini Balial
La véritable star de ce programme télévisé affligeant et inutile est sa politique sexuelle et de genre toxique. (...) Et quelle que soit l'époque, l'écriture, le jeu des acteurs, la mise en scène, le montage et la musique vont du médiocre à l'horrible.
La critique complète est disponible sur le site RogerEbert.com
Entertainment weekly
par Darren Franich
Pour être clair, [The Time Traveler’s Wife] a de nombreux problèmes : des mauvaises perruques, des caractérisations molles, une intrigue indifférente. Dans le rôle de Claire adulte, Rose Leslie doit dire une chose ridicule après l'autre. (...) et il est rare, en ces jours sensibles, d'assister à une calamité aussi spectaculaire.
La critique complète est disponible sur le site Entertainment weekly
Collider
En tenant compte de certaines faiblesses de l'histoire, cette version est absolument la plus proche de la sensation que l'on peut ressentir en lisant le livre de Niffenegger, qui avait ses propres qualités addictives.
Télérama
Entre pure romcom aux élans mélodramatiques, comédie absurde et tragédie SF, The Time Traveler’s Wife profite aussi du charme de son couple principal, Rose Leslie (Game of Thrones) et Theo James (Divergente).
Le Figaro
Cette délicate réflexion sur le couple, l'indépendance affective et les métamorphoses intérieures débouche sur une idylle surnaturelle et existentielle qui n'a rien de fleur bleue.
Les Inrockuptibles
Généreuse et habilement architecturée, parfois un brin kitsch, The Time Traveler’s Wife est un curieux objet, dont on aurait aimé qu’il soit autre chose tout en se demandant bien ce qu’il aurait pu être d’autre. Un Doliprane, définitivement.
New York Times
Moffat et le réalisateur David Nutter ("Game of Thrones") l'ont rendue regardable - en privilégiant l'humour et l'action plutôt que le soap opera - mais ils n'ont pas réussi à susciter l'émotion, ou à dramatiser les idées, que tant de gens semblent trouver dans l'histoire.
Première
La narration est, il est vrai, quelque peu décousue, pour ne pas dire un brin fastidieuse. Steven Moffat, le créateur de Sherlock, qui a déjà largement jonglé avec le temps dans Doctor Who, grippe parfois sa romance dans les rouages d'un concept assez lourd et qui n'arrive pour autant jamais vraiment à initier une réflexion solide sur le destin, le libre arbitre ou le fameux effet papillon.
The Hollywood Reporter
Des personnages creux, un ton incertain et, surtout, un manque total d'alchimie empêchent The Time Traveler's Wife de s'élever à un niveau renversant.
Variety
L'histoire ne parvient pas à convaincre que le couple partage beaucoup plus qu'une compréhension des obstacles qui les séparent. On passe tellement de temps à établir les règles du jeu de cette série qu'il y a peu de place pour jouer.
Le Monde
Ni Moffat ni ses acteurs ne parviennent à hisser la série à la hauteur de sa pourtant très belle ambition : faire du voyage à travers les temps et les âges une métaphore du mariage et des sentiments. La construction fastidieuse de l’histoire – qui nous est par moments littéralement sous-titrée –, ajoutée à une bande-son lacrymale, n’aide évidemment pas.
RogerEbert.com
La véritable star de ce programme télévisé affligeant et inutile est sa politique sexuelle et de genre toxique. (...) Et quelle que soit l'époque, l'écriture, le jeu des acteurs, la mise en scène, le montage et la musique vont du médiocre à l'horrible.
Entertainment weekly
Pour être clair, [The Time Traveler’s Wife] a de nombreux problèmes : des mauvaises perruques, des caractérisations molles, une intrigue indifférente. Dans le rôle de Claire adulte, Rose Leslie doit dire une chose ridicule après l'autre. (...) et il est rare, en ces jours sensibles, d'assister à une calamité aussi spectaculaire.