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Mauvaise mise en scène d'une histoire pourtant captivante et véridique.
Pour commencer les acteurs ne conviennent pas du tout. Julia Garner qui est stupéfiante dans Ozark n'est pas du tout convaincante dans le rôle d'une jet-setteuse arriviste et manipulatrice. Elle est trop agressive dans son jeu, trop attendue et pas assez subtile. Cela rend très difficile à croire en sa crédibilité et le fait qu'elle ait réussi à super autant de monde. Son apparence est très proche de la véritable Anna et elle a un visage assez magnétique. Mais au lieu d'une jeune femme élégante, intelligente, charismatique et mystérieuse, on a une gamine capricieuse, froide, vulgaire, et ridicule.
Le jeu de l'actrice qui joue la journaliste est horripilant. Blindé de grimaces et gesticulations inutiles et lourdes. Très difficile à supporter. Le mec qui joue le premier boyfriend est dénué de tout charisme, de tout magnétisme et on peine à croire qu'une personne aussi intelligente qu'Anna ait pu s'en contenter si longtemps et en tomber amoureuse.
Le reste du casting s'en sort bien, mais les personnages sont blindés de clichés (l'avocat et la journaliste prêts à tout sacrifier pour pouvoir percer et/ou racheter une réputation ; les copines ultra superficielles et vénales, les marocains violents et menaçants ...). La encore toutes les réactions sont stupides, incohérentes et on peine à y croire. Bref, aucune subtilité qui viendrait rendre un peu de crédibilité à ce scénario. Il y a également beaucoup de personnages secondaires qui sont totalement abandonnés au fil de l'histoire.
J'ai eu personnellement énormément de mal à comprendre le parti pris du récit ou les personnages principaux sont clairement du côté d'Anna, et contre d'autre comme Rachel (dont l'hypocrisie est certes risible mais qui ne mérite pas le traitement qu'on lui inflige). La mise en scène n'a généré en moi aucune pitié ni aucune empathie pour cette barbie narcissique.
Au niveau de la réalisation, on est tjs dans le cliché avec les codes "mondains" NYC façon Gossip girl 2.0 (a grand coup de capture d'écran Insta, de filtre Instagram hyper douteux...). On a encore une fois du mal à y croire. Tout fait cheap, sans élégance ni classe. Sans personnalité. Des vêtements au décor en passant par la musique, aucune sophistication. Tout sonne faux (c'était peut être le but métaphorique ....?). J'ai eu l'impression d'être replongée dans Mean Girls, 20 ans après....
En plus les épisodes sont treeeeees long ce qui rend le visionnage franchement ennuyeux.
Les trois derniers épisodes sont un peu plus aboutis mais de nombreuses questions restent en suspens : d'où venait l'argent que Anna utilisait pour payer tout ce train de vie, comment remboursa-t-elle Neff ? Toute l'histoire entre l'Allemagne et la Russie m'a également paru très floue, très incohérente (la encore, c'était peut être le but ?)
Je mets 2 étoiles car ça reste relativement intriguant et divertissant. Mais ne recommande à personne.....
Pour commencer les acteurs ne conviennent pas du tout. Julia Garner qui est stupéfiante dans Ozark n'est pas du tout convaincante dans le rôle d'une jet-setteuse arriviste et manipulatrice. Elle est trop agressive dans son jeu, trop attendue et pas assez subtile. Cela rend très difficile à croire en sa crédibilité et le fait qu'elle ait réussi à super autant de monde. Son apparence est très proche de la véritable Anna et elle a un visage assez magnétique. Mais au lieu d'une jeune femme élégante, intelligente, charismatique et mystérieuse, on a une gamine capricieuse, froide, vulgaire, et ridicule.
Le jeu de l'actrice qui joue la journaliste est horripilant. Blindé de grimaces et gesticulations inutiles et lourdes. Très difficile à supporter. Le mec qui joue le premier boyfriend est dénué de tout charisme, de tout magnétisme et on peine à croire qu'une personne aussi intelligente qu'Anna ait pu s'en contenter si longtemps et en tomber amoureuse.
Le reste du casting s'en sort bien, mais les personnages sont blindés de clichés (l'avocat et la journaliste prêts à tout sacrifier pour pouvoir percer et/ou racheter une réputation ; les copines ultra superficielles et vénales, les marocains violents et menaçants ...). La encore toutes les réactions sont stupides, incohérentes et on peine à y croire. Bref, aucune subtilité qui viendrait rendre un peu de crédibilité à ce scénario. Il y a également beaucoup de personnages secondaires qui sont totalement abandonnés au fil de l'histoire.
