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    After Life
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    Alsaci1_68
    Alsaci1_68

    4 abonnés 21 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 29 juin 2020
    Gros coup de coeur pour cette série. De suite je ne saurais dire pourquoi. Finalement c'est simple, triste et drôle à la fois et quand ce mixage est réussi c'est forcément une réussite globale. J'ai moi personnellement vraiment eu l'impression de partager la peine de Tony mais également ses rebonds. Chaque personnage de la série apporte son petit quelque chose qui en fait une série vraiment très agréable à regarder et qui s'avale rapidement. Ricky Gervais vraiment au top dans le rôle principal.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 11 mars 2019
    Je ne m'attendais à rien...
    Hé bien, une vraie claque.

    Comme quoi la simplicité ça fait du bien parfois.
    Alexis D.
    Alexis D.

    107 abonnés 877 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 21 janvier 2020
    Nouvelle mini-série de Ricky Gervais diffusée sur Netflix, "After Life" fait la part belle à l'humour noir dont l'artiste britannique a fait sa marque de fabrique tout en défrichant une veine sensible insoupçonnée. C'est un exercice d'équilibriste périlleux plutôt réussi, car "After Life" est finalement drôlement touchante et attendrissante, tout en étant réaliste, simple et poétique, où Ricky Gervais y négocie un virage sensible insoupçonné. Le scénario de cette série est déjà drôlement original : depuis spoiler: la mort de sa femme, emportée par un cancer du sein foudroyant, Tony n'est que l'ombre de lui-même. N'était-ce le regard apitoyé de sa chienne au moment de passer à l'acte, il aurait déjà mis fin à ses jours. Ses idées noires, Tony les diffuse partout où il promène sa carcasse voûtée, trouvant dans une misanthropie féroce le refuge à sa dépression. Qu'importe l'affection prudente que lui manifeste son entourage, à commencer par son beau-frère, patron du journal local pour lequel il travaille, Tony répond aux malheurs qui l'accablent d'un "fuck off" univoque, et dispense au monde entier ses états d'âme désabusés. De là à devenir infréquentable il n'y a qu'un pas, que Tony franchit allègrement : "Je deviens un connard. Je dis ce que je veux autant que je le veux. Et si ça va trop loin, je pourrais toujours me tuer. C’est un super pouvoir"
    . Dire ce qu'on veut quand on le veut, voilà qui résume bien l'alpha et l'omega de l'humour corrosif de Ricky Gervais. Et autant qu'il sert d'excuse à Tony pour pourrir son monde avec férocité, le deuil au centre de "After Life" a pour Ricky Gervais des allures de prétexte tout trouvé, lui permettant de déployer l'étendue sans limite de son humour acerbe, que jugule tout juste une cruauté cathartique. De punchlines assassines en commentaires acrimonieux, Tony arpente sa bourgade anglaise en véritable sniper, abattant ses cibles avec une précision létale. Et elles sont nombreuses, ses cibles, de spoiler: son collègue photographe, sorte de grosse peluche indolente dont la gloutonnerie notoire fait l'objet de ses incessantes moqueries, à la galerie de freaks peuplant les pages interlopes de la gazette pour laquelle ils travaillent : ici, un vieillard qui n'en revient pas d'avoir reçu cinq cartes de vœux identiques pour son anniversaire; là, une retraitée lunaire persuadée que le visage de Kenneth Branagh est apparu sur le mur de son salon après un dégât des eaux... Autant d'hurluberlus en mal de reconnaissance, prêts à tout pour faire la une de la feuille de chou locale, dans lesquels Tony ne voit guère plus que "d'infects parasites"
    . Ce serait donc ça, "After Life" ? Les tribulations caustiques d'un veuf acariâtre, taillé sur mesure pour Ricky Gervais par Ricky Gervais ? Pas vraiment. Ou plutôt, pas seulement. Passée une mise en place dépressive, dans laquelle on se délecte néanmoins (il faut l'avouer) des scènes mordantes qu'occasionnent l'état limite d'un Tony en roue libre, s'esquisse la possibilité d'une rédemption, et, dans l'entrelacs de rencontres inopinées, finit par vaciller un semblant de lumière. La jeune reporter spoiler: à qui Tony conseillait d'abandonner une carrière de journaliste tuée dans l’œuf ("et d'ailleurs, on ne fait pas de journalisme dans ce journal