Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Le Monde
par Mustapha Kessous
Dans la saison 4 de cette série ultraréaliste, un flic de la DEA affronte un baron sud-américain de la drogue. Haletant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Juliette Mitoyen
Eric Newman, showrunner du feuilleton, reprend la recette qui a fait le succès de la série dès 2015 : corruption, trahison, retournements de situation, suspense, drames intimistes, violence… Beaucoup de violence. Même si elle s'avère – un peu – plus 'propre ' que dans les précédentes saisons, les narcotrafiquants mexicains préférant les balles aux écartèlements. Narcos : Mexico reste fidèle à l'ADN de la série jusque dans les images d'archives qui ouvrent chaque épisode. Comme pour les précédentes saisons, les faits et personnages portés à l'écran sont en effet réels ou proches de la réalité. La série met d'ailleurs le doigt sur un nombre important de dysfonctionnements au sein des institutions mexicaines, qui, au passage, subsistent encore aujourd'hui.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Première
par Charles Martin
C'est toujours aussi incroyable. Au sens littéral. Vraiment, il est difficile de croire que tout ce qui se passe dans Narcos : Mexico est tiré d'une histoire vraie. Comme depuis le début de la série, on est subjugué par l'enchaînement des événements et des drames qui entourent le milieu de la drogue. Bien sûr, on a quitté la Colombie pour le Mexique. Mais Narcos reste Narcos et l'ADN du show est toujours là. Plus encore, en changeant de décor, il réussit à se renouveler. Même si les épisodes sont un peu longs (plus d'une heure chacun), le rythme est particulièrement intense. L'action est omni-présente. Et les rebondissements aussi dramatiques qu'inattendus (sauf si vous êtes incollable sur l'Histoire des trafiquants mexicains) vous invitent à un binge-watching total. Rien que le premier épisode, à couper le souffle, vous mettra dans l'ambiance pour les 9 heures à suivre, posant le décor d'un cartel nouveau-né, en train de prendre forme, lentement mais sûrement.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé Loisirs
par Albin Duvert
Comme pour sa cousine colombienne, ce nouveau Narcos, également tiré de faits réels, plonge les téléspectateurs dans un univers sombre, parfois violent mais très bien documenté. Les nouveaux acteurs n'ont pas à rougir de la comparaison avec les précédents, avec notamment un Diego Luna aussi angoissant qu'ambigu. Les fans de la première version se laisseront séduire !
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Brain Damaged
par Aïssatou Loum
Si l’histoire est basée sur de vrais événements et des personnes réelles, tout n’est pas à prendre au pied de la lettre. C’est du divertissement, un bon divertissement qui fait son travail de recherches mais qui n’oublie pas ce qu’il est : une série télé. Une bonne série, bien construite et qui garde complètement l’ADN de la série originale.
La critique complète est disponible sur le site Brain Damaged
L'Express
par Valentin Pimare
Le constat s'impose. Après le visionnage des cinq premiers épisodes disponibles pour la presse, Narcos continue de fasciner. L'univers de la drogue y est toujours aussi justement dépeint. Les grandes qualités sont toujours au rendez-vous : rendu quasi-documentaire, voix-off omniprésente, suspense, reconstitution brute et minutieuse... En voulant conter l'histoire des cartels mexicains, la série prend des faux airs de Scarface. Même si la grandiloquence des événements est en décalage avec les deux personnages principaux étrangement mutiques, leur affrontement inévitable tiendra, on l'espère, ses promesses de grande tragédie shakespearienne.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Si on retrouve avec plaisir son écriture alanguie, son interprétation et sa réalisation de haut-vol, son mélange réussi avec des documents d'archive, son ancrage spatio-temporel aussi juste que sensible et son atmosphère hyper-réaliste faite de violence et de manoeuvres politiques machiavéliques, ses dix épisodes ne proposent pas vraiment le renouvèlement promis par sa délocalisation. Sa démesure (assez magnifiquement annoncée dès les premières images de la saison 1 avec la référence au réalisme magique colombien) semble ici s'essouffler un peu. La faute à une voix-off moins incarnée (son auteur n'est révélé qu'à la toute fin de cette saison), à une structure trop standardisée et à un personnage central moins fort (Pablo Escobar semble mille fois plus fascinant qu'un Félix Gallardo réduit à un avide et cruel entrepreneur). Sans dire qu'il s'agit là d'une saison de trop tant certaines de ses qualités ont survécu au déménagement, Narcos semble avoir laissé un peu de son âme dans les murs de Medellin.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Pierre Langlais
Les créateurs de cette saga sur l’histoire du trafic de drogue en Amérique laissent les cartels colombiens derrière eux pour s'intéresser à l'affrontement, dans les années 1980, entre un agent de la brigade des stups de Guadalajara, et un parrain mexicain de la drogue en pleine ascension. La série trouve son équilibre entre une leçon d'histoire fascinante et un thriller efficace.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
Dans la saison 4 de cette série ultraréaliste, un flic de la DEA affronte un baron sud-américain de la drogue. Haletant.
