Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
Time
par Judy Berman
Cursed n'est peut-être pas la série la plus sérieuse et profonde du moment, mais vous ne trouverez pas tant de séries aussi solidement construites et satisfaisantes. Elle a compris qu'on ne pouvait pas réussir une série de fantaisie sans les fondamentaux que sont de bons personnages, des thèmes forts, une esthétique soignée...
La critique complète est disponible sur le site Time
The Hollywood Reporter
par Dan Fienberg
Une série correcte, qui aurait pu être encore meilleure si elle avait davantage fait confiance à son point de départ (...) bien plus pertinente quand elle s'intéresse à ses jeunes héroïnes qu'à ses stars masculines de renom.
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
USA Today
par Kelly Lawler
Malgré ses intrigues peu claires, sa mythologie bien trop complexe et des effets parfois dégoulinants de bons sentiments, c'est une série tout à fait regardable, en grande partie grâce à sa jeune star, la talentueuse Katherine Langford.
La critique complète est disponible sur le site USA Today
Variety
par Daniel D'Addario
Langford a le charisme d'une star, mais on lui demande une équation impossible que la série ne parvient pas à résoudre : incarner à la fois une leader sans peur et une jeune femme vulnérable.
La critique complète est disponible sur le site Variety
Première
par Charles Martin
La série arbore une esthétique féerique enchanteresse, qui a de quoi séduire (...) Mais malgré ses belles intentions, Cursed peine à convaincre. L'écriture de Cursed est sans aucun doute son plus grand mal. Sans rythme, sans souffle (...)
La critique complète est disponible sur le site Première
La critique complète est disponible sur le site The Guardian
Les Inrockuptibles
par Alexandre Büyükodabas
Embrassant sans conviction tous les attendus de la fantasy pour ados, "Cursed : la rebelle" dépouille la figure de la sorcière de sa charge émancipatrice. [...] Balançant entre une imagerie générique et des élans graphiques inspirés par les comics, la série échoue à donner corps à son univers et à ses visions, et dépouille la mythologie de sa part de transcendance.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Time
Cursed n'est peut-être pas la série la plus sérieuse et profonde du moment, mais vous ne trouverez pas tant de séries aussi solidement construites et satisfaisantes. Elle a compris qu'on ne pouvait pas réussir une série de fantaisie sans les fondamentaux que sont de bons personnages, des thèmes forts, une esthétique soignée...
The Hollywood Reporter
Une série correcte, qui aurait pu être encore meilleure si elle avait davantage fait confiance à son point de départ (...) bien plus pertinente quand elle s'intéresse à ses jeunes héroïnes qu'à ses stars masculines de renom.
USA Today
Malgré ses intrigues peu claires, sa mythologie bien trop complexe et des effets parfois dégoulinants de bons sentiments, c'est une série tout à fait regardable, en grande partie grâce à sa jeune star, la talentueuse Katherine Langford.
Variety
Langford a le charisme d'une star, mais on lui demande une équation impossible que la série ne parvient pas à résoudre : incarner à la fois une leader sans peur et une jeune femme vulnérable.
Première
La série arbore une esthétique féerique enchanteresse, qui a de quoi séduire (...) Mais malgré ses belles intentions, Cursed peine à convaincre. L'écriture de Cursed est sans aucun doute son plus grand mal. Sans rythme, sans souffle (...)
The Guardian
Coûteuse, atrocement écrite, chaotique, schizophrénique (...)
Les Inrockuptibles
Embrassant sans conviction tous les attendus de la fantasy pour ados, "Cursed : la rebelle" dépouille la figure de la sorcière de sa charge émancipatrice. [...] Balançant entre une imagerie générique et des élans graphiques inspirés par les comics, la série échoue à donner corps à son univers et à ses visions, et dépouille la mythologie de sa part de transcendance.