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    Le Cabinet de curiosités de Guillermo del Toro
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    119 critiques spectateurs

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    Cyril Gérauld
    Cyril Gérauld

    1 critique Suivre son activité

    Critique de la série
    2,0
    Publiée le 2 novembre 2022
    Une belle promesse de frayeurs à répétitions dans les premières critiques lues mais franchement je m’arrêterai à l’épisode 3… garanti 200% effrayant… c’est d’un poussif risible, d’une lenteur inefficace, aucun scare-jump, aucun charisme des acteurs, c’est du conte de la crypte réchauffé au micro-ondes avec du creepshow donc le résultat est mou et certainement pas gratiné.
    Luuuuuuuuc
    Luuuuuuuuc

    9 abonnés 610 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    2,0
    Publiée le 27 février 2023
    Il est très difficile d'évaluer une série de 8 moyens métrages très différents les uns des autres.
    La note que j'ai attribuée à l'ensemble vaut pour les 7 premiers volets, le dernier sortant du lot, méritant, lui seul, 4 étoiles.

    Reprenons dès le début : Guillermo del Toro s'avance et nous explique ce qu'est un cabinet des curiosités, cet objet ou cet espace tout entier dévolu aux mystères, fait de serrures, de portes, de pièces, miniatures ou grandeur nature (les gamers n'auront aucun mal à se remémorer la série "the Room"). Le pitch a de quoi plaire et l'on retrouve la fascination pour la mystification et la mécanique chère au réalisateur (Cronos, La forme de l'eau, Nightmare Alley et, je suppose, Pinocchio). La présentation n'est pas sans rappeler "Alfred Hitchcock présente", série culte des années '50, reprise dans les années '80) mais seulement voilà : del Toro, malgré son réel talent, n'arrive pas à la cheville du maître absolu du thriller.

    Et les épisodes de la série sont à l'avenant : parfois confus par absence de scénario (Cauchemars de passage, l'Exposition), parfois bâclés parce que dans un format trop réduit (Lot 36, la Prison des apparences, le Modèle), parfois beaucoup trop pompés sur des histoires vues, revues et jamais vraiment corrigées (Rats de cimetière, l'Autopsie). Tous cumulent un art consommé du clin d'oeil qui finit par virer au plagiat.

    Reste qu'on y retrouve bien des obsessions de del Toro : les monstres gluants, les insectes nécrophages, les fantômes.

    Paradoxalement, c'est sans conteste le tout dernier épisode (Murmuration) qui sauve la mise alors même qu'il est un copié-collé de l'Echine du Diable (LE chef d'oeuvre de del Toro, selon moi) et de son Crimson Peak. La tension monte graduellement, les introspections sont certes un rien trop courtes mais suffisantes et les interprétations (Andrew Lincoln et, surtout, Essie Davis) sont grandioses. spoiler: Ce qui ne gâche rien, c'est aussi le seul épisode qui se termine de manière lumineuse.


    Au final, une série à ne surtout pas binge watcher si on veut éviter l'indigestion.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    3,0
    Publiée le 7 novembre 2022
    J'adore personnellement le côté un épisode/un réalisateur façon black mirror ou love death robot. Il y'a quelques épisodes franchement sympas mais attention, on repassera pour le côté horrifique et terrifiant. Parfois des longueurs dans les épisodes et je suis d'accord avec beaucoup de commentaires disant que ce n'est (toujours) pas LA série annoncée comme étant la série terrifiante de l'année. Mais c'est pas mal malgré quelques longueurs et des épisodes assez inégales
    Luiz
    Luiz

    7 abonnés 119 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 1
    3,5
    Publiée le 8 novembre 2022
    Série "effrayante" mais politiquement correct. La singularité de chaque épisode couplée à un rythme plutôt lent fait naître en nous une anxiété croissante. On regrettera (ou appréciera?) les changements d'intrigues, de qualités très inégales, propres a chaque épisode!
    Karim B
    Karim B

