Avec un tel pitch audacieux et drôle, j'espérais voir une série profonde et philosophique, déjantée ou les 2. Au final, à la vue des 2 premiers épisodes, "Nu" n'est ni l'un ni l'autre malheureusement et se focalise beaucoup trop (notamment dans l'épisode 1) sur les changements intervenus dans la société après 8 ans de coma
(l'immigration, le réchauffement climatique, la nourriture au tofu et soja, la fin de la SÉCU, la criminalité en chute libre)
plutôt que sur la question du rapport à la nudité
(la seule bonne initiative du premier épisode est de montrer des corps très différents, histoire d'éviter toute forme de complexes et d'anormalité; je retiendrais aussi le gag du laveur de vitre même si il est peu crédible qu'un gars mette 2 fois 3 secondes pour nettoyer une vitre!!!)
, et base surtout son humour sur les personnages (l'infirmière marrante, les selfies, le médecin) et non sa thématique principale.
L'épisode 2 corrige un peu le tir
en introduisant une intrigue policière (le fondateur de la loi nudité est mort habillé), en rigolant du Brexit (pour dire que seuls les britanniques ont refusé la loi en Europe), en rigolant plus de sa base scénaristique (le foot à poil; l'habillé regardé différemment des autres, sorte d'inversion sociétale étonnante; le générique un peu inspiré de "Masters of Sex"), en gagnant un poil (le sujet de l'interprétation de la beauté est oublié en route) en profondeur (la question des vêtements comme nécessité de préserver des secrets), et en détaillant la loi ("Liberté, égalité, nudité", comment la loi a été votée), même si je trouve peu croyable que tant d'humains aient adhéré au principe aussi vite et avec autant de ferveur, là où les transformations sociétales mettent souvent beaucoup de temps à être intégrées (mariage homo, avortement, fin de la peine de mort), et si la question de la reconversion des marchands de vêtements est grandement survolée.
Enfin, ce qui ressort aussi de ces 2 premiers épisodes, c'est le manque criant de moyens financiers, avec une atmosphère huis clos blanche inutilement oppressante et ennuyeuse. La série se rattrape avec sa distribution, convaincante.
Les épisodes 3 et 4 ne rattrapent pas franchement les 2 premiers, la faute à une direction scénaristique médiocre.
L'épisode 3 plus particulièrement, prend une tournure inintéressante
(la narration inutile de la blessure de 2018, le passage à la loi transparence lors d'une fête 1, 2, 3 soleil)
ou bâclée
(la révolte très courte des pro-vêtements, je noterais quand même le bon gag de la burqa)
, avec pour seul objectif d'offrir des petites répliques qui font à peine sourire
(l'expression "être sur son 31" quand on est à poil est bien la seule à m'avoir fait rire)
.
L'épisode 4 est meilleur car il parle du gars
qui veut rester habillé malgré les pressions de ses proches, ainsi que de la question du jugement (la bagarre à poil) et des nouveaux modes de vie (la musculation crossfit ou vaginale).
Pour le reste, "Nu" se contente de jouer avec les expressions
("pendre par les c******", "t'as l'air en forme")
et offre un petit twist correct sans plus. Dans un registre négatif,
l'existence de 10% d'opposants reclus dans la forêt qui permettrait d'en finir avec les bouchons est grotesque,
mais ce qui me dérange le plus ici, c'est l'absence totale d'enfants!!! C'est vrai ça, il sont où les enfants?? Doivent-ils aussi se mettre à poil à un âge où ils ne comprennent pas la sexualité?? Est-ce bien de les laisser voir des corps nus toute la journée??? "Nu" n'aborde pas cela et je le regrette, c'est un détail qui contribue à faire de "Nu" une série très peu rigoureuse autour de son sujet et qui n'a pas vraiment envie d'incarner une réflexion poussée sur le thème de la nudité.
Ça faisait longtemps que j'avais arrêté cette série et j'ai décidé de m'y remettre, espérant un sursaut, RATÉ!!! "Nu" continue d'être très faible sur sa thématique et à l'arrivée évoque plus
la transparence générale (bancaire, les volets mal vus car ça cache quelque chose) que la nudité, et les innovations futuristes (le double virtuel du commandant).
Pour le reste, le retour du comateux chez les flics n'a rien de bien passionnant (tout comme sa vie avec ses parents) et le scénario enchaîne les trucs ridicules
(la seule bonne initiative du premier épisode est de montrer des corps très différents, histoire d'éviter toute forme de complexes et d'anormalité; je retiendrais aussi le gag du laveur de vitre même si il est peu crédible qu'un gars mette 2 fois 3 secondes pour nettoyer une vitre!!!)
