Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
20 Minutes
par Anne Demoulin
Vingt-cinq, le portrait drôle, touchant et juste d’une jeunesse, un peu paumée.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
La Croix
par Jeanne Ferney
La série Vingt-cinq porte un regard tendre, drôle et souvent désabusé sur un âge à la croisée des chemins.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro Magazine
par Constance Jamet
Devant et derrière la caméra, Bryan Marciano a donné de sa personne, quitte à perdre 15 kg et à passer quelques jours à l’hôpital. Un accouchement créatif éprouvant, mais le bébé est splendide.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Ouest France
par Pascale Vergereau
Une chronique mélancolique et drôle qui sonne juste et émeut fort.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Ecran Large
par Florian Descamps
Un éventail de personnages donc haut en couleurs, bien campés, mais surtout servis par une production au diapason des ambitions affichées par la série. Car outre l'étonnante maturité de son écriture, qui verra ses personnages embrasser nombre de stéréotypes sans jamais s'écarter d'une certaine justesse, c'est bien grâce à ses qualités de production que Vingt-Cinq surprend.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Hermance Murgue
Plus la série avance, plus on s'attache à ces jeunes, tantôt paumés, tantôt rebelles. Rien d'étonnant, ils sont incarnés par des acteurs investis, à l'interprétation toujours juste.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Martine Delahaye
A la fois scénariste, producteur, réalisateur et comédien principal de Vingt-cinq, [Bryan Marciano] a donc obtenu les moyens – limités, mais à saluer – d’OCS pour tourner douze épisodes autour de jeunes gens de la génération des 25-30 ans ; ceux qui, indécis, se cherchent encore, tiraillés entre l’idée de trouver ce qui pourrait faire sens pour eux et la tentation de se laisser porter par les désirs de l’instant et une bonne grosse nonchalance. (…) Ce qui donne une comédie touchante et visant juste.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Charles Martin
Le portrait tendre et pathétique de vingtenaires au bord de la crise de nerfs.
La critique complète est disponible sur le site Première
DailyMars
par Yann Kerjan
OCS persévère sur la comédie de jeunes et c’est tout à son honneur, même si Vingt-cinq peine à convaincre avec une brochette de spécimens particulièrement désemparés.
La critique complète est disponible sur le site DailyMars
20 Minutes
Vingt-cinq, le portrait drôle, touchant et juste d’une jeunesse, un peu paumée.
La Croix
La série Vingt-cinq porte un regard tendre, drôle et souvent désabusé sur un âge à la croisée des chemins.
Le Figaro Magazine
Devant et derrière la caméra, Bryan Marciano a donné de sa personne, quitte à perdre 15 kg et à passer quelques jours à l’hôpital. Un accouchement créatif éprouvant, mais le bébé est splendide.
Ouest France
Une chronique mélancolique et drôle qui sonne juste et émeut fort.
Ecran Large
Un éventail de personnages donc haut en couleurs, bien campés, mais surtout servis par une production au diapason des ambitions affichées par la série. Car outre l'étonnante maturité de son écriture, qui verra ses personnages embrasser nombre de stéréotypes sans jamais s'écarter d'une certaine justesse, c'est bien grâce à ses qualités de production que Vingt-Cinq surprend.
L'Express
Plus la série avance, plus on s'attache à ces jeunes, tantôt paumés, tantôt rebelles. Rien d'étonnant, ils sont incarnés par des acteurs investis, à l'interprétation toujours juste.
Le Monde
A la fois scénariste, producteur, réalisateur et comédien principal de Vingt-cinq, [Bryan Marciano] a donc obtenu les moyens – limités, mais à saluer – d’OCS pour tourner douze épisodes autour de jeunes gens de la génération des 25-30 ans ; ceux qui, indécis, se cherchent encore, tiraillés entre l’idée de trouver ce qui pourrait faire sens pour eux et la tentation de se laisser porter par les désirs de l’instant et une bonne grosse nonchalance. (…) Ce qui donne une comédie touchante et visant juste.
Première
Le portrait tendre et pathétique de vingtenaires au bord de la crise de nerfs.
DailyMars
OCS persévère sur la comédie de jeunes et c’est tout à son honneur, même si Vingt-cinq peine à convaincre avec une brochette de spécimens particulièrement désemparés.