Les Chroniques de San Francisco (2019) : Critiques de la presse
Les Chroniques de San Francisco (2019)
Critiques spectateurs
Critiques presse
Note moyenne
2,8
6 titres de presse
indieWIRE
Boston Globe
The A.V. Club
Variety
The Hollywood Reporter
New York Times
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
indieWIRE
par Jude Dry
La large variété de points de vue réunis donne à cette série son ambition.
La critique complète est disponible sur le site indieWIRE
Boston Globe
par Matthew Gilbert
Il y a des moments pendant lesquels la série essaye d'être moderne, de façon trop évidente, dans le but de poursuivre la saga de Barbary Lane au-delà de sa sensibilité des années 70, là où tout a commencé. Ca grince par exemple lorsque le duo Ani et Raven est obsédé par l'idée de devenir riche et célèbre à travers Instagram. Mais ces tentatives de montrer une variété de genres et d'identités sexuelles sont dans l'ensemble rafraichissantes, et aide à nous rendre nostalgique de ce retour à Barbary Lane et de ses vues spectaculaires depuis son toit.
La critique complète est disponible sur le site Boston Globe
The A.V. Club
par Pilot Viruet
La série a de nombreux défauts, se perd régulièrement dans sa propre auto-complaisance, mais on peut être admiratif des efforts pour en faire un programme pour un public queer à la fois nouveau et ancien.
La critique complète est disponible sur le site The A.V. Club
Variety
par Daniel d 'Addario
La nature du lien brisé entre May Ann et sa fille sera suffisamment lisible même pour les spectateurs n'étant pas particulièrement familiers de la première série. Ce qui sonnera peut être nouveau est cette approche quelque peu démodée dans la façon de raconter l'histoire, un côté à l'ancienne qui permet un contraste intéressant avec les éléments nouveaux dans l'intrigue.
La critique complète est disponible sur le site Variety
The Hollywood Reporter
par Robyn Bahr
Poignante mais sans saveur... Cette série guindée et plus théâtrale que jamais, reste une capsule temporaire de l'esprit libertaire de San Francisco.
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
New York Times
par Mike Hale
Il n'y a ni énergie ni conviction dans la façon de raconter l'intrigue, et tandis que Linney, Gross, Bartlett et Page occasionnellement créent des étincelles lorsqu'ils sont ensemble à l'écran, les scènes s'enchainent sans réelle dramaturgie ou émotion...
La critique complète est disponible sur le site New York Times
indieWIRE
La large variété de points de vue réunis donne à cette série son ambition.
Boston Globe
Il y a des moments pendant lesquels la série essaye d'être moderne, de façon trop évidente, dans le but de poursuivre la saga de Barbary Lane au-delà de sa sensibilité des années 70, là où tout a commencé. Ca grince par exemple lorsque le duo Ani et Raven est obsédé par l'idée de devenir riche et célèbre à travers Instagram. Mais ces tentatives de montrer une variété de genres et d'identités sexuelles sont dans l'ensemble rafraichissantes, et aide à nous rendre nostalgique de ce retour à Barbary Lane et de ses vues spectaculaires depuis son toit.
The A.V. Club
La série a de nombreux défauts, se perd régulièrement dans sa propre auto-complaisance, mais on peut être admiratif des efforts pour en faire un programme pour un public queer à la fois nouveau et ancien.
Variety
La nature du lien brisé entre May Ann et sa fille sera suffisamment lisible même pour les spectateurs n'étant pas particulièrement familiers de la première série. Ce qui sonnera peut être nouveau est cette approche quelque peu démodée dans la façon de raconter l'histoire, un côté à l'ancienne qui permet un contraste intéressant avec les éléments nouveaux dans l'intrigue.
The Hollywood Reporter
Poignante mais sans saveur... Cette série guindée et plus théâtrale que jamais, reste une capsule temporaire de l'esprit libertaire de San Francisco.
New York Times
Il n'y a ni énergie ni conviction dans la façon de raconter l'intrigue, et tandis que Linney, Gross, Bartlett et Page occasionnellement créent des étincelles lorsqu'ils sont ensemble à l'écran, les scènes s'enchainent sans réelle dramaturgie ou émotion...