Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
The Guardian
par Lucy Mangan
Il y a une bonne dose de sexe, de drogues, et d'hymnes de raves rétros dans cette nouvelle série brillante du créateur de La Casa de Papel qui offre du divertissement criard à son sommet.
La critique complète est disponible sur le site The Guardian
Télé Loisirs
par Thomas Robert, Anne Lenoir
Tonique, tortueuse juste comme il faut, cette intrigue inédite, portée par un casting mi-britannique, mi-espagnol, se révèle particulièrement prenante. (...) C'est un bol d'air pur qui est bienvenu après ce confinement.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
GQ
par Jérémy Patrelle
Les dix épisodes de cette série, qui alternent entre les langues anglaises et espagnoles, sont rythmés, endiablés, torrides et à forts rebondissements. Ce n'est peut-être pas la meilleure série Netflix, la plus aboutie, ou encore la plus émouvante… Mais elle a su nous captiver à chaque épisode, encore et encore, pour aller au bout d'une intrigue certes peu révolutionnaire mais diablement bien ficelée. White Lines est un très bon divertissement qui se consomme sans la moindre modération.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Le Figaro
par Constance Jamet
[Un] polar sous amphétamines qui, en dix épisodes, explore la vitalité d’Ibiza, de ses clubs et DJ, de ses concerts et rave parties à ciel ouvert, à travers le destin de quatre jeunes qui, dans les années 1990, fuient la grisaille de Manchester. (...) Accrochez-vous à vos sièges, ça va secouer!
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
Avec son récit balisé, ses personnages clichés et son mystère classique, White Lines fait le job mais sans panache. Sauf si vous aimez explorer des terrains vus et revus, la nouvelle série d'Alex Pina ne mérite pas que vous vous y attardiez.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Parisien
par Stéphanie Guerrin
Ce thriller ensoleillé tient en haleine grâce à un mystère bien entretenu, mais multiplie les ressorts scénaristiques outranciers.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Charles Martin
On se croirait dans une saga de l'été de TF1 ! Et pas qu'un peu. White Lines est un mélo criminel ringard, passablement excessif dans toute ce qu'il touche. (...) Malgré tout, on se laisse prendre par le mystère de la disparition d'Axel Collins. Chaque twist improbable nous rapproche un peu plus de la vérité et il faut bien l'avouer : on a toujours envie de jeter un oeil à l'épisode suivant, pour connaître la révélation ultime. White Lines est la définition même du plaisir coupable. Comme toutes les sagas de l'été finalement.
La critique complète est disponible sur le site Première
RogerEbert.com
par Nick Allen
White Lines mise tout sur l'esthétique, sans grand-chose derrière. C'est un roman de plage qui se regarde, et grâce auquel on peut même s'évader si une virée moyennement amusante à Ibiza vous paraît être une bonne idée pour le week-end. Ou si vous êtes excité, car à chaque fois qu'une personne fait l'amour dans la série, c'est montré à l'écran. Probablement parce que White Lines a le temps et le budget nécessaires, et aussi une idée très large de ce qui fait une bonne série.
La critique complète est disponible sur le site RogerEbert.com
Vanity Fair
par Gabriel Piozza
White Lines accumule les incohérences et les intrigues réchauffées. (...) La vie est trop courte pour s'infliger ça.
La critique complète est disponible sur le site Vanity Fair
The Guardian
Il y a une bonne dose de sexe, de drogues, et d'hymnes de raves rétros dans cette nouvelle série brillante du créateur de La Casa de Papel qui offre du divertissement criard à son sommet.
Télé Loisirs
Tonique, tortueuse juste comme il faut, cette intrigue inédite, portée par un casting mi-britannique, mi-espagnol, se révèle particulièrement prenante. (...) C'est un bol d'air pur qui est bienvenu après ce confinement.
GQ
Les dix épisodes de cette série, qui alternent entre les langues anglaises et espagnoles, sont rythmés, endiablés, torrides et à forts rebondissements. Ce n'est peut-être pas la meilleure série Netflix, la plus aboutie, ou encore la plus émouvante… Mais elle a su nous captiver à chaque épisode, encore et encore, pour aller au bout d'une intrigue certes peu révolutionnaire mais diablement bien ficelée. White Lines est un très bon divertissement qui se consomme sans la moindre modération.
Le Figaro
[Un] polar sous amphétamines qui, en dix épisodes, explore la vitalité d’Ibiza, de ses clubs et DJ, de ses concerts et rave parties à ciel ouvert, à travers le destin de quatre jeunes qui, dans les années 1990, fuient la grisaille de Manchester. (...) Accrochez-vous à vos sièges, ça va secouer!
Ecran Large
Avec son récit balisé, ses personnages clichés et son mystère classique, White Lines fait le job mais sans panache. Sauf si vous aimez explorer des terrains vus et revus, la nouvelle série d'Alex Pina ne mérite pas que vous vous y attardiez.
Le Parisien
Ce thriller ensoleillé tient en haleine grâce à un mystère bien entretenu, mais multiplie les ressorts scénaristiques outranciers.
Première
On se croirait dans une saga de l'été de TF1 ! Et pas qu'un peu. White Lines est un mélo criminel ringard, passablement excessif dans toute ce qu'il touche. (...) Malgré tout, on se laisse prendre par le mystère de la disparition d'Axel Collins. Chaque twist improbable nous rapproche un peu plus de la vérité et il faut bien l'avouer : on a toujours envie de jeter un oeil à l'épisode suivant, pour connaître la révélation ultime. White Lines est la définition même du plaisir coupable. Comme toutes les sagas de l'été finalement.
RogerEbert.com
White Lines mise tout sur l'esthétique, sans grand-chose derrière. C'est un roman de plage qui se regarde, et grâce auquel on peut même s'évader si une virée moyennement amusante à Ibiza vous paraît être une bonne idée pour le week-end. Ou si vous êtes excité, car à chaque fois qu'une personne fait l'amour dans la série, c'est montré à l'écran. Probablement parce que White Lines a le temps et le budget nécessaires, et aussi une idée très large de ce qui fait une bonne série.
Vanity Fair
White Lines accumule les incohérences et les intrigues réchauffées. (...) La vie est trop courte pour s'infliger ça.