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White Fingers
15 abonnés
1 237 critiques
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Critique de la série
2,0
Publiée le 20 septembre 2024
« The Fortress » est un divertissement passable, mais qui peine à se démarquer par son originalité. Le scénario, qui mêle intrigue politique et crise sanitaire, semblait prometteur, mais il souffre d’un manque de clarté et de cohérence. Certaines sous-intrigues sont confuses, et les motivations des personnages sont souvent mal définies, rendant difficile de s'investir pleinement dans l’histoire. Malgré ces faiblesses, la série réussit à maintenir un certain suspense, principalement grâce à une atmosphère tendue et à quelques retournements de situation intéressants. Les décors et l'ambiance sont bien réalisés, bien que la représentation d'une société norvégienne dystopique manque parfois de profondeur et de réalisme. L'intrigue aurait pu être captivante, notamment en raison du contexte post-pandémique, mais le récit est trop embrouillé, et les personnages, pour la plupart antipathiques, ne parviennent pas à susciter l'empathie. Même la performance de Russell Tovey, qui mériterait un meilleur cadre, ne suffit pas à sauver la série. En fin de compte, cette histoire, qui tente de mêler politique et urgence médicale, échoue à offrir une expérience cohérente et engageante. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
vu 2 épisodes... bien ... et surtout d'actualité hélas. Ambiance angoissante correspondant au sujet très bien géré. décors, acteurs , pour l'instant un sans faute. Mais arrêté au 6 ... scénario bâclé ... j'abandonne .. dommage ...
Cette série est bien faite, bien rythmée, elle ne sombre jamais dans le délayage et comporte de beaux personnages. De plus, elle est bien intentionnée, puisqu'elle dénonce l'absurdité de l'isolationnisme et la démagogie xénophobe. Toutefois, elle souffre de plusieurs défauts. D'une part, le postulat de départ. L'idée qu'un petit pays de 5,5 millions d'habitants comme la Norvège puisse s'isoler du reste du monde pour se protéger n'est pas crédible une seconde, même dans le cadre d'une oeuvre de politique-fiction. Toute son économie s'effondrerait immédiatement, puisque la Norvège doit l'essentiel de sa prospérité à la vente de pétrole et à sa production de poissons qu'elle exporte. D'autre part, cette série manque d'ampleur. On aimerait voir les conséquences du confinement et des pénuries sur la vie quotidienne de la population. Enfin, la chute est un peu rapide et laisse sur sa faim. Ses sept épisodes restent néanmoins très agréables à visionner.
"The Fortress" est une série dystopique norvégienne ambitieuse qui explore les dangers de l’isolationnisme, en suivant la Norvège coupée du monde derrière un mur pour se protéger des crises mondiales extérieures. Malgré un concept alléchant inspiré des événements de ces dernières années, la série s’essouffle après les premiers épisodes et s'enlise dans une trame de drame pandémique plus classique, affaiblissant son message politique et sanitaire. Bien qu’elle traite des sujets pertinents, son exécution copieuse et le manque de tension dramatique constante et anxiogène limitent son impact la rendant moins percutante qu’attendu. En somme, "The Fortress" est une série mitigée, elle avait sur le papier une intrigue prometteuse, mais n’a pas su intelligemment explorer les enjeux. - 11/20 Critique sur The Fortress (saison 1) Vue du 02 au 16.09.2024 sur CANAL+
Bon... Tout est beau dans ce monde, une vraie magie digne d'un compte pour enfant... Elle avait des éléments pour être bien du fait de son côté assez sombre mais les Norvégiens sont encore plus fort que les Américains... Ça n'en vaut même pas la peine, une perte de temps.
Une série qui démarre bien ,on est vite accroché mais dès le 2 e épisode on sent la propagande idéologique à la mode qui pointe le bout de son nez ,avec les méchants isolationnistes et les gentils internationalistes.Les murs,c’est mal ,il faut les abattre ,être tous solidaires dit un protagoniste.On sent que ça risque vite de devenir énervant.Et puis ,séquence du plus haut comique,devant la gravissime crise alimentaire avec pénurie de protéines,liée à la fermeture des élevages de saumon ,l’actrice principale s’insurge contre le remplacement par des élevages de poulets parce c’est pas confortable pour les poulets .Et ,dit-elle,il y a des protéines dans les brocolis .Très norvégien tout ça mais nous on a envie de rire.
« The Fortress » est un divertissement passable, mais qui peine à se démarquer par son originalité. Le scénario, qui mêle intrigue politique et crise sanitaire, semblait prometteur, mais il souffre d’un manque de clarté et de cohérence. Certaines sous-intrigues sont confuses, et les motivations des personnages sont souvent mal définies, rendant difficile de s'investir pleinement dans l’histoire. Malgré ces faiblesses, la série réussit à maintenir un certain suspense, principalement grâce à une atmosphère tendue et à quelques retournements de situation intéressants. Les décors et l'ambiance sont bien réalisés, bien que la représentation d'une société norvégienne dystopique manque parfois de profondeur et de réalisme. L'intrigue aurait pu être captivante, notamment en raison du contexte post-pandémique, mais le récit est trop embrouillé, et les personnages, pour la plupart antipathiques, ne parviennent pas à susciter l'empathie. Même la performance de Russell Tovey, qui mériterait un meilleur cadre, ne suffit pas à sauver la série. En fin de compte, cette histoire, qui tente de mêler politique et urgence médicale, échoue à offrir une expérience cohérente et engageante. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
Le cadre de la série est intéressant mais elle peine à convaincre. L'écriture est simpliste, les personnages creux ce qui mènent à des moments dramatiques sortis de nulle part et qui semblent plutôt comiques. Seul l'arc du père et de son bébé tient à peu près la route.
C'est vraiment mou du genou. Vous savez, c'est comme ces gens qui parlent tellement lentement que tu as envie de finir les phrases à leur place. C'est exactement l'effet que m'a fait cette série . En plus c'est horriblement mal doublé en français.
Fais plutôt bien le job. Ambiance plutôt sympathique et jeux des acteurs très bon. Ça ne réinvente pas l’eau chaude mais c’est une très bonne et honnête série avec une photo très belle. J’en suis à l’épisode 5 et j’attends les derniers épisodes avec impatience
C'est long à se mettre en route, on s'endort avec la musique, on a du mal à s'attacher aux personnages et on passe d'une scène à l'autre sans comprendre.
Impossible à visionner ! La caméra à la main ça peut être bien comme dans district 9, Rec , cloverfield ou il faut sauver le soldat Ryan. Mais la … c’est vraiment mal fait car le cameraman a la tremblote. Ce procédé permet normalement aux réalisateurs, d'immerger encore plus le spectateur dans l'ambiance du film. Mais la ça donne le tournis.
2 premiers épisodes vus à Lille dans le cadre d'un festival. J'ai beaucoup aimé. En espérant pouvoir voir la suite prochainement facilement....Les producteurs et scénaristes nous ayant mis le doute avec une nouvelle plateforme à venir pour les films et séries nordiques donc encore un nouveau media payant en devenir