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    Le Bazar de la charité
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    163 critiques spectateurs

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    Chloé
    Chloé

    6 abonnés 53 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 23 novembre 2019
    Très bonne série ! C'est une série de fiction alors je conseille ceux qui cherchent la vérité historique d'aller regarder un documentaire à la place.
    Le jeu est splendide, mention spéciale à Camille Lou qui déverse sa peine au milieu des flammes. Sa sensibilité amplifiée amplifie ce qui nous fait vivre pleinement l'horreur de ce drame. Son jeu est si bouleversant qu'elle rend les "victimes inoubliables de la charité" définitivement inoubliables. Quel bel hommage à toutes les âmes disparues si brutalement...
    Je vais commencer par les aspects un peu plus négatif de la technique cinématographique pour revenir au positif. Pour commencer, je vais évoquer le fait qui me pose le plus de problème, c'est ce que Laura Mulvey appelle le "male gaze". En effet, la série se prétend féministe pourtant on continue d'avoir une érotisation excessive du corps de la femme. Les femmes contrôlent l'action certes mais ça en fait une série féminine par féministe.
    Un autre aspect qui me pose un peu problème c'est le non respect des règles du cinéma classique. Il y a, lors de la scène de spoiler: violence conjugale
    dans l'épisode 1, une rupture de la règle des 180 degrés qui me semble non justifiée. Il y a ensuite une scène spoiler: dans laquelle Audrey Fleurot attend son amant
    . Dans cette scène, le réalisateur a tenté de matérialiser l'attente par un sommaire, sauf que le sommaire ne s'étend que sur deux plans alors c'est très déroutant. Pendant cette scène encore, ils ont tenté de montrer l'attente par la musique sauf que celle-ci brise l'ambiance qu'ils ont réussi à mettre en place. De plus, il n'y a pas de distanciation ici alors la musique insulte presque l'image.
    Voilà les quelques points négatifs. Allons maintenant vers les points positifs. A partir de l'épisode 3, la technique cinématographique est moins dans le spectacle et s'affine admirablement. L'ocularisation interne au début de cet épisode est tout à fait admirable. Alors que Rose se réveille, la caméra prend l'inclinaison de sa tête pour montrer qu'on est dans son regard. C'est vraiment ingénieux !
    Dans l'épisode 4, mon épisode favoris pour l'instant, il y a une longue scène dans la chambre d'Alice. spoiler: Alors qu'elle se fait surprendre avec son amant, son père la gifle violemment
    . Vous remarquerez un mouvement admirable de la caméra puisqu'elle suit spoiler: le geste du père.
    . spoiler: Ce mouvement de caméra augmente la violence de l'instant, le spectateur s'attend à ce que la main ne s'arrête jamais, écrasant les douces joues de la jeunes Alice
    . S'en suit un champ contre champ en gros plan entre le père et sa fille. Le gros plan sur Alice permet de mettre en évidence le visage défait de la jeune femme et la douceur de ses traits. A contrario, le gros plan sur son père nous fait voir un personnage grossier, violent et presque dégoûtant. Cette échelle nous permet de renforcer les sentiments que nous avons au moment même par rapport aux personnages.
    Dans les points positifs, je voudrais aussi parler de la scène de l'incendie. Cette scène est douloureuse, interminable. La longueur de celle-ci permet au spectateur d'éprouver l'horreur autant que les personnages. Il est témoin de chaque fait, de chaque brûlure, de chaque seconde qui passe; il est là, dans l'incendie. Alors que le spectateur se croit sauvé, le réalisateur le piège encore plus. Par exemple alors spoiler: que tout le monde semble sauvé, Alice chute et se retrouve seul au milieu des flammes
    . On aimerait sortir, la faire sortir, que l'enfer s'arrête enfin mais il ne s'arrête jamais. C'est bien ce qu'on ressenti les victimes de l'incendie du Bazar de la Charité. Bravo à toutes les équipes et, à nouveau, bravo à Camille Lou qui nous a fracassé le coeur. Madame, vous étiez magistrale !
    sebou36
    sebou36