Le Point
Eric Newman, showrunner du feuilleton, reprend la recette qui a fait le succès de la série dès 2015 : corruption, trahison, retournements de situation, suspense, drames intimistes, violence… Beaucoup de violence. Même si elle s'avère – un peu – plus 'propre ' que dans les précédentes saisons, les narcotrafiquants mexicains préférant les balles aux écartèlements. Narcos : Mexico reste fidèle à l'ADN de la série jusque dans les images d'archives qui ouvrent chaque épisode. Comme pour les précédentes saisons, les faits et personnages portés à l'écran sont en effet réels ou proches de la réalité. La série met d'ailleurs le doigt sur un nombre important de dysfonctionnements au sein des institutions mexicaines, qui, au passage, subsistent encore aujourd'hui.
Première
C'est toujours aussi incroyable. Au sens littéral. Vraiment, il est difficile de croire que tout ce qui se passe dans Narcos : Mexico est tiré d'une histoire vraie. Comme depuis le début de la série, on est subjugué par l'enchaînement des événements et des drames qui entourent le milieu de la drogue. Bien sûr, on a quitté la Colombie pour le Mexique. Mais Narcos reste Narcos et l'ADN du show est toujours là. Plus encore, en changeant de décor, il réussit à se renouveler. Même si les épisodes sont un peu longs (plus d'une heure chacun), le rythme est particulièrement intense. L'action est omni-présente. Et les rebondissements aussi dramatiques qu'inattendus (sauf si vous êtes incollable sur l'Histoire des trafiquants mexicains) vous invitent à un binge-watching total. Rien que le premier épisode, à couper le souffle, vous mettra dans l'ambiance pour les 9 heures à suivre, posant le décor d'un cartel nouveau-né, en train de prendre forme, lentement mais sûrement.
Télé Loisirs
Comme pour sa cousine colombienne, ce nouveau Narcos, également tiré de faits réels, plonge les téléspectateurs dans un univers sombre, parfois violent mais très bien documenté. Les nouveaux acteurs n'ont pas à rougir de la comparaison avec les précédents, avec notamment un Diego Luna aussi angoissant qu'ambigu. Les fans de la première version se laisseront séduire !
Brain Damaged
Si l’histoire est basée sur de vrais événements et des personnes réelles, tout n’est pas à prendre au pied de la lettre. C’est du divertissement, un bon divertissement qui fait son travail de recherches mais qui n’oublie pas ce qu’il est : une série télé. Une bonne série, bien construite et qui garde complètement l’ADN de la série originale.
L'Express
Le constat s'impose. Après le visionnage des cinq premiers épisodes disponibles pour la presse, Narcos continue de fasciner. L'univers de la drogue y est toujours aussi justement dépeint. Les grandes qualités sont toujours au rendez-vous : rendu quasi-documentaire, voix-off omniprésente, suspense, reconstitution brute et minutieuse... En voulant conter l'histoire des cartels mexicains, la série prend des faux airs de Scarface. Même si la grandiloquence des événements est en décalage avec les deux personnages principaux étrangement mutiques, leur affrontement inévitable tiendra, on l'espère, ses promesses de grande tragédie shakespearienne.
Les Inrockuptibles
Si on retrouve avec plaisir son écriture alanguie, son interprétation et sa réalisation de haut-vol, son mélange réussi avec des documents d'archive, son ancrage spatio-temporel aussi juste que sensible et son atmosphère hyper-réaliste faite de violence et de manoeuvres politiques machiavéliques, ses dix épisodes ne proposent pas vraiment le renouvèlement promis par sa délocalisation. Sa démesure (assez magnifiquement annoncée dès les premières images de la saison 1 avec la référence au réalisme magique colombien) semble ici s'essouffler un peu. La faute à une voix-off moins incarnée (son auteur n'est révélé qu'à la toute fin de cette saison), à une structure trop standardisée et à un personnage central moins fort (Pablo Escobar semble mille fois plus fascinant qu'un Félix Gallardo réduit à un avide et cruel entrepreneur). Sans dire qu'il s'agit là d'une saison de trop tant certaines de ses qualités ont survécu au déménagement, Narcos semble avoir laissé un peu de son âme dans les murs de Medellin.
Télérama
Les créateurs de cette saga sur l’histoire du trafic de drogue en Amérique laissent les cartels colombiens derrière eux pour s'intéresser à l'affrontement, dans les années 1980, entre un agent de la brigade des stups de Guadalajara, et un parrain mexicain de la drogue en pleine ascension. La série trouve son équilibre entre une leçon d'histoire fascinante et un thriller efficace.