0
et les gags très basiques
(la seule bonne initiative du premier épisode est de montrer des corps très différents, histoire d'éviter toute forme de complexes et d'anormalité; je retiendrais aussi le gag du laveur de vitre même si il est peu crédible qu'un gars mette 2 fois 3 secondes pour nettoyer une vitre!!!)
1
, oubliant au passage encore une fois de traiter son sujet
(la seule bonne initiative du premier épisode est de montrer des corps très différents, histoire d'éviter toute forme de complexes et d'anormalité; je retiendrais aussi le gag du laveur de vitre même si il est peu crédible qu'un gars mette 2 fois 3 secondes pour nettoyer une vitre!!!)
2
et ne parlant toujours pas de la question des enfants, les grands absents de ce monde. Bref, nouvelle déception!!!
L'épisode 6 confirme que la thématique de la nudité est complètement annexe et que la série préfère parler de transparence en général
(la seule bonne initiative du premier épisode est de montrer des corps très différents, histoire d'éviter toute forme de complexes et d'anormalité; je retiendrais aussi le gag du laveur de vitre même si il est peu crédible qu'un gars mette 2 fois 3 secondes pour nettoyer une vitre!!!)
3
et de progrès technologiques
(la seule bonne initiative du premier épisode est de montrer des corps très différents, histoire d'éviter toute forme de complexes et d'anormalité; je retiendrais aussi le gag du laveur de vitre même si il est peu crédible qu'un gars mette 2 fois 3 secondes pour nettoyer une vitre!!!)
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. Pour le reste, l'idée du rencard est quand même bien nulle, l'arc de l'argent dû est évoqué 2 secondes et il n'y a guère que la scène finale pour sauver un épisode médiocre.
Jusque-là déçu par la série, je dois dire que cet épisode 7 m'a plu dans l'ensemble. L'idée
(la seule bonne initiative du premier épisode est de montrer des corps très différents, histoire d'éviter toute forme de complexes et d'anormalité; je retiendrais aussi le gag du laveur de vitre même si il est peu crédible qu'un gars mette 2 fois 3 secondes pour nettoyer une vitre!!!)
5
pour apprendre à assumer ce changement sociétal est pas mal du tout, d'autant plus qu'elle fait intervenir
(la seule bonne initiative du premier épisode est de montrer des corps très différents, histoire d'éviter toute forme de complexes et d'anormalité; je retiendrais aussi le gag du laveur de vitre même si il est peu crédible qu'un gars mette 2 fois 3 secondes pour nettoyer une vitre!!!)
6
Dans le même temps, la série est nettement plus perspicace que d'habitude sur sa vision du monde, ayant raison d'affirmer que
(la seule bonne initiative du premier épisode est de montrer des corps très différents, histoire d'éviter toute forme de complexes et d'anormalité; je retiendrais aussi le gag du laveur de vitre même si il est peu crédible qu'un gars mette 2 fois 3 secondes pour nettoyer une vitre!!!)
7
Pour le reste, la seconde partie de l'épisode est un poil moins bonne, avec
(la seule bonne initiative du premier épisode est de montrer des corps très différents, histoire d'éviter toute forme de complexes et d'anormalité; je retiendrais aussi le gag du laveur de vitre même si il est peu crédible qu'un gars mette 2 fois 3 secondes pour nettoyer une vitre!!!)
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. Quant au twist, j'apprécierais que "Nu" ne s'en contente pas et rentre enfin dans le vif du sujet à propos des pro-vêtements, car niveau investigation, "Nu" ne fait rien depuis le début.
L'épisode 8 est un mélange de ce qui ne va pas dans la série et des espoirs entrevus dans l'épisode 7. J'ai grandement apprécié que la série semble enfin vouloir se focaliser sur une enquête, hélas, la virée dans le club
(la seule bonne initiative du premier épisode est de montrer des corps très différents, histoire d'éviter toute forme de complexes et d'anormalité; je retiendrais aussi le gag du laveur de vitre même si il est peu crédible qu'un gars mette 2 fois 3 secondes pour nettoyer une vitre!!!)
9
, drôle à la base, se résume à quelques gags
en introduisant une intrigue policière (le fondateur de la loi nudité est mort habillé), en rigolant du Brexit (pour dire que seuls les britanniques ont refusé la loi en Europe), en rigolant plus de sa base scénaristique (le foot à poil; l'habillé regardé différemment des autres, sorte d'inversion sociétale étonnante; le générique un peu inspiré de "Masters of Sex"), en gagnant un poil (le sujet de l'interprétation de la beauté est oublié en route) en profondeur (la question des vêtements comme nécessité de préserver des secrets), et en détaillant la loi ("Liberté, égalité, nudité", comment la loi a été votée), même si je trouve peu croyable que tant d'humains aient adhéré au principe aussi vite et avec autant de ferveur, là où les transformations sociétales mettent souvent beaucoup de temps à être intégrées (mariage homo, avortement, fin de la peine de mort), et si la question de la reconversion des marchands de vêtements est grandement survolée.