    69 abonnés 381 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    0,5
    Publiée le 6 décembre 2019
    Dommage pour Audrey Fleurot que j'adore, mais ici, elle s'est fourvoyée dans une série mal scénarisée, mal dirigée. C'est bête de gaspiller autant de potentiel pour arriver à cette chose informe, boursouflée et au final inintéressante.
    folyr
    folyr

    32 abonnés 66 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    1,0
    Publiée le 26 novembre 2019
    TF1 a encore frappé ! Si on pouvait se laisser prendre par l'épisode 1 et 2, le 3 et 4, c'est du grand n'importe quoi ! Invraisemblance sur invraisemblance. Rose défigurée qui se fait passer pour Odette, que du feu ! Et Alice qui croit que Victor a posé une bombe alors qu'il a risqué sa vie pour sauver des femmes ! Rien n'est crédible là-dedans. Pourquoi la télé française est si mauvaise ?
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 20 novembre 2019
    absolument passionnant ! les décors sont sublimes et lintrigues est accrocheuses. chapeau !!!!
    hate de découvrir la suite
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    0,5
    Publiée le 21 juillet 2020
    lamentable de nullité... ridicule sur le fond et la forme, ce n'est pas avec de telles bouses télévisuelles qu'on va pouvoir concurrencer les anglo-saxons... ne perdez pas votre temps, fuyez pauvres fous !
    GIJoe
    GIJoe

    102 abonnés 580 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    0,5
    Publiée le 6 janvier 2020
    C'est physiquement douloureux de regarder cette série tellement c'est mal joué. La palme revient a Audrey Fleurot qui est la pire actrice de cette série. Ses réactions sont surjouées et le reste du temps elle est parfaitement inexpressive. Gilbert Melki est égal à lui même, très bon acteur qui relève un tout petit peu le niveau mais on part de tellement bas...
    Stephenballade
    Stephenballade