J'ai eu personnellement énormément de mal à comprendre le parti pris du récit ou les personnages principaux sont clairement du côté d'Anna, et contre d'autre comme Rachel (dont l'hypocrisie est certes risible mais qui ne mérite pas le traitement qu'on lui inflige). La mise en scène n'a généré en moi aucune pitié ni aucune empathie pour cette barbie narcissique.
Au niveau de la réalisation, on est tjs dans le cliché avec les codes "mondains" NYC façon Gossip girl 2.0 (a grand coup de capture d'écran Insta, de filtre Instagram hyper douteux...). On a encore une fois du mal à y croire. Tout fait cheap, sans élégance ni classe. Sans personnalité. Des vêtements au décor en passant par la musique, aucune sophistication. Tout sonne faux (c'était peut être le but métaphorique ....?). J'ai eu l'impression d'être replongée dans Mean Girls, 20 ans après....
En plus les épisodes sont treeeeees long ce qui rend le visionnage franchement ennuyeux.
Les trois derniers épisodes sont un peu plus aboutis mais de nombreuses questions restent en suspens : d'où venait l'argent que Anna utilisait pour payer tout ce train de vie, comment remboursa-t-elle Neff ? Toute l'histoire entre l'Allemagne et la Russie m'a également paru très floue, très incohérente (la encore, c'était peut être le but ?)
Je mets 2 étoiles car ça reste relativement intriguant et divertissant. Mais ne recommande à personne.....
Entre documentaire et biographie plutôt qu'une série ,les épisodes sont long + 1h heureusement y en a pas beaucoup (8).On va nous faire revivre tous les plans de la fameuse ANNA (narcissique)qui nous emmène d'épisodes en épisodes entre vérité et mensonge qu'il faudra attendre la fin de la série pour connaitre cette fameuse Anna .Une journaliste veut en savoir plus aussi sur Anna qui dans la série les deux histoires vont se chevaucher. La curiosité de connaitre la vérité et les mensonges nous permet de tenir jusqu'à la fin .Ma note:3
Vraiment très mauvais. Des épisodes beaucoup trop longs, des personnages détestables et un scénario qui part dans tous les sens et donne mal à la tête. A fuir.
Captivant. Tenu en haleine par un scénario extrêmement bien structuré, on assiste au récit de cette histoire dont le pouvoir de fascination tient au fait qu'elle soit invraisemblable (sur le papier), vraisemblable (à l'écran) et vraie (en réalité). Cette fresque sociologique sur le snobisme, l'appât du gain et la superficialité ne jugent pas ses personnages mais leur offre au contraire une profondeur psychologique qui est la force de la série. Tous y sont décrits avec finesse et intelligence et sont portés par une direction d'acteur impeccable. On regrettera ces histoires parallèles et secondaires (journaliste enceinte, jeune avocat etc.) qui ralentissent la progression du récit, personnellement j'ai fini par zapper ces passages. C'est dommage.
La série, sans être excellente, se laisse regarder avec plaisir, même si on se demande l'intérêt qu'il y a à en consacrer une à une jeune personne qui incarne tous les maux de notre époque : désir de célébrité, de richesse, vacuité.
Sorokin, grâce à Rhimes, possède désormais ce qu'elle a toujours désiré : la gloire et même mieux que cela, la transformation en icône post-moderne.
À sa décharge, elle n'est pas la seule à être connue sans l'avoir mérité. C'est même ce qui la rendrait presque sympathique : le fait qu'elle se soit dit : "Pourquoi pas moi ?".
Il est bien certain en tout cas qu'elle brille par son intelligence (ce qu'elle a accompli n'étant pas à la portée du premier venu), fût-elle retorse, et que les gens qu'elle a dupés, sur le plan moral, ne valent pas mieux qu'elle. "Inventing Anna" a le don de mettre en lumière la totale vacuité du monde des VIP, où l'art n'est pas apprécié en tant que tel mais seulement en fonction de sa valeur marchande et mondaine. Une tragique faillite occidentale.
Sorokin, grâce à Rhimes, possède désormais ce qu'elle a toujours désiré : la gloire et même mieux que cela, la transformation en icône post-moderne.
À sa décharge, elle n'est pas la seule à être connue sans l'avoir mérité. C'est même ce qui la rendrait presque sympathique : le fait qu'elle se soit dit : "Pourquoi pas moi ?".
Il est bien certain en tout cas qu'elle brille par son intelligence (ce qu'elle a accompli n'étant pas à la portée du premier venu), fût-elle retorse, et que les gens qu'elle a dupés, sur le plan moral, ne valent pas mieux qu'elle. "Inventing Anna" a le don de mettre en lumière la totale vacuité du monde des VIP, où l'art n'est pas apprécié en tant que tel mais seulement en fonction de sa valeur marchande et mondaine. Une tragique faillite occidentale.