    5 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    2,0
    Publiée le 28 octobre 2022
    Les deux premiers épisodes ne sont amenés par aucune intrigue, c'est du pseudo mysticisme stérile et de la violence gratuite.
    Les deux étoiles sont exclusivement attribuées à la technique ( cadrages, lumières, plans, effets spéciaux)
    Sid
    Sid

    9 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 27 novembre 2022
    Le pire côtoie le meilleur dans cette série. On y trouve chaussure à son pied mais certains épisodes sont plus subis que regardés!
    szybkosc
    szybkosc

    11 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    2,0
    Publiée le 16 novembre 2022
    Pas transcendant.. Dans le fond, il y a des bonnes idées, mais dans la forme c'est plutôt moyen, un certain nombre d'épisodes sont suffisants et manquent de finition. Maintenant, certains épisodes/scènes sont vraiment réussis, mais je dirais que la trame a parfois été bizzarement réalisée, entâchant ainsi ces idées.
    JB D
    JB D

    7 abonnés 34 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 1
    2,0
    Publiée le 13 janvier 2023
    L’homme de « L’échine du diable » lui a vendu son âme. Del Toro, dans un geste visant à ressusciter des programmes anthologiques comme « Alfred Hitchcock présente » ou « Masters of horror » , fait venir la nouvelle gamme du cinéma horrifique et fantastique actuel pour une compilation de (petits) films, sous le sigle du Cabinet des curiosités. De curiosité, c’est surtout le choix des auteurs, dont deux d’entre eux seulement parviennent à tirer leur épingle du jeu (Ana Lily Amirpour et Panos Cosmatos), la série en invitant au total huit. Del Toro apparaît au début de chaque épisode comme un cinéaste devenu le Monsieur Loyal du cirque Netflix (son « Pinocchio » sortira dans quelques jours en exclusivité sur la plateforme californienne) et intronisant dans la grande arène mondiale ce qui est censé représenter le haut du panier du cinéma de genre américain - ou américanisé. La bonne nouvelle, c’est que plus de la moitié ne sont pas américains : une anglo-iranienne, un italien, une australienne, un canadien, un mexicain… volonté affirmée, et heureuse, de donner voix à des talents d’horizons divers - bien que tous plus ou moins broyés à la machine du speaking the same language.

    Peut-être aurait-il fallu demander à des cinéastes un peu plus intrigants comme Ari Aster, Robert Eggers, Eskil Vogt, Lanthimos, Yeon Sang-Ho ou même Ducournau, pour que la soupe ait du goût et réveille des pulsions de cinéma qui ne se contentent pas d’aller chercher l’efficacité à la surface (efficacité très relative, d’ailleurs). Quelque part, cette pièce montée dit bien dans quelle impasse se trouve le cinéma de genre contemporain, depuis qu’il a troqué la question de la peur (des peurs) à une logique de surface et de court terme : jump scare, sound editing, vieilleries ressassées et abus de magie noire ont fini d’engouffrer le genre dans un lieu commun extrêmement attendu et consensuel.

    Mais où sont donc passés les révoltés, les lyriques, les fantaisistes, les sauvages? Où sont les nouveaux Wes Craven, Takashi Miike, Carpenter, Tobe Hooper, ou même chez les plus jeunes Bayona, et justement Del Toro lui-même ? Où est passé le réalisateur si magnifiquement inspiré du « Labyrinthe de Pan »? Pourquoi le cinéma d’horreur ne vient pas dire des choses très humaines, très vraies, sociales, politiques, imaginatives? Faire peur, c’est révéler des vérités d’enfant, d’adulte, puiser dans des angoisses universelles ou montrer par l’imaginaire ce qu’il est trop dur de voir par le devant : c’est sortir du territoire rationnel pour donner à voir le plus-que-vrai.

