Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
Télé 7 Jours
par Frédérick Rapilly
Superbement filmée et interprétée avec un scénario aux petits oignons, avec une pointe de noirceur et d'acidité, Fosse/Verdon se déguste. Tout simplement.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Le Parisien
par La rédaction
La narration fait sans cesse des allers-retours dans le temps, ce qui rend le récit dynamique et prend souvent le téléspectateur par surprise. Les numéros de danse sont franchement réjouissants et donnent envie de se replonger dans les films d’origine.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Frédéric Foubert
Si on regrette que Sam Rockwell ne danse pas assez (c’est pourtant son truc, il ne peut pas s’empêcher de se trémousser dans ses films), Michelle Williams impressionne franchement dans le rôle ingrat et un peu convenue de la muse délaissée, souffrant en silence, mais sauvant systématiquement la mise à son mari dans les moments critiques. Une performance hautement divertissante, dans un écrin très agréable à regarder.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Inrockuptibles
par Olivier Joyard
Une méditation nostalgique et amère sur la fin d’un genre, le musical, et la violence des sentiments.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Le Monde
par Renaud Machart
Les cinq épisodes que nous avons pu visionner sont une reconstitution crédible et soignée de l’époque de création collaborative entre Fosse et Verdon, qui déborde constamment le cadre chronologique pour se balader, de manière parfois irritante, entre des époques qu’on situe au postiche plus ou moins dégarni que porte Sam Rockwell, qui interprète Fosse.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Pierre Langlais
[L]a narration déstructurée, avec bonds dans le temps et va-et-vient entre les belles années et les périodes de crise, dynamise le relatif classicisme de l’ensemble. Reste un côté mécanique, presque artificiel, renforcé par l’interprétation de Michelle Williams et Sam Rockwell, certes impressionnants, mais tout en mimétisme.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Télé 7 Jours
Superbement filmée et interprétée avec un scénario aux petits oignons, avec une pointe de noirceur et d'acidité, Fosse/Verdon se déguste. Tout simplement.
Le Parisien
La narration fait sans cesse des allers-retours dans le temps, ce qui rend le récit dynamique et prend souvent le téléspectateur par surprise. Les numéros de danse sont franchement réjouissants et donnent envie de se replonger dans les films d’origine.
Première
Si on regrette que Sam Rockwell ne danse pas assez (c’est pourtant son truc, il ne peut pas s’empêcher de se trémousser dans ses films), Michelle Williams impressionne franchement dans le rôle ingrat et un peu convenue de la muse délaissée, souffrant en silence, mais sauvant systématiquement la mise à son mari dans les moments critiques. Une performance hautement divertissante, dans un écrin très agréable à regarder.
Les Inrockuptibles
Une méditation nostalgique et amère sur la fin d’un genre, le musical, et la violence des sentiments.
Le Monde
Les cinq épisodes que nous avons pu visionner sont une reconstitution crédible et soignée de l’époque de création collaborative entre Fosse et Verdon, qui déborde constamment le cadre chronologique pour se balader, de manière parfois irritante, entre des époques qu’on situe au postiche plus ou moins dégarni que porte Sam Rockwell, qui interprète Fosse.
Télérama
[L]a narration déstructurée, avec bonds dans le temps et va-et-vient entre les belles années et les périodes de crise, dynamise le relatif classicisme de l’ensemble. Reste un côté mécanique, presque artificiel, renforcé par l’interprétation de Michelle Williams et Sam Rockwell, certes impressionnants, mais tout en mimétisme.