Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Première
par Charles Martin
Chacun des personnages est merveilleusement écrit, et chaque dialogue claque dans l'air saturé de ce centre de relaxation où la tension est reine.
La critique complète est disponible sur le site Première
Brain Damaged
par Asma El Mardi
Si, un peu comme dans une pièce de théâtre, les protagonistes de Nine Perfect Strangers devaient proposer un attachement simultané, avec cette réclusion dans une retraite New Age tout ce qu’il y a de plus stéréotypé, on n’arrive pas à trouver de l’intérêt, bien qu’on reste intrigué par ce qui pourrait bien suivre.
La critique complète est disponible sur le site Brain Damaged
Le Parisien
par Stéphanie Guerrin et Franck Ragaine
« Nine Perfect Strangers », qui est adaptée d’un roman de Liane Moriarty comme « Big Little Lies », est loin d’atteindre le niveau de cette dernière. Elle reste néanmoins une œuvre troublante et divertissante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Figaro
par Constance Jamet
Nine Perfect Strangers joue avec nos nerfs en distillant la paranoïa et en nous suggérant un jeu de massacre à la Agatha Christie qui n’aura jamais lieu. Ce suspense artificiel, qui fait penser à une autre escapade paradisiaque et cauchemardesque cathodique, le très mordant The White Lotus sur OCS, frustre en dépit du calibre de la distribution prestigieuse.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Audrey Fournier
Ce n’est pas qu’on s’ennuie, mais la formule commence à s’user. Ce suspense qui n’en est pas vraiment un, ces petits mystères distillés au gré de scènes inutiles, moins pour tenir en haleine le spectateur que pour le forcer à enchaîner sur l’épisode suivant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Florence Colombani
Chaque personnage est entouré d’un voile de mystère. Mais à force de faire miroiter des révélations autour de Macha, Tony et les autres, David E. Kelley oublie de construire leurs histoires. Les révélations – certaines intéressantes, d’autres superflues – s’enchaînent sans que l’on se sente très concerné.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Olivier Joyard
Le souci, puisque souci il y a, c’est que Nine Perfect Strangers reste trop classique et appliquée pour vraiment accrocher. On perçoit un moment de l’ironie, on attend le développement d’une satire, et finalement un certain sentimentalisme l’emporte.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Pierre Langlais
S’il est difficile de tout à fait s’ennuyer devant un tel casting (Michael Shannon, Melissa McCarthy, Bobby Cannavale, Luke Evans…), cette minisérie trop lisse échoue à émouvoir.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Echos
par Laura Berny
Quand la vogue actuelle pour le développement personnel rencontre la nouvelle vague psychédélique… Une série pleine de promesses, tirée d'un roman de l'Australienne Liane Moriarty, qui se révèle un pétard mouillé.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Vanity Fair
par Richard Lawson
Nine Perfect Strangers est présentée comme une série élégante avec un message réel, mais elle ne fait qu'imiter cette forme. Il y a quelque chose d'algorithmique, de robotique dans cette série, comme si tous les acteurs avaient été assemblés par un ordinateur pour essayer de simuler une télévision qui fasse du bruit.
La critique complète est disponible sur le site Vanity Fair
Première
Chacun des personnages est merveilleusement écrit, et chaque dialogue claque dans l'air saturé de ce centre de relaxation où la tension est reine.
Brain Damaged
Si, un peu comme dans une pièce de théâtre, les protagonistes de Nine Perfect Strangers devaient proposer un attachement simultané, avec cette réclusion dans une retraite New Age tout ce qu’il y a de plus stéréotypé, on n’arrive pas à trouver de l’intérêt, bien qu’on reste intrigué par ce qui pourrait bien suivre.
Le Parisien
« Nine Perfect Strangers », qui est adaptée d’un roman de Liane Moriarty comme « Big Little Lies », est loin d’atteindre le niveau de cette dernière. Elle reste néanmoins une œuvre troublante et divertissante.
Le Figaro
Nine Perfect Strangers joue avec nos nerfs en distillant la paranoïa et en nous suggérant un jeu de massacre à la Agatha Christie qui n’aura jamais lieu. Ce suspense artificiel, qui fait penser à une autre escapade paradisiaque et cauchemardesque cathodique, le très mordant The White Lotus sur OCS, frustre en dépit du calibre de la distribution prestigieuse.
Le Monde
Ce n’est pas qu’on s’ennuie, mais la formule commence à s’user. Ce suspense qui n’en est pas vraiment un, ces petits mystères distillés au gré de scènes inutiles, moins pour tenir en haleine le spectateur que pour le forcer à enchaîner sur l’épisode suivant.
Le Point
Chaque personnage est entouré d’un voile de mystère. Mais à force de faire miroiter des révélations autour de Macha, Tony et les autres, David E. Kelley oublie de construire leurs histoires. Les révélations – certaines intéressantes, d’autres superflues – s’enchaînent sans que l’on se sente très concerné.
Les Inrockuptibles
Le souci, puisque souci il y a, c’est que Nine Perfect Strangers reste trop classique et appliquée pour vraiment accrocher. On perçoit un moment de l’ironie, on attend le développement d’une satire, et finalement un certain sentimentalisme l’emporte.
Télérama
S’il est difficile de tout à fait s’ennuyer devant un tel casting (Michael Shannon, Melissa McCarthy, Bobby Cannavale, Luke Evans…), cette minisérie trop lisse échoue à émouvoir.
Les Echos
Quand la vogue actuelle pour le développement personnel rencontre la nouvelle vague psychédélique… Une série pleine de promesses, tirée d'un roman de l'Australienne Liane Moriarty, qui se révèle un pétard mouillé.
Vanity Fair
Nine Perfect Strangers est présentée comme une série élégante avec un message réel, mais elle ne fait qu'imiter cette forme. Il y a quelque chose d'algorithmique, de robotique dans cette série, comme si tous les acteurs avaient été assemblés par un ordinateur pour essayer de simuler une télévision qui fasse du bruit.