Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
The A.V. Club
par William Hughes
Si vous parvenez à vous accrocher à ses revirements, vous trouverez une série qui avance à grande vitesse pour incarner différents degrés du cynisme envers les super-héros, parfois tous d'un coup. Drôle, stimulant et émotionnellement intelligent - sérieusement, fait des ravages ici.
La critique complète est disponible sur le site The A.V. Club
Slant Magazine
par Niv M. Sultan
Invincible parvient à recapturer ce que l'actuelle surabondance de super-héros a perdu de vue : le plaisir que les super-héros doivent ressentir lorsqu'ils manient leurs pouvoirs. Pas cette satisfaction sacrée d'aider les opprimés, mais les frissons qui naissent de la possibilité de voler dans le ciel et infliger des blessures à ceux qui le méritent. La série utilise toujours la musique et le son de manière intelligente pour vous embarquer grâce aux sensations physiques de ses héros.
La critique complète est disponible sur le site Slant Magazine
Collider
par Jeff Sneider
Cette série super-héroïque sera peut-être un peu plus sage que , ce qui ne l'aidera pas à se démarquer dans le paysage actuel des contenus de super-héros, mais ça fonctionne pour le moment et devrait satisfaire les fans du comic book, à défaut de réinventer la roue.
La critique complète est disponible sur le site Collider
RogerEbert.com
par Roxana Hadadi
Invincible trouve le bon équilibre : en reconnaissant que cette expérience bouleverse Mark, en incluant les scènes typiques du parcours d'un héros (des atterrissages ratés qui ont de vraies répercussions, des sessions d'entraînement épuisantes qui soulèvent des questions quant au type de leçons que Nathan enseigne à son fils, et des scènes dans lesquelles Mark se lie d'amitié avec d'autres ados dotés d'aptitudes similaires), et en faisant avancer l'histoire de façon à ce qu'elle se focalise aussi sur d'autres personnages.
La critique complète est disponible sur le site RogerEbert.com
San Francisco Chronicle
par Bob Strauss
Sans aller jusqu'à dire qu'elle est granuleuse, cela semble être le bon type de super-série animée pour une époque marquée par la sombre reconstruction de la de , ou l'autre approche ultra-pathologique du genre par Amazon, . C'est en apparence aussi propre que les programmes avec lesquels nous avons grandi, mais avec les choses plus sales que nous voulions secrètement voir.
La critique complète est disponible sur le site San Francisco Chronicle
Variety
par Caroline Framke
Alerte, avec ses épisodes longs d'une heure, cette série animée parvient à être à la fois sournoise et sérieuse dans un même souffle. Ce qui ancre Invincible et lui permet de rester convaincante, c'est son casting, bourré de talent.
La critique complète est disponible sur le site Variety
indieWIRE
par Ben Travers
S'il est trop tôt pour dire exactement ce que cela donnera en tant que saison, et encore plus en tant que série, Invincible devrait réussir à laisser ses téléspectateurs sur leurs gardes - pour de bonnes raisons - à une époque où beaucoup de la télévision dite "ambitieuse" paraît bien trop prévisible.
La critique complète est disponible sur le site indieWIRE
CNN
par Brian Lowry
Amazon possède déjà une satire virulente sur des super-héros hors de contrôle, , qui est rapidement devenue sa série signature. Série animée qui suit globalement les mêmes grandes lignes, Invincible paraît un brin redondante, même si les premiers épisodes, avant tout destinés aux adultes, procurent les mêmes frissons viscéraux.
La critique complète est disponible sur le site CNN
Ecran Large
par Arnold Petit
Après ces trois premiers épisodes prometteurs, il semble clair qu'Invincible veut conserver l'aura des comics dont elle est tirée, mais en se focalisant sur l'essentiel. Maintenant que le rythme est installé et que les personnages sont présentés (…) le scénario devrait continuer à prendre de l'ampleur, avec encore plus de personnages et de rebondissements. Malgré ses limites techniques, la série a largement de quoi séduire et possède tout ce qu'il faut pour devenir un petit bijou d'adaptation super-héroïque. On espère que le reste de la saison sera à la hauteur.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Première
par François Léger
Une drôle de comédie de lycée interstellaire plus sombre qu’elle n’y paraît, avec un casting vocal aux petits oignons (, , , , , , ... N’en jetez plus !). Et si l’animation manque régulièrement de dynamisme, elle se rattrape dans des scènes d’action absolument démentes et généreuses en hémoglobine. Du fun à l’état pur.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Alan Sepinwall
Si Amazon la présente comme une série animée pour adultes, c'est avant tout parce qu'il y a beaucoup de sang et de gros mots. Les dessins (basés sur ceux de dans les comic books) et la plupart des caractérisations et de l'intrigue la rapprochent davantage d'une série pour tous âges - mais une bonne, dans le genre - jusqu'à ce qu'une tête explose à l'écran… Cela reste pourtant amusant, et [Steven] , [J.K.] et [Sandra] forment un trio central très solide.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
TV Guide
par Keith Phipps
Pour le moment, [la série] a trouvé un équilibre parfait qui nous donne une vision rafraîchissante de ce révisionnisme super-héroïque.
