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Une série finalement bien prétentieuse. La fin est totalement aberrante, du fait qu'elle rompt avec les prémices qui font fonctionner à la fois la machine et l'intrigue, et le comportement final de l'héroïne,
spoiler:
sans même parler du fait qu'on ne sait pas comment les morts sont réintégrés à l'histoire, ni pourquoi une machine qui prédit et détermine peut finir par simuler
, d'un rare détachement. 8 heures de perdues, si ce n'est pour la bande son et quelques belles trouvailles.
, d'un rare détachement. 8 heures de perdues, si ce n'est pour la bande son et quelques belles trouvailles.
La réalisation est suffisamment léchée pour donner envie de poursuivre, mais le propos et le scénario sonnent souvent creux. Il faut également commencer par admettre qu’on puisse créer une machine ayant la capacité à tout calculer et tout prévoir, ce qui n’est absolument pas crédible. Mais on peut l’admettre pour les besoins de l’histoire. Cependant celle-ci se réduit à un questionnement assez vain et creux sur le libre-arbitre. Surtout l’idée a déjà été maintes fois traitée et souvent avec plus de talent (par exemple, Minority Report est nettement plus convaincant).
C'est perché.. j'adore ! C'est lent, c'est geek, c'est décalé, par moment ça n'a de sens que celui qu'on lui donne. Une belle réussite inattendue. Dieu, que c'est complexe !
un chef d'oeuvre, passionnant du début à la fin, qui s'intéresse aux géants de la big tech et plus particulièrement sur leurs gérants, sur leur ego, sur leurs folies et sur les dangers qu'il et leur entreprise représentent. c'est effrayant et fascinant à la fois. la réalisation est soignée et très inspirée. casting très bon.
La série part du postulat que le monde est déterministe, c'est-à-dire que chaque effet est strictement déterminé par une cause, y compris dans le comportement humain. Donnez l'ensemble des données de l'univers à un superordinateur et il pourra prédire l'avenir et remonter dans le passé.
L'idée de réaliser une série sur ce thème est excellente mais est gâchée par beaucoup trop de lenteurs qui étirent démesurément la série et rendent certaines scènes ennuyeuses : la mini-série aurait très bien pu tenir en deux fois moins d'épisodes mais mieux rythmés. L'actrice principale est également décevante, affichant toujours la même mine mi-agacée mi-énervée.
Sur le fond, si j'ai apprécié la dimension philosophique, je ne suis pas parvenu à comprendre comment le déterminisme est conciliable avec la théorie des multivers qui installe au contraire un hasard fondamental (l'univers se dupliquant à chaque fois qu'une incertitude est en jeu, en autant de possibilités qu'il y en a). Comment l'ordinateur peut-il prédire dans quel multivers les personnages vont-ils s'engouffrer ?
L'idée de réaliser une série sur ce thème est excellente mais est gâchée par beaucoup trop de lenteurs qui étirent démesurément la série et rendent certaines scènes ennuyeuses : la mini-série aurait très bien pu tenir en deux fois moins d'épisodes mais mieux rythmés. L'actrice principale est également décevante, affichant toujours la même mine mi-agacée mi-énervée.
Sur le fond, si j'ai apprécié la dimension philosophique, je ne suis pas parvenu à comprendre comment le déterminisme est conciliable avec la théorie des multivers qui installe au contraire un hasard fondamental (l'univers se dupliquant à chaque fois qu'une incertitude est en jeu, en autant de possibilités qu'il y en a). Comment l'ordinateur peut-il prédire dans quel multivers les personnages vont-ils s'engouffrer ?
série au rythme trop lent.Je n ai pas aimé car trop souvent désorienté .Le dernier épisode permet de comprendre et donner du sens mais je n'ai pas pris plaisir à suivre la série.
Un scénario paresseux, des longueurs qui se veulent métaphysiques, quel ennui !!
La pauvreté du jeu des acteurs et la musique agaçante ont fini de me convaincre que je n’aime pas.
La pauvreté du jeu des acteurs et la musique agaçante ont fini de me convaincre que je n’aime pas.