à la noix"), parvient peu à peu à fissurer la carapace d'acier de son mentor résigné. Idem pour l'infirmière s'occupant de son père grabataire, qu'après avoir rabroué de piques sarcastiques dont il a le secret, Tony finit par voir sous un jour nouveau... Quant à la veuve qui fleurit quotidiennement la tombe de son défunt mari, dont la parcelle jouxte celle de la femme de Tony, elle deviendra une confidente avisée, lui dispensant les enseignements d'une vie. Mais plus encore, c'est sa rencontre avec toute une galerie de marginaux aux vies accidentées (de la prostituée qu'il engage pour faire le ménage chez lui au toxico avec qui il expérimente l'héroïne) qui lui fera ouvrir les yeux sur une réalité aussi évidente qu'implacable : tout le monde souffre. Un constat à la banalité confondante, qui prend chez Tony des allures d'épiphanie. A cinquante ans passés, cette tête de nœud, qu'un chagrin insondable avait rendu odieusement égoïste, se rend compte que la vie a beau être une belle saloperie, elle a sur la mort l'avantage d'être moins définitive. S'enclenche alors une quête rédemptrice, transformant notre misanthrope hargneux en un type respectable, lui faisant progressivement reprendre goût à la vie, et laissant Ricky Gervais seul responsable des insanités jusqu'ici proférées
    . Ce que la série perd en humour noir, elle le gagne en sensibilité larvée. Certains personnages comme Sandy sont très bien écrits et très attachants, j’ai bien aimé la relation de Tony avec sa femme, on voit bien que quand spoiler: il visionne des vidéos d’elle lui parlant, il n’arrive pas à faire son deuil. J’ai adoré la manière dont il remet à leur place deux voyous qui essaient de le racketter. Tony a aussi une relation assez particulière avec son ami enrobé qu’il adore taquiner mais qu’il aime vraiment bien au fond, c’est presque de l’amitié d’ailleurs entre ces deux-là. Certaines confrontations de Tony sont assez jubilatoires, comme celle avec la serveuse antipathique du restaurant. L’une des relations les plus intéressantes reste celle que Tony entretient avec la dame du cimetière qui le comprendra sans jamais le juger. On voit bien à quel point c’est dur pour Tony de retrouver le sourire, malgré que son beau-frère fasse tout pour lui redonner le sourire. On voit que la relation entre Tony et son beau-frère est très tendue. Tony apprendra à davantage respecter la prostituée, tandis qu’au restaurant il aura rencart avec une nana qui a aussi perdu son mari et qui est assez odieuse et impertinente, qui est d'ailleurs une vraie pouf beaucoup trop bien pour Tony. Cependant Tony peut être vraiment inquiétant, comme lorsqu’il menace un rouquin qui s’en prenait à un petit sans défense dans une école élémentaire. J'ai aussi particulièrement apprécié tout le passage dans l’épisode 5 avec le type qui tient un théâtre de marionnettes et qui est assez étrange, et d’ailleurs les collègues de Tony vont le remarquer (et Sandy prendra même sa défense en disant qu’elle trouve cela triste). Vraiment, les meilleurs passages de la série sont ceux avec le psychologue de Tony, avec qui il a des discussions très cocasses, et bien sûr avec la veuve du cimetière et à ces moments-là la série délivre des scènes extrêmement belles, simples et poétiques. L'un des meilleurs moments de toute la série est le passage où Sandy dit à Tony qu’elle le trouve drôle mais qu’il lui fait de la peine, qu’elle sait qu’il aimait follement sa femme et qu’elle espère un jour qu’elle rencontrera quelqu’un qui l’aimera autant que lui a aimé sa femme, mais surtout elle lui dit qu’il a le droit au bonheur, elle lui demande de sourire et d’être heureux et les deux ont vraiment un échange touchant et poétique lorsqu’elle lui demande s’il veut lire une lettre qu’elle a écrite. La relation de Tony avec la prostituée (ou plutôt "travailleuse du sexe" comme elle le dit elle-même) est très intéressante également car il apprend de plus en plus à la considérer, à la respecter, voir même à l’apprécier et à rire avec elle. Finalement, dans le dernier épisode, on voit bien que Tony recommence à vivre réellement, qu’il se montre réellement sympathique avec ses collègues, les gens qu’il rencontre, il leur dit à tous des mots gentils et bienveillants, et bien sûr il fait enfin le deuil de sa femme avec optimisme et bienveillance. A la toute fin, il finit d’ailleurs par aller sortir prendre un verre avec la femme de l’hôpital qui s’occupe de son père malade et qui lui plaît