    395 abonnés 1 237 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 15 décembre 2019
    "Le bazar de la charité" : une série que je n’avais pas vu venir et que j’ai commencé à regarder un peu par hasard, seulement attiré par les décors et les costumes d’un autre temps. Contrairement aux divers avis très négatifs figurant en première page des avis définis comme étant les plus utiles, j’ai passé un très bon moment. Et alors qu’elle vient de se finir au terme du huitième épisode, je dois admettre que c’est avec regret que je me vois dans l’obligation de quitter les trois héroïnes, tant cette saga m’a amené loin. Tout au long de ces huit épisodes, les réalisatrices Catherine Ramberg et Karine Spreuzkouski nous ont offert une superbe mise en scène, pas forcément très originale et inventive, mais ponctuée de plans magnifiques dont on se souviendra. Et comme pour faire écho à la qualité technique des deux réalisatrices, le casting a répondu présent de façon remarquable, mais j’y reviendrai un peu plus loin. J’ai été si bien accroché par l’entame de cette petite série qu’il était hors de question que je rate le reste. Je dois dire que j’ai été d’entrée saisi par l’entame mettant en prise les époux de Lenverpré. Une scène choquante, et qui sera ressentie comme telle quand on condamne ce type d’agissement. Et c’est là que je vais commencer à parler du casting : on se prend à trembler pour Adrienne de Lenverpré, incarnée par une Audrey Fleurot plus belle que jamais dans les tenues en vogue de cette fin du XIXème siècle. J’ai noté au passage quelques plans qui mettaient en valeur son teint de peau et la couleur de ses cheveux. C’est à en tomber par terre… Le fait est que… je suis tombé par terre ! Mais si je suis tombé par terre, c’est à cause de la prestation époustouflante de Gilbert Melki, véritablement bluffant dans la peau du candidat apparemment incontournable à la présidence du Sénat, j’ai nommé Marc-Antoine de Lenverpré. Sans compter que le concernant, on va aller de surprise en surprise. C’est donc naturellement à cet acteur que j’adresserai ma mention spéciale, d’autant qu’avec Audrey, il nous offre une première scène saisissante, magnifique de tension et d’inquiétude, cueillant pour ainsi dire le téléspectateur à froid. Ce dernier se verra vite réchauffé par la tragédie du 4 mai 1897, drame au cours duquel il va être invité à suivre deux autres destinées : celle d’Alice de Jeansin et de sa bonne, prénommée Rose. La première est incarnée par une Camille Lou pas toujours des plus convaincantes, sauf quand elle doit affronter son père (Antoine Duléry). Forcément, la trame se tissant principalement dans la haute société parisienne. La seconde, jouée par Julie de Bona, est celle que j’ai le moins aimé des trois héroïnes. En plus, elle n’a pas été aidée par un maquillage que je qualifierai de contestable, et je ne parle même pas de la vitesse à laquelle elle semble se remettre de ses blessures. Cependant on ne peut rester insensible au triste destin auquel les trois femmes semblent promises, et c’est en cela que cette série est remarquable. Les plans, la mise en scène, le montage, et la qualité du jeu d’acteur pour une majeure partie du casting font qu’on reste accroché jusqu’à la fin. Certes on passera sur les inexactitudes historiques, et plus précisément sur les manques, mais l’histoire telle qu’elle nous a été livrée est tellement riche qu’il semble difficile de parler de tout sans rallonger la série. Alors bon, des choix ont été faits, et chacun se fera sa propre opinion là-dessus. Mais n’oublions pas que les scénaristes ont décidé de s’attarder sur ces trois femmes seulement. Point de vue casting, je dois rajouter une petite mention spéciale à la petite Rose de Kervenoaël, cette gamine qui joue la fille de Lenverpré. Elle est déjà très douée ! J’ai beaucoup aimé aussi la prestation de Théo Fernandez dans le rôle de Julien de la Ferté, bien que ce rôle n’est pas des plus sympathiques. Mais au moins, il réussit à nous faire vivre une certaine aversion envers son personnage. Pas autant que Gilbert Melki, hein : après tout, il y a une sacrée différence entre un couard qui n’assume pas et une crapule finie. Parmi les autres acteurs que j’ai beaucoup aimés, je dois citer Stéphane Guillon, superbe de présence, de charisme dans la peau d’un « flic » incorruptible au flair infaillible. Il y a aussi Aurélien Wiik, résolument touchant dans la peau du cocher meurtri. Je n’oublie pas Florence Pernel, excellente dans cette colère lancinante qui anime son personnage vis-à-vis de son mari. Ben tiens, puisqu’on parle de lui, Antoine Duléry nous ferait presque ressentir de la peine envers son rôle. Très bon lui aussi dans son domaine. Et puis il y a aussi Josiane Balasko, qui prouve une fois de plus qu’elle sait tout faire, cette fois en femme du monde austère et peu avenante. Gilles Cohen est une fois de plus dans un rôle qui semble éternellement taillé sur mesure pour l’éternité : un rôle antipathique au possible. Je cite également Sylvain Dieuaide en Pierre-Henri de la Trémoille, qui a presque réussi à éclipser Gilbert Melki. Tous les autres sont corrects, à commencer par le tout jeune Adrien Guionnet. La série se caractérise en trois temps, voire quatre si on décortique : d’abord le drame après une rapide présentation des personnages, ensuite les larmes, et enfin le temps des secrets. Et comme je fais partie de ceux qui croient que tout finit par se savoir un jour ou l’autre, la révélation des secrets. Enfin peut-être. Pour certains sans doute, pour d’autres rien n’est moins sûr. Hé ! hé ! j’aime bien brouiller les pistes lol ! Sauf que malheureusement, le dénouement final reste assez prévisible. Mais reconnaissons tout de même à nos réalisatrices-scénaristes cette capacité à mener une série à plusieurs tiroirs : l’amour bien sûr, l’acceptation de soi (ça c’est pour Rose), mais aussi le pouvoir, les faux-semblants, le fait d’assumer ou pas ses actes et/ou responsabilités, les violences conjugales, le qu’en dira-t-on… Après on peut rechigner sur la teneur de certaines répliques. Je parle là de l’utilisation du vocabulaire parfois fleuri. Pour ce faire une idée plus précise, il serait de bon ton de se pencher sur des ouvrages de cette époque. La tâche risque d’être assez ardue pour répondre à cette question problématique. Encore qu’elle est problématique parce qu’on le veut bien. Mais n’oublions pas que la langue de Molière évolue sans arrêt, et que nous ne sommes plus au temps des rois, époque à laquelle le vieux français était utilisé avant de laisser place à des phrases animées par une certaine emphase (du moins dans la haute aristocratie). Et puis je me dis qu’après tout, 1897 : ce n’est pas si loin que ça ! Tout ce que j'espère, c'est que la production saura arrêter cette série là. Personnellement, je ne ressens pas le besoin que ça aille plus loin malgré la porte laissée ouverte.
    Caine78
    Caine78