    Dans le premier épisode, « Lot 36 » (Guillermo Navarro), l’abordage du discours social sur le racisme endémique ne mène à rien ; il est désolant de voir comment le personnage principal, détestable, n’est voué qu’à une punition symbolique avec invocation de sorcière et table de magie noire. La mise en scène est si peu inventive, le scénario si plat, qu’on ne voit pas bien quelles frayeurs le film compte bien activer, si ce n’est l’ébauche vite éteinte d’une horreur purement sociale. Dommage d’autant plus que Navarro est le seul cinéaste à faire un film au présent, les yeux dans le monde contemporain, tandis que tous ses collègues se cachent derrière la reconstitution (années 70, XIXème siècle, sautes temporelles, années 50) ou le chromo d’un présent qui ressemble au passé (« La prison des apparences »).

    Dans « Rat de cimetières », Vincenzo Natali (qui s’était révélé il y a plus de vingt ans maintenant avec le petit coup de force « Cube »), aborde le thème de la cupidité. C’est peut-être là le problème général de cette série, au fond : aborder un thème, comme si un film n’était qu’une chose, et surtout pas plus. La dimension de farce macabre de ce second épisode réserve certes un plaisir simple et assumé, et mérite au moins d’être reconnu comme un segment qui ne cherche pas à être plus qu’une petite attraction efficace, quoique facilement oubliable.

    Survient un film qui, apparemment, a époustouflé tout le monde, alors qu’il m’a pourtant bien semblé voir un gros nanar. Ca s’appelle « L’Autopsie » en français, réalisé par David Prior. Un médecin légiste condamné par la maladie va devoir autopsier tout un tas de corps d’ouvriers décédés dans une explosion étrange dû à une espèce de boule high-tech poilue qui grogne - probablement extra-terrestre - balancée par un type louche qui envoûte les gens. On ne va pas se mentir : la description dit bien la nullité de ce petit film qui ne sait pas où il va (serial-killer, ou présence extraterrestre, ou body horror, ou zombies, ou je ne sais quoi), et qui joue au sérieux et au premier degré avec un culot rare. Mais, soit, c’est bien gore à la fin, et si cela suffit à faire un film alors ma foi, mes aïeux, n’en parlons plus.

    On en est quand même au quatrième épisode (souvent celui de la dernière chance quand ça ne veut vraiment pas), et Del Toro l’a bien compris : il fallait placer l’un de ses rares bons chevaux à ce moment-là. Bingo : Ana Lily Amirpour livre avec « La prison des apparences » (pitié pour les traducteurs) une fable horrifique qui creuse des questions certes éculées - le diktat des apparences, le rôle féminin, le regard social - mais avec une singularité qui la distingue très vite de ses petits compagnons de jeu. Déjà, Amirpour se saisit d’une forme et d’un style (la fable colorée) qui teinte son essai d’une forme d’étrangeté audio-visuelle, toute en nuance et en décalage. Elle cherche un langage pour elle, pas pour faire à la manière du genre : angles de caméra hirsutes, visages dérangeants, arrangements de classiques a cappella, d’une bonne humeur tout à fait oppressante, et jeu sur l’assignation des rôles. Film féministe, on peut le dire, et bien intelligemment : dotée d’un mari adorable, à l’écoute, compréhensif, empathique, présent et aimant (le contraire de la caricature que notre époque aime à donner) une épouse fort laide va commencer à s’appliquer une crème hydratante censée révéler sa beauté. Parce qu’Amirpour ne cherche pas à pointer du doigt à qui incombe la faute - si ce n’est, à l’évidence, au racolage publicitaire et à la télévision - elle montre des êtres humains loufoques, profonds, à plusieurs niveaux. Horreur originale aussi car elle joue sur un dérèglement psychique et physique que la peau, et donc la surface (le sujet du film) vient montrer. Horreur absolue, évidemment, qu’un épiderme qui se dérègle : film malaisant, qui touche instantanément à son but, et n’a pas peur de pousser ses idées jusqu’au bout, notamment avec cette saugrenue et non moins belle concrétisation du « better-self » sous forme de femme-crème. Pied-de-nez excessif et drôle, le meurtre du mari permettra quand même à la dame de vivre son rêve, de s’exprimer, et d’avoir ce qu’elle voulait ! Voilà un film qui a de l’esprit, et qui cherche littéralement à gratter la surface.

