Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
Le Figaro
par Romain Delacroix
Un si grand soleil est de meilleure facture que ses deux concurrents français. Il donne même un sacré coup de vieux à son rival de France 3 et son célèbre quartier totalement fictif du Mistral à Marseille. (...) Malgré quelques faiblesses- des répliques un peu faciles, le jeune Théo toujours vêtu d’un tee-shirt et d’un sweat à capuche et le partenariat avec la région Occitanie montré de manière parfois un peu ostensible -, la série peut trouver son public.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Carine Didier
L’intrigue policière promet de tenir en haleine comme les secrets, les relations familiales compliquées, les amours contrariées. A l’exception de quelques fausses notes (des dialogues parfois peu pertinents, un flic caricatural, un fils qui paraît plus vieux que les 17 ans du personnage), les débuts s’avèrent prometteurs.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé Loisirs
par La Rédaction
Le soap événement se démarque de "Demain nous appartient" et "Plus belle la vie" tout en respectant les codes du genre.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Télérama
par Pierre Langlais
Proche [de Demain nous appartient] avec son mélange de polar et de drame familial, [Un si grand soleil] se démarque par une mise en scène plus soignée, qui évite de tomber dans la carte postale. Pas de quoi pour autant révolutionner un genre très codifié, bourré de rebondissements et de sentiments exacerbés. Pour durer, Un si grand soleil, enjeu majeur de France Télévisions, va devoir dynamiser un récit lourdement dramatisé, et s’appliquer à mieux capter la réalité de la société française - ses débuts manquent de sujets de fond et de diversité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Libération
par Jérôme Lefilliâtre
A l’écran, le grain n’est certes pas immonde et le feuilleton se laisse regarder, mais la direction d’acteurs et la réalisation n’échappent pas aux clichés : le soleil qui se couche et se lève en accéléré, le fondu au blanc pour introduire un flash-black, les regards des personnages qui se perdent dans le vide en fin de scène, etc. Comme se marre un dirigeant de France Télévisions croisé à la conférence de rentrée, dont on préfère taire le nom par charité, «c’est pas du Coppola…» Et pourtant, vingt-cinq auteurs travaillent sur la série.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Figaro
Un si grand soleil est de meilleure facture que ses deux concurrents français. Il donne même un sacré coup de vieux à son rival de France 3 et son célèbre quartier totalement fictif du Mistral à Marseille. (...) Malgré quelques faiblesses- des répliques un peu faciles, le jeune Théo toujours vêtu d’un tee-shirt et d’un sweat à capuche et le partenariat avec la région Occitanie montré de manière parfois un peu ostensible -, la série peut trouver son public.
Le Parisien
L’intrigue policière promet de tenir en haleine comme les secrets, les relations familiales compliquées, les amours contrariées. A l’exception de quelques fausses notes (des dialogues parfois peu pertinents, un flic caricatural, un fils qui paraît plus vieux que les 17 ans du personnage), les débuts s’avèrent prometteurs.
Télé Loisirs
Le soap événement se démarque de "Demain nous appartient" et "Plus belle la vie" tout en respectant les codes du genre.
Télérama
Proche [de Demain nous appartient] avec son mélange de polar et de drame familial, [Un si grand soleil] se démarque par une mise en scène plus soignée, qui évite de tomber dans la carte postale. Pas de quoi pour autant révolutionner un genre très codifié, bourré de rebondissements et de sentiments exacerbés. Pour durer, Un si grand soleil, enjeu majeur de France Télévisions, va devoir dynamiser un récit lourdement dramatisé, et s’appliquer à mieux capter la réalité de la société française - ses débuts manquent de sujets de fond et de diversité.
Libération
A l’écran, le grain n’est certes pas immonde et le feuilleton se laisse regarder, mais la direction d’acteurs et la réalisation n’échappent pas aux clichés : le soleil qui se couche et se lève en accéléré, le fondu au blanc pour introduire un flash-black, les regards des personnages qui se perdent dans le vide en fin de scène, etc. Comme se marre un dirigeant de France Télévisions croisé à la conférence de rentrée, dont on préfère taire le nom par charité, «c’est pas du Coppola…» Et pourtant, vingt-cinq auteurs travaillent sur la série.