0
en totale déconnexion avec l'arc principal
en introduisant une intrigue policière (le fondateur de la loi nudité est mort habillé), en rigolant du Brexit (pour dire que seuls les britanniques ont refusé la loi en Europe), en rigolant plus de sa base scénaristique (le foot à poil; l'habillé regardé différemment des autres, sorte d'inversion sociétale étonnante; le générique un peu inspiré de "Masters of Sex"), en gagnant un poil (le sujet de l'interprétation de la beauté est oublié en route) en profondeur (la question des vêtements comme nécessité de préserver des secrets), et en détaillant la loi ("Liberté, égalité, nudité", comment la loi a été votée), même si je trouve peu croyable que tant d'humains aient adhéré au principe aussi vite et avec autant de ferveur, là où les transformations sociétales mettent souvent beaucoup de temps à être intégrées (mariage homo, avortement, fin de la peine de mort), et si la question de la reconversion des marchands de vêtements est grandement survolée.
1
Pour le reste, excepté le twist de fin sur Lucie
en introduisant une intrigue policière (le fondateur de la loi nudité est mort habillé), en rigolant du Brexit (pour dire que seuls les britanniques ont refusé la loi en Europe), en rigolant plus de sa base scénaristique (le foot à poil; l'habillé regardé différemment des autres, sorte d'inversion sociétale étonnante; le générique un peu inspiré de "Masters of Sex"), en gagnant un poil (le sujet de l'interprétation de la beauté est oublié en route) en profondeur (la question des vêtements comme nécessité de préserver des secrets), et en détaillant la loi ("Liberté, égalité, nudité", comment la loi a été votée), même si je trouve peu croyable que tant d'humains aient adhéré au principe aussi vite et avec autant de ferveur, là où les transformations sociétales mettent souvent beaucoup de temps à être intégrées (mariage homo, avortement, fin de la peine de mort), et si la question de la reconversion des marchands de vêtements est grandement survolée.
2
, Nu propose des choses bien dispensables
en introduisant une intrigue policière (le fondateur de la loi nudité est mort habillé), en rigolant du Brexit (pour dire que seuls les britanniques ont refusé la loi en Europe), en rigolant plus de sa base scénaristique (le foot à poil; l'habillé regardé différemment des autres, sorte d'inversion sociétale étonnante; le générique un peu inspiré de "Masters of Sex"), en gagnant un poil (le sujet de l'interprétation de la beauté est oublié en route) en profondeur (la question des vêtements comme nécessité de préserver des secrets), et en détaillant la loi ("Liberté, égalité, nudité", comment la loi a été votée), même si je trouve peu croyable que tant d'humains aient adhéré au principe aussi vite et avec autant de ferveur, là où les transformations sociétales mettent souvent beaucoup de temps à être intégrées (mariage homo, avortement, fin de la peine de mort), et si la question de la reconversion des marchands de vêtements est grandement survolée.
3
ou ridicules
en introduisant une intrigue policière (le fondateur de la loi nudité est mort habillé), en rigolant du Brexit (pour dire que seuls les britanniques ont refusé la loi en Europe), en rigolant plus de sa base scénaristique (le foot à poil; l'habillé regardé différemment des autres, sorte d'inversion sociétale étonnante; le générique un peu inspiré de "Masters of Sex"), en gagnant un poil (le sujet de l'interprétation de la beauté est oublié en route) en profondeur (la question des vêtements comme nécessité de préserver des secrets), et en détaillant la loi ("Liberté, égalité, nudité", comment la loi a été votée), même si je trouve peu croyable que tant d'humains aient adhéré au principe aussi vite et avec autant de ferveur, là où les transformations sociétales mettent souvent beaucoup de temps à être intégrées (mariage homo, avortement, fin de la peine de mort), et si la question de la reconversion des marchands de vêtements est grandement survolée.
4
L'épisode 9 s'occupe enfin de la question des rebelles du vêtement,
en introduisant une intrigue policière (le fondateur de la loi nudité est mort habillé), en rigolant du Brexit (pour dire que seuls les britanniques ont refusé la loi en Europe), en rigolant plus de sa base scénaristique (le foot à poil; l'habillé regardé différemment des autres, sorte d'inversion sociétale étonnante; le générique un peu inspiré de "Masters of Sex"), en gagnant un poil (le sujet de l'interprétation de la beauté est oublié en route) en profondeur (la question des vêtements comme nécessité de préserver des secrets), et en détaillant la loi ("Liberté, égalité, nudité", comment la loi a été votée), même si je trouve peu croyable que tant d'humains aient adhéré au principe aussi vite et avec autant de ferveur, là où les transformations sociétales mettent souvent beaucoup de temps à être intégrées (mariage homo, avortement, fin de la peine de mort), et si la question de la reconversion des marchands de vêtements est grandement survolée.
