Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Variety
par Caroline Famke
C’est un drame historique inondé de costumes et de décors luxueux, une épopée SF qui dévoile les mystères de l’univers mais aussi une comédie loufoque et une romance Harlequin qui met en scène des héroïnes à l’esprit vif, des détectives hargneux et des héritiers d’une beauté dévastatrice. Même quand elle bascule dans l’idiot, la série reste amusante et sinueuse ce qui est signe d’un spectacle engageant qui devrait développer sa communauté de fans sans trop de problèmes.
La critique complète est disponible sur le site Variety
Chicago Sun-Times
par Richard Roeper
Même s’il est difficile de suivre les différentes branches de l’intrigue et les nombreux personnages, The Nevers est un festin visuel éblouissant avec des décors magnifiques et ambitieux, des effets spéciaux de qualité, un humour sournois et et de merveilleuses et émouvantes performances de la part de la distribution.
La critique complète est disponible sur le site Chicago Sun-Times
Entertainment weekly
par Darren Franich
The Nevers trébuche maladroitement quand elle jongle avec des thème sociaux manifestes et des développements d’intrigue complètement stupides. Mais la série se bonifie quand elle embrasse son côté plus sauvage. Pour l’instant, c’est très plat et pas très rock’n’roll.
La critique complète est disponible sur le site Entertainment weekly
Première
par Charles Martin
Une série simplette sur le fond, mais sauvée par une galerie de figures féminines détonantes. Si la star d'Outlander, Laura Donnelly, fait le job, la grande révélation s'appelle Ann Skelly, pleine de charme et de malice. Ce duo de mutantes avant-gardistes maintient la série à flot quand l'histoire patine.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Alan Sepinwall
The Nevers a bien la patte de Joss Whedon, pour le meilleur et pour le pire, avec la plupart des inconvénients qui viennent de son travail et seulement quelques lueurs occasionnelles, qui lui conféraient son statut avant que sa toxicité ne soit dévoilée.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
The Hollywood Reporter
par Dan Fienberg
Il faut être désespérément concentré pour suivre The Nevers, qui, au fur et à mesure des épisodes, ajoute de plus en plus de personnages et voit son lien avec le fil conducteur le plus riche devenir de plus en plus ténu.
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
Ecran Large
par Maeva Antoni
Il est clair que The Nevers croule sous les défauts, mais il ne faut pas jeter le bébé avec l’eau du bain. Si la mythologie et les personnages sont un peu foutraques et sans saveurs, les éléments qui les entourent sont eux, ce qui sauve la série. Les machines et les effets sont suffisamment plaisants et ingénieux pour nous faire passer un bon moment visuellement parlant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
New York Times
par Mike Hale
Bien que magnifiquement produite et raisonnablement divertissante, The Nevers ne décolle jamais vraiment parce que nous essayons toujours de comprendre ce qui se passe vraiment, tout comme les personnages. Ce besoin de résonner avec l’actualité est lié à un flou très frustrant dans la narration. Rien de tout cela n’aurait d’importance si les personnages étaient attachants et si le casting livrait une bonne performance mais The Nevers pêche également à ces endroits.
La critique complète est disponible sur le site New York Times
Time
par Judy Berman
Une médiocrité chère et déroutante. Il y aurait peut-être eu moyen de sauver une intrigue aussi lourde afin de retenir l’attention du spectateur malgré une production et un jeu d’acteur au-dessus de la moyenne. Mais la narration incompréhensible laisse à peine le temps de s’attacher à un personnage qu’un autre débarque. Par ailleurs, The Nevers est rarement amusante.
La critique complète est disponible sur le site Time
Vanity Fair
par Sonia Saraiya
The Nevers rejoint His Dark Materials et Lovecraft Country dans le groupe des récentes séries de genre précipitées, bourrées de bonnes idées mais mal exécutées de HBO. Il y a quelque chose d’un peu idiot dans The Nevers. Nous ne voyons pas Joss Whedon à son meilleur et il est difficile d’imaginer comment la série se transformera en un tout cohérent au moment où le créateur a quitté le navire.
La critique complète est disponible sur le site Vanity Fair
Variety
C’est un drame historique inondé de costumes et de décors luxueux, une épopée SF qui dévoile les mystères de l’univers mais aussi une comédie loufoque et une romance Harlequin qui met en scène des héroïnes à l’esprit vif, des détectives hargneux et des héritiers d’une beauté dévastatrice. Même quand elle bascule dans l’idiot, la série reste amusante et sinueuse ce qui est signe d’un spectacle engageant qui devrait développer sa communauté de fans sans trop de problèmes.
Chicago Sun-Times
Même s’il est difficile de suivre les différentes branches de l’intrigue et les nombreux personnages, The Nevers est un festin visuel éblouissant avec des décors magnifiques et ambitieux, des effets spéciaux de qualité, un humour sournois et et de merveilleuses et émouvantes performances de la part de la distribution.
Entertainment weekly
The Nevers trébuche maladroitement quand elle jongle avec des thème sociaux manifestes et des développements d’intrigue complètement stupides. Mais la série se bonifie quand elle embrasse son côté plus sauvage. Pour l’instant, c’est très plat et pas très rock’n’roll.
Première
Une série simplette sur le fond, mais sauvée par une galerie de figures féminines détonantes. Si la star d'Outlander, Laura Donnelly, fait le job, la grande révélation s'appelle Ann Skelly, pleine de charme et de malice. Ce duo de mutantes avant-gardistes maintient la série à flot quand l'histoire patine.
Rolling Stone
The Nevers a bien la patte de Joss Whedon, pour le meilleur et pour le pire, avec la plupart des inconvénients qui viennent de son travail et seulement quelques lueurs occasionnelles, qui lui conféraient son statut avant que sa toxicité ne soit dévoilée.
The Hollywood Reporter
Il faut être désespérément concentré pour suivre The Nevers, qui, au fur et à mesure des épisodes, ajoute de plus en plus de personnages et voit son lien avec le fil conducteur le plus riche devenir de plus en plus ténu.
Ecran Large
Il est clair que The Nevers croule sous les défauts, mais il ne faut pas jeter le bébé avec l’eau du bain. Si la mythologie et les personnages sont un peu foutraques et sans saveurs, les éléments qui les entourent sont eux, ce qui sauve la série. Les machines et les effets sont suffisamment plaisants et ingénieux pour nous faire passer un bon moment visuellement parlant.
New York Times
Bien que magnifiquement produite et raisonnablement divertissante, The Nevers ne décolle jamais vraiment parce que nous essayons toujours de comprendre ce qui se passe vraiment, tout comme les personnages. Ce besoin de résonner avec l’actualité est lié à un flou très frustrant dans la narration. Rien de tout cela n’aurait d’importance si les personnages étaient attachants et si le casting livrait une bonne performance mais The Nevers pêche également à ces endroits.
Time
Une médiocrité chère et déroutante. Il y aurait peut-être eu moyen de sauver une intrigue aussi lourde afin de retenir l’attention du spectateur malgré une production et un jeu d’acteur au-dessus de la moyenne. Mais la narration incompréhensible laisse à peine le temps de s’attacher à un personnage qu’un autre débarque. Par ailleurs, The Nevers est rarement amusante.
Vanity Fair
The Nevers rejoint His Dark Materials et Lovecraft Country dans le groupe des récentes séries de genre précipitées, bourrées de bonnes idées mais mal exécutées de HBO. Il y a quelque chose d’un peu idiot dans The Nevers. Nous ne voyons pas Joss Whedon à son meilleur et il est difficile d’imaginer comment la série se transformera en un tout cohérent au moment où le créateur a quitté le navire.