Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
Le Figaro Magazine
par Constance Jamet
The Innocents est bien plus complexe qu’une simple bluette de passage à l’âge adulte. Aux accents de drame familial et social très anglais - Harry et June sont issus de familles en souffrance - se mêle très vite une atmosphère oppressante de thriller nordique. (…) De là à voir dans The Innocents un successeur de Stranger Things, il n’y a qu’un pas que Netflix espère franchir allègrement.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Le Parisien
par La rédaction
La série alterne entre le périple des deux adolescents et des scènes qui se déroulent au Sanctuaire, lieu de refuge scandinave des métamorphes qui se soumettent à des expériences sous la houlette d'un mystérieux personnage, incarné par l'excellent Guy Pearce. Les jeunes acteurs inconnus au bataillon, Sorcha Groundsell (June) et Percelle Ascott (Harry), sont de véritables révélations, et nous embarquent avec eux dans un voyage initiatique et fantastique de toute beauté.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé Loisirs
par Claire Lavarenne
Présentée comme un Roméo et Juliette à la sauce fantastique, la nouveauté de Netflix peut se targuer d'avoir des effets spéciaux à la hauteur. Notamment lorsque l'héroïne voit son corps se transformer en un autre être humain. Cette série à l'atmosphère inquiétante et plutôt sombre s'annonce pleine de mystères, de romance adolescente et de rebondissements.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Première
par Charles Martin
Le sous-texte de The Innocents n'est pas franchement subtile et comme dans tant d'autres fictions Young Adult, tout est sur-dirigé et sur-écrit. Indéniablement, le drama parlera plus facilement à un public adolescent, mais il faut reconnaître que cette idée de "shapeshifting" offre un écrin très efficace et diablement original, pour évoquer les dilemmes habituels des jeunes d’aujourd'hui. Et puis les tourtereaux maudits sont magnifiquement incarnés par Percelle Ascott et Sorcha Groundsell, deux jeunes premiers, qui parviennent à rendre crédible cette teen romance un peu capillotractée, grâce à une alchimie qui s'installe de plus en plus clairement au fil des épisodes. Alors même si le rythme est parfois trop lent et si l'on a un peu de mal à donner du sens à tout ça (et à la mythologie des "shapeshifters" en particulier), on finit par s'attacher à ce qui est, en fin de compte, une vraie belle love story mélancolique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
The Innocents est plein de bonne volonté en préférant mettre en avant les interactions de ses personnages plus que son récit fantastique. Il jouit d'ailleurs de grandes qualités esthétiques et d'une partition musicale prenante. Malheureusement, l'histoire de cette nouveauté Netflix peine à convaincre tant on a l'impression que tout ce qu'elle veut évoquer l'a déjà été dans d'autres œuvres avant, et plus profondément.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Télérama
par Samuel Douhaire et Pierre Langlais
Cette série britannique, en partie tournée en Norvège, mêle science-fiction et drame naturaliste. Elégamment mise en scène, elle peine néanmoins à décoller et exploite maladroitement son potentiel métaphorique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critictoo
par Maxime
En ne sortant jamais des sentiers battus, The Innocents peine à dépasser l’intérêt que suscite son épisode pilote, aussi bien emballée soit-elle. La paresse de son écriture se fait sentir tout au long d’une saison sans enjeu ni passion. Ce sont huit épisodes durant lesquels le destin de June et Harry importe peu et laisse sur plus de frustrations qu’autre chose.
La critique complète est disponible sur le site Critictoo
Le Figaro Magazine
The Innocents est bien plus complexe qu’une simple bluette de passage à l’âge adulte. Aux accents de drame familial et social très anglais - Harry et June sont issus de familles en souffrance - se mêle très vite une atmosphère oppressante de thriller nordique. (…) De là à voir dans The Innocents un successeur de Stranger Things, il n’y a qu’un pas que Netflix espère franchir allègrement.
Le Parisien
La série alterne entre le périple des deux adolescents et des scènes qui se déroulent au Sanctuaire, lieu de refuge scandinave des métamorphes qui se soumettent à des expériences sous la houlette d'un mystérieux personnage, incarné par l'excellent Guy Pearce. Les jeunes acteurs inconnus au bataillon, Sorcha Groundsell (June) et Percelle Ascott (Harry), sont de véritables révélations, et nous embarquent avec eux dans un voyage initiatique et fantastique de toute beauté.
Télé Loisirs
Présentée comme un Roméo et Juliette à la sauce fantastique, la nouveauté de Netflix peut se targuer d'avoir des effets spéciaux à la hauteur. Notamment lorsque l'héroïne voit son corps se transformer en un autre être humain. Cette série à l'atmosphère inquiétante et plutôt sombre s'annonce pleine de mystères, de romance adolescente et de rebondissements.
Première
Le sous-texte de The Innocents n'est pas franchement subtile et comme dans tant d'autres fictions Young Adult, tout est sur-dirigé et sur-écrit. Indéniablement, le drama parlera plus facilement à un public adolescent, mais il faut reconnaître que cette idée de "shapeshifting" offre un écrin très efficace et diablement original, pour évoquer les dilemmes habituels des jeunes d’aujourd'hui. Et puis les tourtereaux maudits sont magnifiquement incarnés par Percelle Ascott et Sorcha Groundsell, deux jeunes premiers, qui parviennent à rendre crédible cette teen romance un peu capillotractée, grâce à une alchimie qui s'installe de plus en plus clairement au fil des épisodes. Alors même si le rythme est parfois trop lent et si l'on a un peu de mal à donner du sens à tout ça (et à la mythologie des "shapeshifters" en particulier), on finit par s'attacher à ce qui est, en fin de compte, une vraie belle love story mélancolique.
Ecran Large
The Innocents est plein de bonne volonté en préférant mettre en avant les interactions de ses personnages plus que son récit fantastique. Il jouit d'ailleurs de grandes qualités esthétiques et d'une partition musicale prenante. Malheureusement, l'histoire de cette nouveauté Netflix peine à convaincre tant on a l'impression que tout ce qu'elle veut évoquer l'a déjà été dans d'autres œuvres avant, et plus profondément.
Télérama
Cette série britannique, en partie tournée en Norvège, mêle science-fiction et drame naturaliste. Elégamment mise en scène, elle peine néanmoins à décoller et exploite maladroitement son potentiel métaphorique.
Critictoo
En ne sortant jamais des sentiers battus, The Innocents peine à dépasser l’intérêt que suscite son épisode pilote, aussi bien emballée soit-elle. La paresse de son écriture se fait sentir tout au long d’une saison sans enjeu ni passion. Ce sont huit épisodes durant lesquels le destin de June et Harry importe peu et laisse sur plus de frustrations qu’autre chose.