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Alasky
359 abonnés
3 460 critiques
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1,0
Publiée le 6 août 2024
Je n'ai pas été capable d'aller au-delà de la saison 1 car c'est très mou, fade, mal joué, révisionniste, redondant, confus bref, tout ce que je n'aime pas dans une série. Les personnages ne sont pas très charismatiques et surjouent, dommage car l'idée de base n'était pas trop mal.
Ce qui aurait pu être une bonne série retombe comme un soufflé a cause de plusieurs énormes défauts : La plupart ds grands plans extérieurs retravaillés au numérique qui n'apporte rien, voire pire, enlaidissent l'ensemble, une aristocratie anglaise qui vue par des américains se retrouve caricaturée a l'extrême, des personnages secondaires a peine ébauchés spoiler: (Dieu que Heloïse aurait mérité autre chose, ainsi que Siena...) et un scénario dont les rebondissements sont prévisibles dès le premier épisode. Pour en combler le vide abyssal, on meuble en insérant une scène de sexe toutes les 20 minutes....
Les tenues sont cependant jolies et colorées bien que peu fidèle historiquement, le jeu d'acteur moyen sans plus. Bref une serie qui peut plaire car elle reste simpliste et ne fatiguera personne sur le plan intellectuel.
ralalala mais quand je lis les commentaires ici, je désespère de voir un jour la société évoluer. les gars, c'est une fiction tirée d'un livre et en aucun cas une oeuvre historique. donc allez péter un coup, croyez moi, ça fait du bien de temps en temps. parlons de la série, je l'ai maté d'une traite, et j'ai adoré. enfin une série anglosaxone où la violence n'est pas maitresse, mais une série où l'amour est reine. et alors, des noirs aristo, ça vous dérange ? haaaaaaaaaa vous aimez le temps des colonisations où les noirs étaient vos esclaves... ça doit vous être inssuportable de voir une fiction où la reine est noir, le duc est noir. scoop y a même des asiats à un moment donné. bref moi qui suit à fond série à l'eau de rose, j'ai été aux anges, et j'en redemande, vivement la saison 2. un énorme merci à netflix d'avoir mis des moyens colossaux dans cette série, car le rendu visuel est tout simplement magnifique
J’hallucine du nombre de commentaires racistes sur cette série. A vous lire on interdirait la Comédie Française et Molière aux acteurs de couleurs juste parce que vous ne savez pas faire la différence entre un personnage et l’interprète.
Cette série est une fantaisie, l’histoire aussi et d’ailleurs le langage utilisé est trop moderne pour passer pour un documentaire d’époque... et c’est ça qui est bon !!!! C’est frais et drôle. Ça n’a rien à voir avec le politiquement correct. Pour les puristes il y a les séries de la bbc (que j’aime aussi beaucoup) mais si comme j’ai lu « une noire en crinoline » vous fait saigner des yeux passez votre chemin et allez consulter.
L'aristocratie anglaise par les anglais (Downton Abbey) versus la même par les américains (la chronique des Bridgerton)... Version anglaise crédible, version américaine totalement délirante ! Des noirs ducs, comtes, reine en Angleterre au début du 19° siècle ! Faut-il y voir que le politiquement correcte a encore frappé ou faut-il prendre cette série au 3° degré ? Personnages par ailleurs pas très classes sans l'ensemble. Les décors eux-mêmes ne sont pas réalistes. Bref je n'aime pas, je ne finirai pas la saison.
J'ai adoré cette 1ere saison, j'ai hâte de voir la suite ... Les personnages sont très attachant et j'aime les intrigues ... Les décors et tenues sont superbes ...
Sans intérêt, le ton est à côté de ce que pouvait transmettre les écrits et il est difficile d'ignorer le message politiquement correct du casting qui personnellement me sort instantanément de l'histoire.
Avec un esthétique haut en couleur, des décors de prestige et des costumes somptueux, il est évident que La Chronique des Bridgerton est irréprochable visuellement. Tandis que le casting, très performant à l’écran, nous plonge dans une belle ambiance d’aristocratie anglaise assez plaisante. Malgré sa réalisation plus que remarquable, la série n’a rien de transcendant scénaristiquement. L’intrigue, qui finalement, ne montre que très peu d’intérêt, tourne autour d’une romance insignifiante bourrée d’érotisme qui s’idéalise bien trop peu à la réalité. Bien que la série préserve un certain mystère autour de l’identité secrète de Lady Whistledown, elle n’est pas assez haletante et parfois trop répétitive sur la durée pour en être une réussite. - 13/20 Critique sur La Chronique des Bridgerton (saison 1) Vue du 10 au 15.01.2021 sur Netflix
Le plongeon dans le premier épisode a été difficile et puis je me suis prise au jeu et ce fut un bain de plaisir ! D'abord pour les yeux, tant les décors et les costumes sont éblouissants sans oublier la beauté du duc de Hastings ! Bon, le scénario , très fleur bleue, ne colle peut être pas à l'histoire mais quelle importance ? Le cinéma c'est ça justement ! D'avoir un casting d'acteur d'origines différentes est aussi une excellente idée et ne pose aucun problème, au contraire, Shonda Rhimes nous lance un vrai défi, de ne voir les personnages que pour ce qu'ils représentent et non pas pour leurs différences physiques. Génial, j'ai adoré et en cette période de confinement où le temps s'est arrêté à bien des égards, cette série nous embarque sans besoin de réfléchir et on se laisse porter. avec plaisir...!