    . J’ai adoré ce mélange de poésie, de tendresse et d’humour dans ce décor banal. Et si "After Life" n'échappe pas à quelques clichés sirupeux, et succombe occasionnellement aux sirènes violoneuses qu'induisent sa transmutation abrupte, elle parvient néanmoins à nous prendre dans ses filets, et concilie avec un sens de l'équilibre funambule comédie noire mortifère et "feel good movie" cajoleur. On s'attache énormément aux différents personnages profondément humains (même le chien est terriblement attachant), et cette série est étrangement "feel good" malgré son sujet très axé sur le suicide de façon étrangement légère. Le postulat de départ, magistralement lugubre, correspond parfaitement au style du maître. Sauf que cette fois, Ricky Gervais ne va pas utiliser son génie créatif pour nous faire rire, mais pour nous faire pleurer. Parce que effectivement, "After Life" est avant tout une série sombre, sur le deuil, sur la mort, et sur ce qu'on fait de la vie. Rarement d'ailleurs, on avait parlé comme ça du suicide et de la dépression à la télévision. Usant des codes de la comédie noire, Ricky Gervais signe là une épopée macabre qui se transforme de manière très inattendue en drame bouleversant. On suit avec une empathie incroyable l'évolution de ce pauvre type, qui essaye tant bien que mal de retrouver goût à la vie. La transition de Tony, au cours des six épisodes de la série, est certes un peu prévisible, mais elle n'en reste pas moins passionnante. Pendant les trois heures que dure la série, on l'écoute philosopher et méditer sur le sens de la vie, au gré de rencontres aussi touchantes et attachantes qu'improbables (avec un drogué, une prostituée, ses collègues, son vieux père...). Malheureusement, à force de tirer sur la corde dramatique, Ricky Gervais peine à instiller la variation comique qu'il cherchait clairement. Malgré les vannes qui fusent ici et là, malgré les répliques toujours aussi assassines du comédien, "After Life" n'est jamais vraiment hilarante. Parfois drôle, parfois mordante (le bébé Hitler est impayable !), la série penche quand même nettement plus du côté du tragique. Mais au final, cette petite série Netflix à la fois comique et dramatique est vraiment plaisante à regarder, car cette série a un humour corrosif et efficace mais elle est tout aussi touchante à la fois... Elle met en plus en scène un personnage attachant bien que désespéré. Les décors sont d'ailleurs très simples mais agréables, à l'instar de la série. Les thèmes abordés sont forts (la perte de l'être cher, le suicide, le bonheur, la vie, etc...). Ricky Gervais excelle à la fois dans la réalisation et dans le jeu d'acteur. Les acteurs sont tous géniaux (j'ai particulièrement apprécié Mandeep Dhillon qui campe ici un personnage féminin très attachant en la personne de Sandy, Penelope Wilton dans le rôle d'Anne la veuve, et bien évidemment David Bradley, l'inoubliable Argus Rusard de la saga "Harry Potter" dans le rôle du père de Tony). Cette série fait rire, sourire, réfléchir et même pleurer (pour ceux qui peuvent s'identifier, ce qui n'a hélas pas été mon cas). Ça se regarde avec légèreté et ça fait du bien. C'est une belle manière d'aborder les différentes phases du deuil : le refus, la colère et l'acceptation. Un savoureux mélange politiquement incorrect ! Avec un humour acide comme la vie d'ailleurs ! Merci monsieur Ricky Gervais. Les épisodes s’enchaînent rapidement et facilement. Sinon la réalisation est simple mais plaisante, et la photographie soignée. Les décors sont très agréables, comme l‘appartement de Tony, les champs de verdure, la petite banlieue américaine très propre et très jolie, le cimetière, l'environnement de travail de Tony ou encore bien sûr la plage. On a ici une très bonne série Netflix vraiment originale, drôle, poétique, simple mais très touchante en même temps, et c'est dommage qu'elle ne soit pas plus connue que ça car elle mérite davantage de reconnaissance, de par sa simplicité, sa poésie et son authenticité qui ne ressemblent à celles d'aucune autre série, sincèrement. Définitivement, l'une des séries télévisées Netflix les plus sous-estimées au monde
    Isabelle F.
    Isabelle F.