    6 691 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    2,0
    Publiée le 13 février 2020
    C'est vrai qu'au départ, il y avait de quoi être intrigué par cette ambitieuse production française. Certes, le logo TF1 en haut à droite n'incitait pas à l'enthousiasme, mais retracer un événement historique dont j'ignorais totalement l'existence, soutenu (notamment) par un très joli casting féminin, laissait espérer un divertissement de bon aloi. Au final, j'avoue être vraiment partagé entre une partie du travail rempli et une certaine déception. Tout était pourtant bien parti : saluons d'ailleurs le très beau travail réalisé sur les décors, offrant une reconstitution digne de ce nom, les costumes, moins « spectaculaires », n'en étant pas moins de qualité. De plus, le sujet se suffit presque à lui-même pour représenter un réel intérêt, trouvant un assez bel équilibre entre fresque « flamboyante » et dimension (légèrement) plus intimiste, les différents personnages parvenant plutôt bien à exister tout au long de ces huit épisodes. Seulement, si l'illusion dure quelques temps, on finit inévitablement par se rendre compte que le « cœur » des événements se trouvent presque exclusivement dans le premier volet, le reste se montrant nettement plus inégal, voire inconstant. Alors c'est vrai : la plupart du temps, il y a toujours quelques moments permettant de maintenir un minimum d'intérêt, les différents arcs narratifs ayant suffisamment d'enjeux pour qu'on se laisse (vaguement) prendre jusqu'au bout. Mais bon... l'esprit TF1, jusque-là pas trop omniprésent, devient de plus en plus lourd au fil des soirées, aussi bien par ses incohérences de récit que par son côté ultra-mélo finissant par prendre le dessus sur presque tout le reste, nous éloignant à plusieurs reprises de ce qu'était la promesse initiale. Casting (très) inégal, pouvant compter sur la beauté de son trio vedette Audrey Fleurot - Camille Lou - Julie de Bona (notamment les deux premières... whaou), où les valeurs sûres assurent (Antoiné Duléry et surtout Josiane Balasko), rarement aidé par des personnages frôlant la caricature spoiler: (celui de Gilbert Melki, que celui-ci interprète heureusement avec beaucoup de classe, a juste TOUS les défauts : intelligence avec l'ennemi, assassinat, violence conjugale... encore un ou deux épisodes et on apprenait qu'il mangeait des enfants au petit déjeuner)
    . Enfin, période #MeToo oblige, les hommes sont souvent des salauds sans grande morale, tandis que toutes les femmes sont plus ou moins positives, régulièrement victimes de la vilenie de leurs homologues masculins. Enfin, je ne suis fondamentalement contre un « happy end », mais il faut savoir raison garder : nous ne sommes pas loin de spoiler: virer au n'importe quoi le plus total, aussi bien historiquement qu'au niveau de la cohérence d'ensemble, à moins que ce ne soit au contraire fort cohérent avec la politique de la chaîne d'offrir un dénouement le plus Bisounours possible histoire de plaire avant tout à son public traditionnel...
    Bref, si l'on apprécie l'ambition de départ et un certain sens du « show », notamment dans sa dimension historique, ce « Bazar de la Charité » est loin de tenir ses belles promesses initiales. Regrettable.
    Iris.d
    Iris.d

