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Eve Thouvenin
1 critique
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0,5
Publiée le 15 juin 2024
Vous êtes entrain de perdre la série, quel dommage !! Trop de protagonistes à côté, pas assez concentré sur Colin et Pen et massacre de la prochaine histoire de Francesca qui pourtant une des plus belle des romans. Le personnage de Bénédict tourne au carnage. Je comprends pas les concepteurs de la série qui ont pourtant une petite pépite entre leurs doigts. A trop vouloir sortir du cadre ,on ce perd .
La saison 3 est très très mauvaise, les deux protagonistes n'ont aucune alchimie, Colin est macho et joue très mal, c'en est ridicule ! Très répétitif et ennuyeux. Dans le dernier épisode, on s'aperçoit que l'histoire d'amour de Francesca sera homosexuelle, avec un Michael qui devient Michaela et leur premier regard est ridicule et tellement loin du livre ! Est-ce nécessaire ? Il faut prendre la série comme n'ayant rien à voir avec les livres à part le nom des protagonistes ! Dans cette dernière saison l'histoire est totalement modifiée et c'est dommage ! Nous l'avons attendu 2ans pour un ennui et une déception sans limites ! Je ne m'attends plus à rien pour la saison suivante ! Un conseil : lisez les livres ! C'est bien plus intéressant et grisant !
Pourquoi cette série continue -t-elle d'avoir autant de succès? La saison 2 était fade et la saison 3 est ridicule malgré la très belle interprétation de Nicolas Coughlin qui joue Penelope. On sent que les scénaristes se sont perdus au fur et à mesure, à force d'avoir axé les histoires de Julia Quinn sur leurs propres récits et valeurs : du sexe à tout prix qui n'apporte rien à l'intrigue, de l'inclusion à tout prix qui finit par être ridicule, et des diffamations et des calomnies à tout prix antinomiques de la noblesse et de l'aristocratie qu'ils représentent à l'écran. C'est le pire des résultats : du sensationnalisme à chaque minute, aucune progression narrative et émotive, c'est décousu aussi. L'équipe de Shondaland a trahi sans honte aucune ce qui faisait tout le charme des livres de la chronique des Bridgerton, à savoir son esprit et son âme. Tout s'en ressent dans cette saison, mécanique, remplie d'artifices, sans foi ni loi. Comment oser montrer des aristocrates se conduisant comme des commères au marché et des chiffonniers?