Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Geo B
6 abonnés
8 critiques
Suivre son activité
Critique de la saison 1
0,5
Publiée le 6 janvier 2021
Sans intérêt, le ton est à côté de ce que pouvait transmettre les écrits et il est difficile d'ignorer le message politiquement correct du casting qui personnellement me sort instantanément de l'histoire.
Tirée du roman d’une Américaine, cette chronique qui se passe à Londres au début du 19ème siècle (1810) est très décevante à plus d’un titre. D’abord ce côté « moderniste », j’allais dire « gros sabots » des Américains qui sont un peuple quasiment sans Histoire, qu’on est loin des réalisations anglaises, toutes en finesse, tirées notamment de Jane Austen. Ensuite, ne pas s’embarrasser de la réalité historique, voilà qui est aussi très américain : certes la reine Charlotte était métisse, mais tous ces noirs faisant partie de l’aristocratie londonienne de l’époque, ça ne cadre franchement pas avec le grand cloisonnement des peuples d’alors. Dommage, car pour le reste, c’est plutôt pas mal : les costumes, l’ambiance. Mon épouse, fan de Jane Austen qu’elle a beaucoup lue, a mieux apprécié que moi, même si elle regrette les tares précitées. Ceci me fait dire que cette série est davantage destinée à un public féminin et jeune, pour le côté moderniste (ajoutons les scènes de sexe très explicites...).
Je mets cinq étoiles car cette série est injustement descendue. Je suis moi-même une férue d'histoire, mais ici on passe outre. Une série tellement fraîche et qui fait du bien... Je n'avais rien vu d'aussi romantique depuis "Orgueil et préjugés ".... Foncez les filles....
Cette série de Netflix compte actuellement 1 saison et 8 épisodes. Elle est inspirée du roman en plusieurs volumes de Julia Quinn. La famille Bridgerton : la mère, veuve et ses 8 enfants. Les Bridgerton évoluent au sein de la noblesse londonienne du 19ème siècle, dans le sillage de la reine. Cette première saison s’attache aux amours de Daphné Bridgerton, sans oublier tout le petit monde qui gravite autour d’elle. A cette époque, une mystérieuse Lady Whistledown évoque la vie londonienne dans une chronique ironique et bien renseignée.
La nouvelle série de Chris Van Dusen, aux décors et costumes très colorés, romanesque et bien enlevée, avec un côté bluette, mais prescrite pour les plus de 16 ans, se suit comme une saison des « desperate housewives » du 19ème siècle (« la chronique des Bridgerton » s’en rapproche davantage, que de « Downton Abbey » par son piquant, la voix off de la chroniqueuse et le côté addictif).
Cela dit et cet aspect est énorme, les auteurs de la série nous trompent sur la marchandise. « Les chroniques de Bridgerton » sont présentées comme une fiction historique à la Jane Austen, alors qu’il s’agit de tout autre chose.
Cette série est une uchronie (l’uchronie est un genre qui repose sur le principe de la réécriture de l’Histoire à partir de la modification du passé), une histoire passée qui se déroule dans un monde alternatif. Bref c’est de la science fiction. Un peu comme « Inglorious basterd » ou « Django enchained » de Tarantino (films que je n’aime pas du tout à cause justement de la torsion historique imposée aux scénarios).
L’erreur n’a pas été de réaliser cette série tout à fait intéressante et agréable, mais d’avoir menti sur le genre de la série.
Je suis un peu tombée des nues en découvrant petit à petit le film, mais une fois habituée à cet autre monde, j’ai bien aimé. Mon blog : larroseurarrose.com
Avec un esthétique haut en couleur, des décors de prestige et des costumes somptueux, il est évident que La Chronique des Bridgerton est irréprochable visuellement. Tandis que le casting, très performant à l’écran, nous plonge dans une belle ambiance d’aristocratie anglaise assez plaisante. Malgré sa réalisation plus que remarquable, la série n’a rien de transcendant scénaristiquement. L’intrigue, qui finalement, ne montre que très peu d’intérêt, tourne autour d’une romance insignifiante bourrée d’érotisme qui s’idéalise bien trop peu à la réalité. Bien que la série préserve un certain mystère autour de l’identité secrète de Lady Whistledown, elle n’est pas assez haletante et parfois trop répétitive sur la durée pour en être une réussite. - 13/20 Critique sur La Chronique des Bridgerton (saison 1) Vue du 10 au 15.01.2021 sur Netflix
On apprécie la mixité et le récit prenant mais le scénario, les dialogues et les personnages superficiels, l'absence de mise en scène, le sexisme, le patriarcat et les clichés de l'ensemble nous laissent de côté.
Fuyez, c'est du grand n'importe quoi. Le contexte social de l'époque n'est pas du tout respecté. Politiquement correct et cancel culture à tous les étages, c'est grotesque.
Vraiment un peu décevant... sorte de gossip girl vintage en Angleterre.. mais l'héroïne fait trop nunuche et naïve.. les personnages sont caricaturaux et on s'ennuie au final beaucoup.. scènes erotiques assez inappropriées et répétitives...