    1 abonné 8 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 4 décembre 2019
    Bon, j’admets que le langage et les dames qui sortent « en cheveux » sont parfois anachroniques, mais pour autant, pas question de bouder mon plaisir ! Je me suis rarement autant régalée avec une série française contemporaine, mis à part « Dix pour cent » et « Le Bureau des Légendes » dans des styles très différents. Je retrouve l’impatience que j’avais en attendant le soir du feuilleton autrefois : Les Gens de Mogador, les Dames de la côte ... 😊 Il y a toute cette ambiance romanesque, des rebondissements en veux-tu en voilà, du suspens. Des costumes et des décors magnifiques, des actrices formidables.
    Bref, vivement lundi prochain, et pas du tout envie que ça se termine !
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    2,0
    Publiée le 30 novembre 2019
    De prime abord, j'étais conquis. Puis, progressivement, j'ai été désagréablement surpris et franchement déçu. En effet, je n'ai pas été le seul à être interpellé par les accumulations d'anachronismes : les coiffures, les moustaches approximatives, le vocabulaire, les usages, les vêtements trop propres des plus modestes... On faisait décidément du bien meilleur ouvrage au temps des grands feuilletons d'époque (60-70-début 80) et TF1 nous révèle une fois de plus ses priorités : le tape-à-l'oeil, la grosse artillerie, le casting aguicheur. Tout cela, bien évidemment, au détriment de la recherche documentaire et de la rigueur historique. On ne fait même pas mention d'une victime connue à l'époque : la soeur cadette d'Élisabeth de Bavière ("Sissi"), autrement dit la duchesse d'Alençon. Que de lacunes ! Mais qu'attendre d'un réalisateur de grosses ficelles policières de l'usine TF1 ? N'est pas Mazoyer, Bluwal, Camus, Verhaeghe, De court, Barma, Dayan qui veut... Mais si le réalisateur ne peut endosser entièrement la responsabilité de cette oeuvre bancale et racoleuse, alors il faut s'en prendre directement au travail bâclé des personnes chargées du scénario et de la recherche historique. Il faut aussi pointer du doigt ces producteurs plus soucieux des rentrées publicitaires et des abonnements Netflix que de la véracité et de la cohérence. Amis de l'Histoire, évitez ce gâchis... Repassez-vous plutôt un grand Visconti.
    Daniel
    Daniel

    1 abonné 19 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 20 novembre 2019
    Ce film est bien réalisé, et émotionnel, j' ai bien apprécié le rôle des acteurs, donc je note trés bien
    Isabelle A.
    Isabelle A.

    4 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 6 décembre 2019
    C'est superbement interprété de la part de tous les acteurs. Félicitations pour cette belle serie
    Les acteurs sont justes, tous dans leur rôle respectif
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    1,0
    Publiée le 21 novembre 2019
    Quel navet, quel flop ! Grosse déception même si je ne m'attendais pas à monts et merveilles de la part de TF1.
    La scène du feu dans le grand bazar est d'une longueur... elle fait tellement FAKE... les acteurs (pas tous) jouent tellement mal, tout est tellement surfait... bref je ne donnerai pas suite. Quand on voit le budget engagé...
    Danielle SOUCHET
    Danielle SOUCHET

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    0,5
    Publiée le 20 novembre 2019
    Je viens de regarder la première partie de ce film et franchement pour moi la pub faite autour de lui n'en vaut pas vraiment la peine très déçue
    Je trouve que les actrices ne sont pas au maximum de leur forme je m'attendais à mieux que ça
    Camille Lou fait vraiment un peu bébête dans ce rôle
    Du coup je préfère changer de chaîne vraiment pas intéressant
    Jean Darvosky
    Jean Darvosky

    2 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 20 novembre 2019
    Impressionnant !! ça faisait longtemps qu une série n avait pas été aussi captivante , Josiane Balasko étonnante , Audrey au top comme d habitude .
    Séquence prémonitoire très émouvante quand , à un moment donné à la fin de l incendie du bazar ,des flammes enveloppent la flèche de notre dame de Paris en images superposées.La série ayant été tournée un peu avant le drame de notre dame.
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