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On peut aussi voir dans La Résidence (qui n’est cependant pas qu’un huis clos à la Maison Blanche), comme un écho aux Dix Petits Nègres (pardon, au roman Ils étaient dix !) d’Agatha Christie. Cupp/Poirot, même combat : celui de la vérité. Mais toujours avec humour et élégance !
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
La recette du film ou de la série d’enquête façon Cluedo est bien connue mais reste, pour autant, très efficace. Et ce n’est pas Netflix qui va dire le contraire puisque la plateforme met en ligne ce jeudi 20 mars "La Résidence", une nouvelle série qui coche toutes ces cases.
Comédie de bureau enlevée servie par une mise en scène vaudevillesque - de longs travelings transforment le bâtiment en gigantesque maison de poupées -, La Résidence s’inscrit dans la tradition de la satire sociale et de l’inversion des rôles entre maîtres et serviteurs.
Hautement divertissante malgré quelques longueurs, "La Résidence" est une fiction qui s’inspire aussi de nombreux témoignages de vrais employés de la Maison-Blanche recueillis dans un livre de la journaliste Kate Andersen Brower.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Uzo Aduba, découverte dans "Orange is The New Black", mène cette danse virevoltante avec beaucoup d’humour grâce à son personnage déjanté aux méthodes peu orthodoxes. Une comédie policière qui s’engloutit à l’envi.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Inattendue, nerveuse, cynique, désopilante et décalée, cette mini-série, multipliant les rebondissements, cultive autant le mystères que l'humour ,et ne devrait pas décevoir ceux qui se sont régalés avec la saga "A couteaux tirés", sur Netflix aussi !
La mise en scène joue aussi diablement bien avec nos nerfs en montrant différentes versions de l'histoire au fil des témoignages que recueille Cordelia, parfaitement interprétée par Uzo Aduba.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
"The Residence" est comme un bonbon. Un plaisir sucré en bouche qui appelle immédiatement à remettre sa main dans le paquet. Une loufoquerie énergique servie par un super casting qui ravira les amateurs d'enquête policière avec beaucoup d'humour.
La formidable Uzo Aduba est heureusement là pour remonter le niveau de cette production de Shonda Rhimes, à l’écriture maladroite. On retiendra tout de même un casting au top, un montage aux petits oignons et un immense potentiel pour les amateurs de cosy mystery, à la recherche d’une petite douceur sans prise de tête.
La critique complète est disponible sur le site Numerama
"La Résidence" joue sur la satire et le décalage pour démêler les fils de son intrigue complexe. Le ton n’est pas aussi fluide ni aussi abouti que dans les films de Rian Johnson, mais l'enquête reste un petit plaisir coupable, avec ses airs de gigantesque puzzle de 1000 pièces qui finit lentement par s’assembler.
La critique complète est disponible sur le site Première
"La Résidence" divertit sans peine par son intrigue à tiroirs et sa mise en scène plutôt soignée. Mais on était en droit d’attendre bien plus d’un whodunit au contexte aussi ouvertement politique.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
De temps en temps surgissent quelques lignes de dialogues bien senties. On sourit en regrettant tout ce que la série aurait pu être. Avant de grimacer à cause de tout ce qu’elle n’est pas…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
On peut aussi voir dans La Résidence (qui n’est cependant pas qu’un huis clos à la Maison Blanche), comme un écho aux Dix Petits Nègres (pardon, au roman Ils étaient dix !) d’Agatha Christie. Cupp/Poirot, même combat : celui de la vérité. Mais toujours avec humour et élégance !
Elle
Agatha Christie revue à la sauce "House of Cards" par Shonda Rhimes ? On valide !
Huffington Post (FR)
La recette du film ou de la série d’enquête façon Cluedo est bien connue mais reste, pour autant, très efficace. Et ce n’est pas Netflix qui va dire le contraire puisque la plateforme met en ligne ce jeudi 20 mars "La Résidence", une nouvelle série qui coche toutes ces cases.
Le Figaro Magazine
Comédie de bureau enlevée servie par une mise en scène vaudevillesque - de longs travelings transforment le bâtiment en gigantesque maison de poupées -, La Résidence s’inscrit dans la tradition de la satire sociale et de l’inversion des rôles entre maîtres et serviteurs.
Le Parisien
Hautement divertissante malgré quelques longueurs, "La Résidence" est une fiction qui s’inspire aussi de nombreux témoignages de vrais employés de la Maison-Blanche recueillis dans un livre de la journaliste Kate Andersen Brower.
Ouest France
Uzo Aduba, découverte dans "Orange is The New Black", mène cette danse virevoltante avec beaucoup d’humour grâce à son personnage déjanté aux méthodes peu orthodoxes. Une comédie policière qui s’engloutit à l’envi.
Télé 7 Jours
Inattendue, nerveuse, cynique, désopilante et décalée, cette mini-série, multipliant les rebondissements, cultive autant le mystères que l'humour ,et ne devrait pas décevoir ceux qui se sont régalés avec la saga "A couteaux tirés", sur Netflix aussi !
Télé Loisirs
La mise en scène joue aussi diablement bien avec nos nerfs en montrant différentes versions de l'histoire au fil des témoignages que recueille Cordelia, parfaitement interprétée par Uzo Aduba.
Téléstar
Bien loin de son personnage de Crazy Eyes dans "Orange is the New Black", Uzo Aduba est parfaite en enquêtrice aux intuitions géniales.
Le Journal du Geek
"The Residence" est comme un bonbon. Un plaisir sucré en bouche qui appelle immédiatement à remettre sa main dans le paquet. Une loufoquerie énergique servie par un super casting qui ravira les amateurs d'enquête policière avec beaucoup d'humour.
Numerama
La formidable Uzo Aduba est heureusement là pour remonter le niveau de cette production de Shonda Rhimes, à l’écriture maladroite. On retiendra tout de même un casting au top, un montage aux petits oignons et un immense potentiel pour les amateurs de cosy mystery, à la recherche d’une petite douceur sans prise de tête.
Première
"La Résidence" joue sur la satire et le décalage pour démêler les fils de son intrigue complexe. Le ton n’est pas aussi fluide ni aussi abouti que dans les films de Rian Johnson, mais l'enquête reste un petit plaisir coupable, avec ses airs de gigantesque puzzle de 1000 pièces qui finit lentement par s’assembler.
Ecran Large
"La Résidence" divertit sans peine par son intrigue à tiroirs et sa mise en scène plutôt soignée. Mais on était en droit d’attendre bien plus d’un whodunit au contexte aussi ouvertement politique.
Télérama
De temps en temps surgissent quelques lignes de dialogues bien senties. On sourit en regrettant tout ce que la série aurait pu être. Avant de grimacer à cause de tout ce qu’elle n’est pas…