    40 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 31 décembre 2020
    Une bonne histoire, pleine de petites phrases à retenir pour aller bien. Original ça change de la violence et des conspirations.
    L'Info Tout Court
    L'Info Tout Court

    417 abonnés 1 025 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 30 avril 2020
    Saison 1 : After Life est une brillante réussite, non seulement parce que le maître de l’humour parvient à nous faire pleurer, mais parce qu’il continue de nous faire rire, alors même que le message se veut éprouvant. Bravo Mr Gervais. 4,5/5
    Saison 2 : After Life est un petit bijou sériel, la plus personnelle des œuvres de Ricky Gervais, où tendresse et chaleur humaine finissent de faire du show un incontournable good feeling. 4/5
    Caroline M
    Caroline M

    30 abonnés 166 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 26 mars 2021
    Du grand Gervais.
    Formidable.
    Une série qui fait réfléchir et qui dédramatise le suicide et la dépression.
    Gérard B
    Gérard B

    13 abonnés 12 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 6 avril 2021
    c est quand même très fort d'arriver à alterner ainsi des scènes qui mettent les larmes aux yeux et les scènes qui m'ont fait me marrer. une belle galerie de personnages. la scène du riz au lait maternel est à mourir de rire
    Patrick Torres
    Patrick Torres

    8 abonnés 131 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 12 mai 2020
    Realiser une comédie de 12 épisodes sur le deuil impossible d'un veuf inconsolable semblait être une gageure impossible. Pari tenu ! La série est drôle, l'humour présent dans les situations ordinaires, et celles complètement hilarantes des reportages loufoques qui sont le créneau editorial du journal où travaille Ricky Gervais. Le fil rouge permet de nombreuses réflexions existentielles traitées avec finesse la plupart du temps.
    Quelques bémols.:
    Si les personnages secondaires sont attachants, leur aspect parfois caricatural (la prostituée au grand cœur, le benêt pas si con que ça, le psy déjanté etc.) gâchent un peu la crédibilité de la serie et la tire de la comédie vers la farce. Et c'est moins réussi.
    D'autre part, l'addiction du personnage pour les vidéos de son passé, si elles est compréhensible et fait partie du problème, est un peu lassante. Tout comme ses jérémiades que son entourage supporte mieux que le spectateur au bout d'un moment, même si l'effet est voulu.
    Mais cela est purement subjectif, et ne gâche en rien l'efficacité du propos.
    Shiwamada
    Shiwamada