J'ai acheté le premier livre parmi les 9. Et je compte bien faire l'acquisition des autres. C'est dire à quel point cette serie m'a captivée. Le scénario est vraiment bien monté Il est cohérent Il suit quasiment le roman Et j'apprécie le fait que SHONDALAND (en partenariat avec NETFLIX) ait pris le temps d'en faire une serie de 8 episodes Cela permet d'avoir une histoire bien développée et... cohérente je le rappelle On sent que cette série a vraiment été préparée, travaillée pour donner quelque chose d'époustouflant. On se retrouve plonger dans un Londres où l'aristocratie les titres et le devoir passent avant les sentiments. L'actrice principale joue merveilleusement bien Et son partenaire à l'écran est tout aussi doué qu'elle Ils sont si bien ancrés dans leur rôle respectif qu'on croirait que l'histoire est réelle Les autres acteurs sont dans leurs rôles également. On ne voit plus les acteurs tant ils se fondent dans leur personnage. On ne dirait pas des coquilles vides déposées là pour meubler la serie Ils ont vraiment un rôle important à jouer Comme Pénélope ou encore lady Danmbury... C'est l'histoire de Daphné et Simon mais pas seulement. Et NETFLIX n'a pas mis de côté toutes les histoires adjacentes à la principale Ce qui donne un pur chef d'oeuvre comme je n'en avais vu depuis très longtemps Un pur ravissement Une histoire idyllique pleine de rebondissement. Sans pour autant brûler les etapes. Une serie où secrets, rumeurs et pudeur font partie du quotidien. Une merveille Pour ma part j'ai été convaincue par ce chef d'oeuvre. Et j'ajoute que je serais ravie, si autant de saisons, qu'il n'existe de romans, sortaient par la suite.
Le plongeon dans le premier épisode a été difficile et puis je me suis prise au jeu et ce fut un bain de plaisir ! D'abord pour les yeux, tant les décors et les costumes sont éblouissants sans oublier la beauté du duc de Hastings ! Bon, le scénario , très fleur bleue, ne colle peut être pas à l'histoire mais quelle importance ? Le cinéma c'est ça justement ! D'avoir un casting d'acteur d'origines différentes est aussi une excellente idée et ne pose aucun problème, au contraire, Shonda Rhimes nous lance un vrai défi, de ne voir les personnages que pour ce qu'ils représentent et non pas pour leurs différences physiques. Génial, j'ai adoré et en cette période de confinement où le temps s'est arrêté à bien des égards, cette série nous embarque sans besoin de réfléchir et on se laisse porter. avec plaisir...!
J'ai regardé un peu le début, mais n'est pas jane austen qui veut ! Je n'ai rien contre les fictions, mais pour pouvoir rentrer dans l'histoire j'ai besoin d'un minimum de "crédibilité" et de fait, je n'aime pas du tout les anachronismes ! Dommage, je passe peut être à côté d'un bon scénario, mais ce n'est pas possible là !
Un casting particulièrement gênant. Faire croire aux plus jeunes que la cour d'Angleterre du début du XIXe était habitée de nobles de couleur est malhonnête vis à vis de la réalité. Je ne parle même pas d'une reine d'Angleterre métis. Dommage de mettre un tel budget dans les costumes et les décors pour finir avec de tels anachronismes.
Une série addictive mais à prendre à la légère, il ne s'agit surtout pas d'une série historique mais bien d'une histoire d'amour (avec beaucoup de scènes de sexe, ce n'est pas pour les enfants) et de cancans traités avec légèreté et humour. Ceux qui critiquent les costumes et décor n'ont pas du comprendre le ton qu'on a voulu donner. En tout cas pour moi ça fonctionne, je me suis laissée prendre au jeu avec plaisir.
Londres, début du dix-neuvième siècle, Daphné Bridgerton, l’ainée des filles d’une riche famille, s’apprête à entrer dans le monde. Lors de la présentation des jeunes filles, Daphné fait sensation, la reine la qualifie de diamant, faisant d’elle la préférée. Les demandes en mariage devraient se bousculer à sa porte mais c’est sans compter le comportement surprotecteur de son frère ainé Anthony, occupant la place de chef de famille depuis le décès de son père. Les prétendants fuient tous sauf un beaucoup plus âgé qu’elle, l’idée ne l’enchante guère ! C’est alors qu’elle rencontre le Duc Simon Basset avec qui Daphné va échafauder un plan ingénieux dans le but d’être reconquis par les meilleurs partis de Londres. Dans cette série, la narratrice Lady Whisthedown bat la mesure au son de commérages et de scandales mettant un peu de piment dans l’actualité de la ville. Adaptée d’une série de romans et produite par Shonda Rhimes (Grey’s Anatomy, Scandal et Murder), La Chronique des Bridgerton est très originale, en total décalage avec la société londonienne de l’époque, les décors et les costumes sont très colorés. Une très jolie série romantique 💘
Pour encore plus de critiques et de bonne humeur, suivez-moi sur Facebook et Instagram : Le Vidéo club de Sabrina !
Je n'ai même pas réussi à terminer le premier épisode. Cette série ne correspond pas à la réalité historique de l'Angleterre du XIXème siècle. Pas du tout intéressante, kitsch et ennuyeuse, je ne comprends pas ce que Netflix cherche à faire avec ce genre de série, on dirait qu'ils veulent nous faire passer un message politique actuel, bref à éviter.