La critique complète est disponible sur le site TV Guide
Les Inrockuptibles
par Alexandre Büyükodabas
Délaissant les fioritures associées au genre super-héroïque, l’adaptation des comics de Robert Kirkman se concentre sur le quotidien de ses personnages. Si la menace, bien réelle, paraît tendre la série vers une remise en question des icônes, son caractère ponctuel et routinier semble prendre acte d’une lassitude généralisée face à un genre au point de finir par gagner les personnages.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
The Independent
par Louis Chilton
Certains des personnages [de la série] sont des parodies décomplexées (comme le fac-similé de Batman qu'est Darkwing, par exemple), et vous pouvez facilement retrouver des éléments qui avaient été développés dans , , ou . Mais ses prémisses ont une ossature assez solide, et contiennent juste ce qu'il faut de subversion pour permettre d'ignorer le fait que son histoire a déjà été vue cent fois auparavant.
La critique complète est disponible sur le site The Independent
Vulture
par Kathryn VanArendonk
La série a ce côté "film de huit heures" palpable, où l'idée est que tout se mêlera, à la fin, dans cette glorieuse et grande histoire captivante. Mais le revers de la médaille est que cela rend les premiers épisodes plus faibles. Il y a tellement de personnages et de fils de l'intrigue à dérouler qu'il est difficile de savoir ce dans quoi il faut s'investir en tant que téléspectateur.
La critique complète est disponible sur le site Vulture
Hollywood Reporter
par Inkoo Kang
Le casting vocal est la plus chose la plus facile à louer dans Invincible, avec dans la peau du brusque et irrascile Omni-Man, qui joue la mère de Mark, ou encore , , , , , et dans des rôles secondaires. Mais leurs prestations animées ne parviennent pas à compenser le rythme fatalement lent de la série, qui donne l'impression qu'un épisode de 30 minutes a été étiré pour en durer 45.
La critique complète est disponible sur le site Hollywood Reporter
The A.V. Club
Si vous parvenez à vous accrocher à ses revirements, vous trouverez une série qui avance à grande vitesse pour incarner différents degrés du cynisme envers les super-héros, parfois tous d'un coup. Drôle, stimulant et émotionnellement intelligent - sérieusement, fait des ravages ici.
Slant Magazine
Invincible parvient à recapturer ce que l'actuelle surabondance de super-héros a perdu de vue : le plaisir que les super-héros doivent ressentir lorsqu'ils manient leurs pouvoirs. Pas cette satisfaction sacrée d'aider les opprimés, mais les frissons qui naissent de la possibilité de voler dans le ciel et infliger des blessures à ceux qui le méritent. La série utilise toujours la musique et le son de manière intelligente pour vous embarquer grâce aux sensations physiques de ses héros.
Collider
Cette série super-héroïque sera peut-être un peu plus sage que , ce qui ne l'aidera pas à se démarquer dans le paysage actuel des contenus de super-héros, mais ça fonctionne pour le moment et devrait satisfaire les fans du comic book, à défaut de réinventer la roue.
RogerEbert.com
Invincible trouve le bon équilibre : en reconnaissant que cette expérience bouleverse Mark, en incluant les scènes typiques du parcours d'un héros (des atterrissages ratés qui ont de vraies répercussions, des sessions d'entraînement épuisantes qui soulèvent des questions quant au type de leçons que Nathan enseigne à son fils, et des scènes dans lesquelles Mark se lie d'amitié avec d'autres ados dotés d'aptitudes similaires), et en faisant avancer l'histoire de façon à ce qu'elle se focalise aussi sur d'autres personnages.