    44 abonnés 556 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 12 avril 2020
    J'adore Ricky Gervais et on retrouve toute l'irrévérence et l'humour noir du bonhomme. J'ai englouti la première saison en un week-end et attends la prochaine avec impatience. Il arrive à traiter des sujets extrêmement sombres avec un recul et un humour typiquement britannique, en offrant un grand écart entre son personnage et ses collègues. Tony argumente avec des personnes très innocentes avec un ton acerbe, il n'en a plus rien à faire de la vie et de ce que l'on peut penser de lui. Le choix de David Bradley pour jouer son père est en plus un vrai atout, parce que ses rares interventions sont percutantes et drôles. "After life" semble être la production de la maturité pour Gervais, celle qui prouve qu'il n'a rien perdu de son talent et que quand on lui laisse les clés on obtient ceci...
    Stéphane R
    Stéphane R

    33 abonnés 455 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 12 mars 2019
    J'ai adoré regarder cette mini-série qui, au final, laisse une impression de quelque chose d'un peu bancal, confus, et pourtant, autant la partie hilarante que la partie la plus tendre sont parfaites en elles-mêmes, simplement il arrive qu'elles ne se marient pas très bien ( spoiler: une situation pose question et ne trouve finalement aucune résolution : un choix de l'acteur principal de faciliter le suicide d'une autre personne. Troublant
    ). La morale de l'histoire pourra donner l'impression à certains que l'auteur s'est perdu en chemin mais pour moi c'est la meilleure chute qu'il ait plus lui trouver. Si vous aimez l'humour anglais, si vous aimez la tendresse (bordel!), vous passerez un bon moment avec ces 6 épisodes qui ne peuvent vous laisser indifférents...
    Camilla DM
    Camilla DM

    22 abonnés 182 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 26 août 2021
    J'ai mis 4 étoiles, mais si Ricky Gervais n'avait pas succombé aux sirènes de l'argent en s'en tenant à une saison unique, je mettais 5 étoiles. La saison 1 est une p***** de pépite! Tant de l'humour, évidemment, mais dans toute une palette d'émotions d'une richesse! Un vrai bijou. Puis la saison 2 est arrivée. Honnêtement, elle est loin d'être mauvaise, très loin. Mais elle était vraiment non nécessaire. Et j'entends qu'une saison 3 est prévue... Ah Ricky! Tu cours de plus en plus le risque de finir par faire de la m****! Espérons être agréablement surpris par cette suite...
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 6 octobre 2019
    Un bonheur que cette série dans laquelle Ricky GERVAIS est si attachant en râleur a priori inconsolable. Qui plus est, les personnages secondaires sont eux aussi émouvants. On rit, on se mouche puis on rit... Les sourires nous transpercent de bonheur.
    Laurence L.
    Laurence L.

    9 abonnés 85 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 23 août 2020
    12 épisodes de cette qualité, c'est beaucoup trop court ! Je me suis tellement attachée aux personnages ! J'en reprendrais des tranches. J'ai encore trop faim de cette énième pépite British drôle, triste, caustique, diablement intelligente. Une saison 3 annoncée c'est trop peu. Je ne pense pas que la série soit répétitive : balade du chien, cimetière, journal. A aucun moment je ne me suis ennuyée. Et honnêtement, je suis amoureuse depuis le premier épisode... de Brandy ^^
    Marjolaine A.
    Marjolaine A.

    138 abonnés 501 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 23 mars 2020
    Ricky Gervais dans ses oeuvres. L'histoire d'un journaliste de presse locale dépressif après la disparition de sa femme, à la croisée des chemins. Sarcastique, touchant, intelligent. Du grand art.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 22 mars 2019
    j ai adorer et pourtant je suis pas un grand fan de ricky gervais mais dans cette serie il est juste parfait..j ai meme trouver la serie trop courte..bref serie certe drole par les reactions du personnage mais c est surtout une serie tres touchante grace encore une fois a un ricky gervais parfait dans son personnage
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