    Le soufflet retombe par deux fois de suite : « Le Modèle » de Keith Thomas est franchement nul, et « Cauchemars de passage » de Catherine Hardwicke l’est non moins. Tous deux adaptés de Lovecraft, on tient ici le fond du fond : des réflexions pauvres sur la création et le deuil, réalisés comme des devoirs du samedi. Si peu d’idées alors que pourtant « Le Modèle » recelait beaucoup de portes d’entrée visuelles et narratives (ainsi qu’un Crispin Glover habité en peintre monstrueux, face à un Ben Barnes qui fait peine à voir), mais rien n’y fait : seul l’abominable plan final viendra toucher à un macabre dérangeant. Catherine Hardwicke, elle, avait réussi auparavant deux belles chroniques adolescentes (« Thirteen » et « Les seigneurs de Dogtown ») mais les studios l’ont gâchée : preuve en est avec cette plate illustration d’un beau texte, sans souffle ni âme, et alourdi par des effets visuels approximatifs.

    Re-bingo et énorme sortie de route : Panos Cosmatos réalise « L’exposition », vrai film barge, où des gens parlent sans cesse, de choses complètement vaines et stupides, et le film s’en délecte comme d’un jeu. Quatre personnes sont reçues chez un milliardaire anonyme qui leur donne du whisky japonais, beaucoup de cocaïne, et divague sur le haut de la pyramide du monde. Le film s’amuse à nous mener en bateau, littéralement sur de la fumée, et ça sera presque tout de ce film formidablement à contre-courant, où les lumières bavent d’or et d’orange dans une ambiance lounge-psyché. On croirait voir des bribes de Winding Refn et Mandico qui danseraient un reggae tone main dans la main. Cosmatos brise la règle du film de genre, qui est une sorte de règle tacite qui pourrait s’étendre à tout Netflix : faut pas que ça bave. Son film, lui, dégurgite des couleurs et des ambiances torves, énigmatiques sans du tout essayer de faire peur, jouant juste sur la corde de la sidération pour faire exploser dans un délire mi-wahrolien mi-série Z un gros monstre cornu qui fait fondre ou exploser ceux qui l’observent. Et duquel finit par s’écouler une grosse peinture orange fluo bien crasse, du genre qui contamine l’écran d’un ordinateur et les plateformes de films qui n’ont guère l’habitude de se faire pirater leur protocole esthétique. Cosmatos révèle là une anomalie, qui serait comme un manifeste poétique de ce que pourrait être le cinéma de genre si on voulait bien lui défaire ses lacets et le laisser rugir. Film profond et débile, qui ne ressemble à rien d’autre et qui aère soudainement les propositions sclérosées de la plupart de ses collègues.

    Et on finit avec le chouchou de la presse, des spectateurs et de Del Toro, « Murmuration » de Jennifer Kent, réalisatrice surcôtée (« Mister Babadook », c’est pas non plus l’extase), qui signe un film de clôture joliment fait, bien propre, psychologique et explicatif, avec un peu de sensibilité et surtout un classicisme à dormir debout. Le matériau intrigue un temps (un couple d’ornithologues part enregistrer le bruit des oiseaux sur un bout d’île isolé), mais l’arrivée comme par surprise des fantômes-qui-hantent-la-vieille-maison-qui-grince-et-qui-leur-rappelle-drôlement-leur-propre-enfant-qui-est-mort font de cette histoire, vous l’avez compris, une énième variation sur le deuil, la résilience, la maternité, et tout le tralala qui s’ensuit. Le film, vous l’aurez déjà vu mille fois ailleurs, desfois en moins bien, desfois en mieux (« L’orphelinat »), et il n’y a pas grand-chose d’autre à dire là-dessus si ce n’est que Jennifer Kent n’est toujours pas une réalisatrice extraordinaire à mes yeux.
    Mélanie Vaillies
    Mélanie Vaillies

