Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
The Hollywood Reporter
par Tim Goodman
[Danny] Cannon, dont le travail sur Gotham donne instantanément une humeur à la série, s'essaye à nouveau à des teintes plus sombres tout en faisant des rues et allées de l'est de Londres et de ses environs quelque chose de très réel (opposé à un New York de fantasy fictif). Il y a quelque chose de convaincant dans Pennyworth en tant qu'adaptation de comics pouvant se permettre d'aller vers le film noir et le culte que le dessin animé, et cela s'ajoute au plan de travail solide et croissant d'Epix.
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
indieWIRE
par Ben Travers
Pennyworth pose une [intrigue au long terme] et introduit un nombre de personnages auxquels vous vous attacherez assez vite. Bannon est un premier rôle talentueux, charmant et fort, alliant une assurance immédiate (...) et son caractère à plus long terme.
La critique complète est disponible sur le site indieWIRE
Rolling Stone
par Alan Sepinwall
Les histoires sont clairement minces, mais l'apparence de la série et le charisme de Bannon et de quelques-uns des seconds rôles -la chanteuse anglaise Paloma Faith en Bet Sykes, membre tueuse à gages de la Société du corbeau qui déteste vite Alfred et Esmé- couvrent cela pendant un certain temps.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télérama
par Pierre Langlais
On s’apprêtait à taper sur Pennyworth en mode "à quand un spin-off sur la cousine du beau-frère de Batman ?" Pourtant, le résultat est assez plaisant. Le scénario est simpliste et la production passable, mais l’action, sorte de sous-James Bondade, n’est pas désagréable.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
The Daily Beast
par Nick Schager
Avant la fin du cinquième épisode, la série propose un choc énorme qui va faire hurler les fans ! Le reste du public, lui, se demandera pourquoi il attend d'être passionné par une série d'espion-enfant qui ne cesse de lui rappeler qu'il n'aura jamais ce qu'il aime dans cet univers fictionnel. Mais cela ne se posera que si les spectateurs restent jusque-là, un pari qui semble, d'après les premiers épisodes de Pennyworth, au mieux risqué.
La critique complète est disponible sur le site The Daily Beast
The Hollywood Reporter
[Danny] Cannon, dont le travail sur Gotham donne instantanément une humeur à la série, s'essaye à nouveau à des teintes plus sombres tout en faisant des rues et allées de l'est de Londres et de ses environs quelque chose de très réel (opposé à un New York de fantasy fictif). Il y a quelque chose de convaincant dans Pennyworth en tant qu'adaptation de comics pouvant se permettre d'aller vers le film noir et le culte que le dessin animé, et cela s'ajoute au plan de travail solide et croissant d'Epix.
indieWIRE
Pennyworth pose une [intrigue au long terme] et introduit un nombre de personnages auxquels vous vous attacherez assez vite. Bannon est un premier rôle talentueux, charmant et fort, alliant une assurance immédiate (...) et son caractère à plus long terme.
Rolling Stone
Les histoires sont clairement minces, mais l'apparence de la série et le charisme de Bannon et de quelques-uns des seconds rôles -la chanteuse anglaise Paloma Faith en Bet Sykes, membre tueuse à gages de la Société du corbeau qui déteste vite Alfred et Esmé- couvrent cela pendant un certain temps.
Télérama
On s’apprêtait à taper sur Pennyworth en mode "à quand un spin-off sur la cousine du beau-frère de Batman ?" Pourtant, le résultat est assez plaisant. Le scénario est simpliste et la production passable, mais l’action, sorte de sous-James Bondade, n’est pas désagréable.
The Daily Beast
Avant la fin du cinquième épisode, la série propose un choc énorme qui va faire hurler les fans ! Le reste du public, lui, se demandera pourquoi il attend d'être passionné par une série d'espion-enfant qui ne cesse de lui rappeler qu'il n'aura jamais ce qu'il aime dans cet univers fictionnel. Mais cela ne se posera que si les spectateurs restent jusque-là, un pari qui semble, d'après les premiers épisodes de Pennyworth, au mieux risqué.