5
. Les blagues sur
en introduisant une intrigue policière (le fondateur de la loi nudité est mort habillé), en rigolant du Brexit (pour dire que seuls les britanniques ont refusé la loi en Europe), en rigolant plus de sa base scénaristique (le foot à poil; l'habillé regardé différemment des autres, sorte d'inversion sociétale étonnante; le générique un peu inspiré de "Masters of Sex"), en gagnant un poil (le sujet de l'interprétation de la beauté est oublié en route) en profondeur (la question des vêtements comme nécessité de préserver des secrets), et en détaillant la loi ("Liberté, égalité, nudité", comment la loi a été votée), même si je trouve peu croyable que tant d'humains aient adhéré au principe aussi vite et avec autant de ferveur, là où les transformations sociétales mettent souvent beaucoup de temps à être intégrées (mariage homo, avortement, fin de la peine de mort), et si la question de la reconversion des marchands de vêtements est grandement survolée.
6
sont sympathiques mais on peut pas dire que le scénario raconte grand-chose et il fait passer les rebelles
en introduisant une intrigue policière (le fondateur de la loi nudité est mort habillé), en rigolant du Brexit (pour dire que seuls les britanniques ont refusé la loi en Europe), en rigolant plus de sa base scénaristique (le foot à poil; l'habillé regardé différemment des autres, sorte d'inversion sociétale étonnante; le générique un peu inspiré de "Masters of Sex"), en gagnant un poil (le sujet de l'interprétation de la beauté est oublié en route) en profondeur (la question des vêtements comme nécessité de préserver des secrets), et en détaillant la loi ("Liberté, égalité, nudité", comment la loi a été votée), même si je trouve peu croyable que tant d'humains aient adhéré au principe aussi vite et avec autant de ferveur, là où les transformations sociétales mettent souvent beaucoup de temps à être intégrées (mariage homo, avortement, fin de la peine de mort), et si la question de la reconversion des marchands de vêtements est grandement survolée.
7
. Le twist final est correct
en introduisant une intrigue policière (le fondateur de la loi nudité est mort habillé), en rigolant du Brexit (pour dire que seuls les britanniques ont refusé la loi en Europe), en rigolant plus de sa base scénaristique (le foot à poil; l'habillé regardé différemment des autres, sorte d'inversion sociétale étonnante; le générique un peu inspiré de "Masters of Sex"), en gagnant un poil (le sujet de l'interprétation de la beauté est oublié en route) en profondeur (la question des vêtements comme nécessité de préserver des secrets), et en détaillant la loi ("Liberté, égalité, nudité", comment la loi a été votée), même si je trouve peu croyable que tant d'humains aient adhéré au principe aussi vite et avec autant de ferveur, là où les transformations sociétales mettent souvent beaucoup de temps à être intégrées (mariage homo, avortement, fin de la peine de mort), et si la question de la reconversion des marchands de vêtements est grandement survolée.
8
quoique perturbant, à seulement 1 épisode de la fin de saison.
J'attendais mieux de ce season finale qui expédie rapidement l'enquête sur la mort initiale
en introduisant une intrigue policière (le fondateur de la loi nudité est mort habillé), en rigolant du Brexit (pour dire que seuls les britanniques ont refusé la loi en Europe), en rigolant plus de sa base scénaristique (le foot à poil; l'habillé regardé différemment des autres, sorte d'inversion sociétale étonnante; le générique un peu inspiré de "Masters of Sex"), en gagnant un poil (le sujet de l'interprétation de la beauté est oublié en route) en profondeur (la question des vêtements comme nécessité de préserver des secrets), et en détaillant la loi ("Liberté, égalité, nudité", comment la loi a été votée), même si je trouve peu croyable que tant d'humains aient adhéré au principe aussi vite et avec autant de ferveur, là où les transformations sociétales mettent souvent beaucoup de temps à être intégrées (mariage homo, avortement, fin de la peine de mort), et si la question de la reconversion des marchands de vêtements est grandement survolée.
9
au profit d'une inversion au niveau des personnages,
(la narration inutile de la blessure de 2018, le passage à la loi transparence lors d'une fête 1, 2, 3 soleil)
0
Pour le reste, le twist final est pas mal
(la narration inutile de la blessure de 2018, le passage à la loi transparence lors d'une fête 1, 2, 3 soleil)
1
, tout l'inverse de la relation amoureuse de Frank.
En bilan, malgré quelques améliorations lors de la seconde moitié de saison, "Nu" reste une déception globale, la faute à un démarrage poussif, des thématiques mal traitées, un rythme très aléatoire et des bizarreries (l'absence d'enfant dans la série).