Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Le Parisien
par La Rédaction
Une des séries policières les plus alléchantes de ces dernières années... Le ton est noir de chez noir, les personnages jusqu’au-boutistes, la tension permanente, et les scènes violentes parfois tellement dures qu’on se demande comment les cascadeurs ont fait pour s’en sortir entiers.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
20 Minutes
par Vincent Jule
Si le téléspectateur ou la téléspectatrice suit sans déplaisir ces jeux de pouvoir, parfois artificiels, il ou elle reste surtout pour l’action, qui n’hésite pas à surprendre, à durer, à faire mal, et frappe autant l’écran que les esprits. C’est une baston au couteau de boucher, le saccage d’un camp de gitans ou un déchaînement de rage dans une chambre d’hôtel.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
Gareth Evans y filme l'action avec une audace et une précision rarement atteintes dans l'histoire de la télévision et du cinéma. La brutalité qui se dégage de la série a tendance à être le seul angle pour l'aborder, ce qui a parfois déçu certains spectateurs, s'attendant à la densité des "The Raid". Mais sa richesse se niche justement dans ses nuances, et dans cet instant où la diplomatie se mue en sauvagerie.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Laurent Valière
Une série à ne pas rater, quitte à se mettre parfois les mains devant les yeux, avec des violences ultra-chorégraphiées et un 5e épisode quasi sans parole, absolument prenant. Dantesque et sombre.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Les Echos
par Cecilia Delporte
Gangs of London" est une fiction qui marque les esprits. Non pas tant pour son scénario - reprenant tous les codes du film mafieux, sans jamais vraiment innover - mais par son sens de l'esthétisme. Tout est ici parfaitement maîtrisé, des combats d'action brillamment chorégraphiés aux surprenants plans-séquences, en passant par ces nombreuses scènes filmées depuis le toit des buildings surplombant la capitale - métaphore de ces personnages régnant depuis toujours en maître sur la ville.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Première
par Jonathan Blanchet
La série dresse une passionnante radioscopie d'une communauté du crime et de ses rapports de domination. Mais au fond, ce qu’ausculte le mieux "Gangs of London", c'est le cœur de la dynastie mafieuse.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Frédérick Rapilly
Si tous les épisodes de la saison 1 n’ont pas la même tenue, et pêche parfois avec un rythme bancal, cette série a du jus. Elle se distingue par ces scènes d’action époustouflantes, et se hisse - on peut l’écrire - au niveau de ses consœurs criminelles comme "Gomorra" ou "Peaky Blinders". C’est noir, venimeux et on y devient vite accro.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Télé Loisirs
par Thomas Destouches
Série ultra-brutale et à la violence graphique ahurissante, Gangs of London est aussi une tragédie puissante.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
L'Obs
par Guillaume Loison
La précision du détail et la dilatation du temps, mamelles créatives du cinéma d’Evans, conduisent à une sorte de transe barbare certes brillante, mais dont sa série ne fait bizarrement pas grand-chose, sinon un détail un peu gratuit, un simple condiment fun, digéré aussi sec par la marche programmatique du scénario.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Télérama
par Pierre Langlais
(La série) n’a ni la puissance émotionnelle des "Soprano", ni la finesse politique de "The Wire", ni l'élégance et le sens du romanesque de "Peaky Blinders".
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Parisien
Une des séries policières les plus alléchantes de ces dernières années... Le ton est noir de chez noir, les personnages jusqu’au-boutistes, la tension permanente, et les scènes violentes parfois tellement dures qu’on se demande comment les cascadeurs ont fait pour s’en sortir entiers.
20 Minutes
Si le téléspectateur ou la téléspectatrice suit sans déplaisir ces jeux de pouvoir, parfois artificiels, il ou elle reste surtout pour l’action, qui n’hésite pas à surprendre, à durer, à faire mal, et frappe autant l’écran que les esprits. C’est une baston au couteau de boucher, le saccage d’un camp de gitans ou un déchaînement de rage dans une chambre d’hôtel.
Ecran Large
Gareth Evans y filme l'action avec une audace et une précision rarement atteintes dans l'histoire de la télévision et du cinéma. La brutalité qui se dégage de la série a tendance à être le seul angle pour l'aborder, ce qui a parfois déçu certains spectateurs, s'attendant à la densité des "The Raid". Mais sa richesse se niche justement dans ses nuances, et dans cet instant où la diplomatie se mue en sauvagerie.
Franceinfo Culture
Une série à ne pas rater, quitte à se mettre parfois les mains devant les yeux, avec des violences ultra-chorégraphiées et un 5e épisode quasi sans parole, absolument prenant. Dantesque et sombre.
Les Echos
Gangs of London" est une fiction qui marque les esprits. Non pas tant pour son scénario - reprenant tous les codes du film mafieux, sans jamais vraiment innover - mais par son sens de l'esthétisme. Tout est ici parfaitement maîtrisé, des combats d'action brillamment chorégraphiés aux surprenants plans-séquences, en passant par ces nombreuses scènes filmées depuis le toit des buildings surplombant la capitale - métaphore de ces personnages régnant depuis toujours en maître sur la ville.
Première
La série dresse une passionnante radioscopie d'une communauté du crime et de ses rapports de domination. Mais au fond, ce qu’ausculte le mieux "Gangs of London", c'est le cœur de la dynastie mafieuse.
Télé 7 Jours
Si tous les épisodes de la saison 1 n’ont pas la même tenue, et pêche parfois avec un rythme bancal, cette série a du jus. Elle se distingue par ces scènes d’action époustouflantes, et se hisse - on peut l’écrire - au niveau de ses consœurs criminelles comme "Gomorra" ou "Peaky Blinders". C’est noir, venimeux et on y devient vite accro.
Télé Loisirs
Série ultra-brutale et à la violence graphique ahurissante, Gangs of London est aussi une tragédie puissante.
L'Obs
La précision du détail et la dilatation du temps, mamelles créatives du cinéma d’Evans, conduisent à une sorte de transe barbare certes brillante, mais dont sa série ne fait bizarrement pas grand-chose, sinon un détail un peu gratuit, un simple condiment fun, digéré aussi sec par la marche programmatique du scénario.
Télérama
(La série) n’a ni la puissance émotionnelle des "Soprano", ni la finesse politique de "The Wire", ni l'élégance et le sens du romanesque de "Peaky Blinders".