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Critiques spectateurs
Critiques presse
Note moyenne
3,2
6 titres de presse
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Le Figaro
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Télé Loisirs
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Téléstar
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Le Parisien
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Télé Câble Sat
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Télérama
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Le Figaro
Le roman de H. G. Wells est adapté avec brio dans une série éponyme avec Léa Drucker et Gabriel Byrne. Une vision saisissante et intimiste à rebours du blockbuster de Spielberg.
Télé Loisirs
Déroulant un récit contemporain, La guerre des mondes s’appuie avant tout sur ses personnages, leurs émotions et leur capacité à survivre. (...) De nombreux thèmes actuels sont donc abordés au fur et à mesure des épisodes, que ce soit la politique, l’immigration ou encore le terrorisme. Et grâce aux prestations remarquables de Gabriel Byrne, Elizabeth McGovern ou encore Léa Drucker, on est vite happé par un univers qui donne des frissons.
Téléstar
La science-fiction ne sert que de toile de fond dans cette énième et moderne adaptation du livre éponyme qui s'attarde avec réussite aux ressorts psychologiques des survivants.
Le Parisien
De premier abord, la nouvelle création de Canal + ne respire pas l'originalité. Pourtant, le premier atout de cette série est de se détacher de l'œuvre d'origine (...). Côté casting, pas de héros qui domine mais une galerie de personnages dont les trajectoires vont se croiser. (...) Cette variété de destins est plutôt séduisante au départ, mais de plus en plus de personnages font leur apparition au fil des épisodes, ce qui laisse assez peu de temps au téléspectateur à passer avec chacun d'eux. La trame parfois décousue nuit à notre implication dans l'histoire. Un défaut qu'il faudra rectifier si la série se prolonge comme prévu sur plusieurs saisons.
Télé Câble Sat
Prenant racine dans le livre culte de H.G. Wells, la série s’en éloigne rapidement. Et si elle assume pleinement sa dimension spectaculaire, elle préfère clairement tisser un récit de survie, parfois un peu longuet mais toujours à hauteur humaine. Ancrée dans le monde moderne, elle est en outre un révélateur des tensions qui agitent nos sociétés.
Télérama
Passer après Spielberg et sa spectaculaire vision du classique de H.G. Wells ne donnait pas d’autre choix à Howard Overman, le créateur de Misfits, que de cultiver son art du contre-pied. Pas de vaisseaux gigantesques ni de batailles au laser dans la première série de SF de Canal+ coproduite avec la Fox : cette apocalypse-là frappe à notre porte, dans les rues de Londres et de Paris, sans laisser à nos semblables le temps de hurler. (...) La fin du monde prend parfois un goût de soap, voire de mélo roublard, pour malaxer son éternelle question : que reste-t-il, quand la vie ne tient plus qu’à un fil ? On entrevoit déjà la réponse.