Un scénario paresseux, des longueurs qui se veulent métaphysiques, quel ennui !!
La pauvreté du jeu des acteurs et la musique agaçante ont fini de me convaincre que je n’aime pas.
La pauvreté du jeu des acteurs et la musique agaçante ont fini de me convaincre que je n’aime pas.
Du pur Garland, il y a donc a boire et à manger ! Dès les premières secondes nous sommes transportés dans un univers singulier et prenant, la photo, la musique et l'ambiance sonore, les décors... tout participe à poser le cadre d'une histoire a nulle autre pareille !
Le propos est on ne peut plus d'actualité: un ordinateur avec suffisamment de données (grâce au big data) pourra t'il (grâce à la puissance de calcul des Qbits) lire/prédire le passé, le présent, le futur ? Et cela sans se soucier du libre arbitre selon la problématique de la série (un peu trop vite expédier à mon gout, notamment sur la fin).
Encore un fois avec Garland, c'est lent, très beau, contemplatif par moment et poignant par d'autres et nonobstant la totale mise de côté de la notion de "conscience humaine" (qu'on pourrait cela dit rapprocher du libre arbitre) dans l'ensemble c'est une très belle histoire.
On regrettera quand même l'actrice principale qui a du mal à tenir la longueur (après pourtant avoir bien tenue le début) et une fin qui n'est pas à la hauteur des questions métaphysique proposées en évacuant un peu trop facilement le libre arbitre de l'équation. (On passe les 2 derniers épisodes à se dire "mais vas-y: barre toi au Mexique avec ton mec et basta")
Le propos est on ne peut plus d'actualité: un ordinateur avec suffisamment de données (grâce au big data) pourra t'il (grâce à la puissance de calcul des Qbits) lire/prédire le passé, le présent, le futur ? Et cela sans se soucier du libre arbitre selon la problématique de la série (un peu trop vite expédier à mon gout, notamment sur la fin).
Encore un fois avec Garland, c'est lent, très beau, contemplatif par moment et poignant par d'autres et nonobstant la totale mise de côté de la notion de "conscience humaine" (qu'on pourrait cela dit rapprocher du libre arbitre) dans l'ensemble c'est une très belle histoire.
On regrettera quand même l'actrice principale qui a du mal à tenir la longueur (après pourtant avoir bien tenue le début) et une fin qui n'est pas à la hauteur des questions métaphysique proposées en évacuant un peu trop facilement le libre arbitre de l'équation. (On passe les 2 derniers épisodes à se dire "mais vas-y: barre toi au Mexique avec ton mec et basta")
J'ai vraiment accroché. Actrice sublime. Je cherche désespérément cette série très originale en dvd . Série troublante énigmatique et quantique. Fallait osé WoW
Si leurs personnages respectifs sont d’un intérêt il faut l’avouer très variable, ils dégagent suffisamment de sympathie ou d’intérêt pour que nous éprouvions de l’empathie à leur égard. D’ailleurs il valait mieux que ce soit le cas puisqu’une fois que la série a dévoilé la majorité de ses cartes, la survie des uns et des autres dans un jeu du chat et de la souris, compose en majeure partie la quête de Devs.
Pour les fans de métaphysique, questions existentielles et de science-fiction. Donne du grain à moudre ! Je recommande.
DEVS vous plonge dès le départ dans une ambiance hypnotique qui ne s’arrêtera pas jusqu’à la fin qui nous vient du thème mystico-scientifique d’avant-garde que nous a laissé entrevoir l’informatique quantique mais qui prend ici une dimension totalisante. La fascination est renforcée par un scénario au cordeau, qui ne vous lâche pas, où chaque étape vous laisse un peu plus planer dans le mystère porté par une esthétique irréprochable, d’une grande justesse, d’une grande beauté accompagnée d’une musique soutenant cet ensemble. Une œuvre qui interroge en profondeur dont on sort remis en question dans le souvenir planant de ce long voyage sur le sens de l’humanité et de nos choix. A voir absolument.