Une excellente série, ambiguë à dessein, bien écrite, avec des personnages en opposition. En sous-texte, une critique subtile d'un monde superficiel mais réel, celui du luxe et de ses dessous souvent cruels, où chacun n'est qu'un vecteur financier, un pivot relationnel, la marionnette d'un autre. Anna veut s'installer dans ce luxe, en forçant les portes blindées, et en jouant des codes du milieu. Le mensonge n'est qu'un outil pour franchir les obstacles. Une soif de reconnaissance perpétuelle, de la Russie vers l'Allemagne, puis de l'Allemagne vers la France et enfin de la France vers New York. Partie de billard un peu pipée, sous le regard d'une journaliste coriace, avec des sentiments multiples et croisés qui évoluent, chez les uns et les autres, vers plus d'humanité.
Le sujet est intéressant a la base mais la réalisatrice a décidé (du moins je présume que c'est voulu) de le traiter sur le mode de la comédie New Yorkaise. Aussi, l'actrice principale cabotine plus que dans les pires épisodes de Friends. Alors ok, si ce mode de jeu est (a dose modérée) adapté a un "How I met your Mother", ici, c'est proprement insupportable car cela sape la crédibilité de l'histoire qui, rappelons le, est une histoire vraie.
Est-ce parce que l'on traite d'une arnaqueuse évoluant dans la jet set et se mettant en scène sur Insta que le sujet est forcement léger ? L'angle d'approche ne me convient pas.
Est-ce parce que l'on traite d'une arnaqueuse évoluant dans la jet set et se mettant en scène sur Insta que le sujet est forcement léger ? L'angle d'approche ne me convient pas.
Plutôt bien comme série, retraçant une histoire assez originale et intéressante.. les acteurs sont plutôt pas mal ... petit bémol pour la journaliste qui surjoue un peu et en fait beaucoup trop avec sa grossesse.. ça gâche un peu le cours de l'histoire d'autant que ça n'apporte rien du tout au scénario!! Ces gens qui arrivent à arnaquer tant de monde sont toujours bluffants.. même si ils terminent toujours mal..
C'est l'histoire d'une betterave qui roule des navets dans la farine, histoire qu'elle raconte à une citrouille souriante. Et on nous demande de rester bouche bée pour avaler le tout et enrichir la betterave et Shondaland, le pays de l'ennui et des clichés.
Rien n'est à sauver dans cette série qui repose sur une malhonnêteté initiale très amusante (payer grassement, dans la vraie vie, une arnaqueuse de riches pour qu'elle raconte ses arnaques) mais que Shonda l'ennuyeuse et son équipe n'ont pas assumé vraiment, comme dans un astucieux Arsène Lupin jubilatoire (celui de Maurice Leblanc pas l'autre !).
Rien n'est à sauver dans cette série qui repose sur une malhonnêteté initiale très amusante (payer grassement, dans la vraie vie, une arnaqueuse de riches pour qu'elle raconte ses arnaques) mais que Shonda l'ennuyeuse et son équipe n'ont pas assumé vraiment, comme dans un astucieux Arsène Lupin jubilatoire (celui de Maurice Leblanc pas l'autre !).
Même si les personnages se laissent convaincre hyper facilement et changent d'avis par magie, j'ai aimé regarder cette reconstruction librement inspiré. Je suis contente que les réseaux sociaux des protagonistes existent toujours sur Instagram, ce qui rend la mini Série interactive !
Sorte de teen série sans grand intérêt comme Netflix les collectionne. On est dans l'apologie du néant en tentant mollement de prouver qu'on peut "réussir" quand on n'a aucun talent.
Pas de scénario, pas où peu d'intrigue... On s'ennuie ferme. J'ai tenu trois épisodes.
Pas de scénario, pas où peu d'intrigue... On s'ennuie ferme. J'ai tenu trois épisodes.
Ce n'est pas franchement mauvais, c'est juste bavard et mollasson. Anna Chlumsky a beau en faire des tonnes (au moins 40 grimaces à la minute), ça ne décolle jamais. Dommage, le sujet avait un beau potentiel.
Une série qui s'adresse à la ménagère de plus de 35 ans, impossible de visionner plus 15 min tellement c'est nul...
Je conseille de regarder surtout pour la prestation de l'actrice qui est très bonne dans son rôle . Je me suis prise au jeu quand même malgré quelques longueurs .
Intelligent de bout en bout, très bien joué et tourné, cette mini série est une pépite qui va vous plonger dans le très sélect New York chic et ultra sélect. A découvrir au moins par curiosité