    1 critique Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 29 octobre 2022
    J'attendais une série comme celle-là ! Très belle photographie. Les histoires sont simples mais efficaces. Chacune nous transporte dans un monde différent.
    Alexis Ght
    Alexis Ght

    1 critique Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 29 octobre 2022
    Ça fait vraiment plaisir de voir une série d'horreur comme celle là
    J'aime le côté narrateur de Guillermo Del Toro qui nous introduit dans des histoires (certes inégales) dont on appréci la façon dont on est guidé, crecsendo l'ambiance s'installe pour le final !
    En tant que fan d'horreur, je prends vraiment du plaisir !!!
    Chaque histoire parlera un untel,
    Certaines vont vous glacer le sang, d'autres vous laisseront de marbre
    C'est un vrai kiff de suivre cette anthologie, laisses toi guider !
    HuGhost
    HuGhost

    6 abonnés 12 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    2,5
    Publiée le 1 mars 2024
    Je ne m'attendais pas à une telle série quand je l'ai regardé, je pensais que c'était une suite alors que ce sont des petites histoires différentes. La plupart des histoires étaient horriblement cool, sauf l'épisode 7, qui était un vrai supplice. Les personnages restent 50 min autour d'une table ronde a parler de la pluie et du beau temps, vraiment ennuyeux.
    Maxime O.
    Maxime O.

    5 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 2 novembre 2022
    Excellents épisodes, à la réalisation léchée et au superbe casting. Les fans d'horreur et de scare jump n'y trouverons pas leur compte, mais les fans de cinéma et des ambiances mystérieuse seront conquis !
    Marie Helene B
    Marie Helene B

    4 abonnés 67 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    2,5
    Publiée le 1 février 2024
    Bof! J’adore G Del Toro, mais là, je suis deçue. La forme est excellente, mais le fond des histoires est loin des merveilles du Hitchkiker ou des Contes de la Crypte. Je pense à l’histoire du tatoueur par exemple.
    Beubeu92
    Beubeu92

    2 abonnés 57 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    2,0
    Publiée le 12 février 2023
    Après le tapage qui en a été fait j'ai été plus que déçu du résultat. Les histoires sont sans grand intérêt, ne portent aucune morale ni aucune performance scénaristique ou d'interprétation. Les épisodes sont très inégaux, donnant l'impression d'un concours à qui mieux-mieux entre réalisateur. Sauf que la réalisation ne suffit pas à faire une bonne série. J'ai l'impression d'avoir attendu à chaque épisode. Attendu d'être emporté, attendu d'être surpris par un twist final intelligent et imprévisible, attendu d'être bluffé par un sens sous jacent à l'histoire, un enseignement quelconque sur la nature humaine ou autre. Mais rien de tout ça n'est jamais arrivé. Tellement surpris par la vacuité de certains épisodes, j'ai essayé d'aller chercher un message caché, que j'aurais pu rater, en scrollant internet : mais je ne suis tombé que sur des articles sponsorisés ou rédigés par des influenceurs. J'aurais dû le voir venir...
    Nes
    Nes

    4 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    1,0
    Publiée le 10 décembre 2022
    J'étais très enthousiaste en lisant que c'était une série un peu entre Black mirror et AHS...non, on est très loin de là, si vous voulez l'apprécier un minimum il ne faut pas la comparer à AHS non.
    J'ai regardé les deux premiers épisodes avant de la supprimer de ma liste, je n'ai à aucun moment été effrayée, mais plutôt dégoutée. Et les 2 histoires n'ont aucun sens.
    Encore un trailer et un synopsis qui nous en met plein les yeux pour une déception.
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