Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
4 critiques presse
Hollywood Reporter
par Angie Han
Inventing Anna est parfois bordélique et difficile à digérer - les neufs épisodes durent plus d'une heure chacun -, mais c'est aussi une série intelligente, rusée et addictive.
La critique complète est disponible sur le site Hollywood Reporter
Le Parisien
par La Rédaction
La série démarre lentement et enchaîne les grosses ficelles. Le personnage de Vivian, la journaliste qui enquête sur l’affaire (Anna Chlumsky) agace, mais on est intrigué par Anna, impénétrable, troublante, dont l’actrice Julia Garner (Ozark) parvient à rendre parfaitement les nuances et la part de mystère.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Monde
par Audrey Fournier
Faute de colonne vertébrale psychologique, Inventing Anna se contente de filmer la fascination-répulsion qu’inspire un capitalisme réduit aux codes, aux connexions, aux références et à un sentiment d’appartenance qui, vraisemblablement, est ce après quoi Anna Sorokin courait.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Charles Martin
Livrée à elle-même, la fabuleuse Julia Garner d'Ozark ne peut exploiter tout le potentiel de cette incroyable usurpatrice de haut-vol. Un vrai-faux biopic qui ne semble jamais vouloir se positionner, tantôt fascinant, tantôt décourageant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Hollywood Reporter
Inventing Anna est parfois bordélique et difficile à digérer - les neufs épisodes durent plus d'une heure chacun -, mais c'est aussi une série intelligente, rusée et addictive.
Le Parisien
La série démarre lentement et enchaîne les grosses ficelles. Le personnage de Vivian, la journaliste qui enquête sur l’affaire (Anna Chlumsky) agace, mais on est intrigué par Anna, impénétrable, troublante, dont l’actrice Julia Garner (Ozark) parvient à rendre parfaitement les nuances et la part de mystère.
Le Monde
Faute de colonne vertébrale psychologique, Inventing Anna se contente de filmer la fascination-répulsion qu’inspire un capitalisme réduit aux codes, aux connexions, aux références et à un sentiment d’appartenance qui, vraisemblablement, est ce après quoi Anna Sorokin courait.
Première
Livrée à elle-même, la fabuleuse Julia Garner d'Ozark ne peut exploiter tout le potentiel de cette incroyable usurpatrice de haut-vol. Un vrai-faux biopic qui ne semble jamais vouloir se positionner, tantôt fascinant, tantôt décourageant.