San Francisco Chronicle
Sans aller jusqu'à dire qu'elle est granuleuse, cela semble être le bon type de super-série animée pour une époque marquée par la sombre reconstruction de la de , ou l'autre approche ultra-pathologique du genre par Amazon, . C'est en apparence aussi propre que les programmes avec lesquels nous avons grandi, mais avec les choses plus sales que nous voulions secrètement voir.
Variety
Alerte, avec ses épisodes longs d'une heure, cette série animée parvient à être à la fois sournoise et sérieuse dans un même souffle. Ce qui ancre Invincible et lui permet de rester convaincante, c'est son casting, bourré de talent.
indieWIRE
S'il est trop tôt pour dire exactement ce que cela donnera en tant que saison, et encore plus en tant que série, Invincible devrait réussir à laisser ses téléspectateurs sur leurs gardes - pour de bonnes raisons - à une époque où beaucoup de la télévision dite "ambitieuse" paraît bien trop prévisible.
CNN
Amazon possède déjà une satire virulente sur des super-héros hors de contrôle, , qui est rapidement devenue sa série signature. Série animée qui suit globalement les mêmes grandes lignes, Invincible paraît un brin redondante, même si les premiers épisodes, avant tout destinés aux adultes, procurent les mêmes frissons viscéraux.
Ecran Large
Après ces trois premiers épisodes prometteurs, il semble clair qu'Invincible veut conserver l'aura des comics dont elle est tirée, mais en se focalisant sur l'essentiel. Maintenant que le rythme est installé et que les personnages sont présentés (…) le scénario devrait continuer à prendre de l'ampleur, avec encore plus de personnages et de rebondissements. Malgré ses limites techniques, la série a largement de quoi séduire et possède tout ce qu'il faut pour devenir un petit bijou d'adaptation super-héroïque. On espère que le reste de la saison sera à la hauteur.
Première
Une drôle de comédie de lycée interstellaire plus sombre qu’elle n’y paraît, avec un casting vocal aux petits oignons (, , , , , , ... N’en jetez plus !). Et si l’animation manque régulièrement de dynamisme, elle se rattrape dans des scènes d’action absolument démentes et généreuses en hémoglobine. Du fun à l’état pur.
Rolling Stone
Si Amazon la présente comme une série animée pour adultes, c'est avant tout parce qu'il y a beaucoup de sang et de gros mots. Les dessins (basés sur ceux de dans les comic books) et la plupart des caractérisations et de l'intrigue la rapprochent davantage d'une série pour tous âges - mais une bonne, dans le genre - jusqu'à ce qu'une tête explose à l'écran… Cela reste pourtant amusant, et [Steven] , [J.K.] et [Sandra] forment un trio central très solide.
TV Guide
Pour le moment, [la série] a trouvé un équilibre parfait qui nous donne une vision rafraîchissante de ce révisionnisme super-héroïque.
Les Inrockuptibles
Délaissant les fioritures associées au genre super-héroïque, l’adaptation des comics de Robert Kirkman se concentre sur le quotidien de ses personnages. Si la menace, bien réelle, paraît tendre la série vers une remise en question des icônes, son caractère ponctuel et routinier semble prendre acte d’une lassitude généralisée face à un genre au point de finir par gagner les personnages.
The Independent
Certains des personnages [de la série] sont des parodies décomplexées (comme le fac-similé de Batman qu'est Darkwing, par exemple), et vous pouvez facilement retrouver des éléments qui avaient été développés dans , , ou . Mais ses prémisses ont une ossature assez solide, et contiennent juste ce qu'il faut de subversion pour permettre d'ignorer le fait que son histoire a déjà été vue cent fois auparavant.
Vulture
La série a ce côté "film de huit heures" palpable, où l'idée est que tout se mêlera, à la fin, dans cette glorieuse et grande histoire captivante. Mais le revers de la médaille est que cela rend les premiers épisodes plus faibles. Il y a tellement de personnages et de fils de l'intrigue à dérouler qu'il est difficile de savoir ce dans quoi il faut s'investir en tant que téléspectateur.
Hollywood Reporter
Le casting vocal est la plus chose la plus facile à louer dans Invincible, avec dans la peau du brusque et irrascile Omni-Man, qui joue la mère de Mark, ou encore , , , , , et dans des rôles secondaires. Mais leurs prestations animées ne parviennent pas à compenser le rythme fatalement lent de la série, qui donne l'impression qu'un épisode de 30 minutes a été étiré pour en durer 45.