Londres, début du dix-neuvième siècle, Daphné Bridgerton, l’ainée des filles d’une riche famille, s’apprête à entrer dans le monde. Lors de la présentation des jeunes filles, Daphné fait sensation, la reine la qualifie de diamant, faisant d’elle la préférée. Les demandes en mariage devraient se bousculer à sa porte mais c’est sans compter le comportement surprotecteur de son frère ainé Anthony, occupant la place de chef de famille depuis le décès de son père. Les prétendants fuient tous sauf un beaucoup plus âgé qu’elle, l’idée ne l’enchante guère ! C’est alors qu’elle rencontre le Duc Simon Basset avec qui Daphné va échafauder un plan ingénieux dans le but d’être reconquis par les meilleurs partis de Londres. Dans cette série, la narratrice Lady Whisthedown bat la mesure au son de commérages et de scandales mettant un peu de piment dans l’actualité de la ville. Adaptée d’une série de romans et produite par Shonda Rhimes (Grey’s Anatomy, Scandal et Murder), La Chronique des Bridgerton est très originale, en total décalage avec la société londonienne de l’époque, les décors et les costumes sont très colorés. Une très jolie série romantique 💘
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La laideur visuelle de Bridgerton n’a d’égale que sa vulgarité scénaristique, tant la nouvelle série made by Netflix échoue à restituer une époque et ses mentalités, vues à travers le prisme déformant du spectre contemporain. Les robes, la coquetterie, les bals, tout cela ne sert qu’à préparer l’initiation sexuelle de la jeune Daphne qui, passés les premiers épisodes, révèle ce sein que l’on ne saurait voir, écrasée sous les coups de hanche du beau Simon. Nous sommes à mi-chemin entre Sex Education et la saga Fifty Shades, en costumes – nuances ! La série se complaît alors dans une fausse pruderie sous prétexte de démasquer l’hypocrisie ambiante et libérer la femme. Erreur ! La série ne soucie à aucun moment de la justesse historique, recyclant une série de poses et d’actions qui « font XIXe siècle » (carrosses, duellistes, déambulation dans les jardins avec robes et ombrelles) : elle ne fait qu’aguicher, réduit aussitôt ses personnages à des corps dans un décor de pacotille plus proche des lieux de débauche que de la reconstitution à proprement parler. Cette société londonienne ainsi fardée n’a de haut que ses titres ronflants, mise en scène, cadrée, éclairée avec un amateurisme confondant : entre l’esthétisation stérile – à l’instar de ce travelling arrière qui filtre les amants au lit par les mailles de la chaise comme pour les laisser tranquilles, alors que la caméra ne peut s’empêcher, au plan suivant, d’y retourner – et l’approximation.
Cette série de Netflix compte actuellement 1 saison et 8 épisodes. Elle est inspirée du roman en plusieurs volumes de Julia Quinn. La famille Bridgerton : la mère, veuve et ses 8 enfants. Les Bridgerton évoluent au sein de la noblesse londonienne du 19ème siècle, dans le sillage de la reine. Cette première saison s’attache aux amours de Daphné Bridgerton, sans oublier tout le petit monde qui gravite autour d’elle. A cette époque, une mystérieuse Lady Whistledown évoque la vie londonienne dans une chronique ironique et bien renseignée.
La nouvelle série de Chris Van Dusen, aux décors et costumes très colorés, romanesque et bien enlevée, avec un côté bluette, mais prescrite pour les plus de 16 ans, se suit comme une saison des « desperate housewives » du 19ème siècle (« la chronique des Bridgerton » s’en rapproche davantage, que de « Downton Abbey » par son piquant, la voix off de la chroniqueuse et le côté addictif).
Cela dit et cet aspect est énorme, les auteurs de la série nous trompent sur la marchandise. « Les chroniques de Bridgerton » sont présentées comme une fiction historique à la Jane Austen, alors qu’il s’agit de tout autre chose.
Cette série est une uchronie (l’uchronie est un genre qui repose sur le principe de la réécriture de l’Histoire à partir de la modification du passé), une histoire passée qui se déroule dans un monde alternatif. Bref c’est de la science fiction. Un peu comme « Inglorious basterd » ou « Django enchained » de Tarantino (films que je n’aime pas du tout à cause justement de la torsion historique imposée aux scénarios).
L’erreur n’a pas été de réaliser cette série tout à fait intéressante et agréable, mais d’avoir menti sur le genre de la série.
Je suis un peu tombée des nues en découvrant petit à petit le film, mais une fois habituée à cet autre monde, j’ai bien aimé. Mon blog : larroseurarrose.com
Netflix s'associe à Shondaland et nous offre la plus élégante de leurs création, jusqu'à présent. Drôle, émouvant, captivant : La Chronique des Bridgerton nous conquiert en seulement quelques minutes. On se délecte de chaque épisode, de toute cette superbe galeries de personnage, du magnifique couple former par Phoebe Dynevor et Regé-Jean Page qu'on ne peut plus quitter des yeux. Une série qui s'annonce déjà culte. On avait vu plus rafraichissant et plus addictif depuis Downton Abbey. Clairement le coup de coeur de ce début d'année 2021 !