Le Seigneur des Anneaux : Les Anneaux de Pouvoir : Critiques de la presse
Le Seigneur des Anneaux : Les Anneaux de Pouvoir
Critiques spectateurs
Critiques presse
Note moyenne
3,3
15 titres de presse
Le Journal du Geek
TVLine
Hollywood Reporter
Libération
Numerama
Première
Télérama
Huffington Post (FR)
Le Figaro
Les Echos
Time
Entertainment weekly
L'Obs
Le Monde
Washington Post
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Le Journal du Geek
par Julie Hay
Les ingrédients d’une bonne saga épiques sont là, même si la mise en place donne parfois un peu le vertige. Rapidement, les choses avancent dans le bon sens et l’on retrouve la tendresse de l’univers imaginé par Tolkien, mais aussi les recoins plus sombres d’un monde gangrené par le mal et la quête de pouvoir. Une tonalité très solennelle, qui s’oppose parfois à des élans de légèreté et d’humour.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
TVLine
par Dave Nemetz
La série Le Seigneur des Anneaux d’Amazon Les Anneaux de Pouvoir valait la peine d’être attendue : une histoire épique et ambitieuse avec des effets visuels époustouflants.
La critique complète est disponible sur le site TVLine
Hollywood Reporter
par Dan Fienberg
Le premier épisode est principalement consacré au développement de l’univers, à l’exposition de l’intrigue et prouve qu’une narration de cette ampleur peut voir le jour à la télévision et être un succès, malgré quelques lenteurs. Dans le deuxième épisode, l’histoire commence à avancer, et j’ai été charmé par certains personnages et certaines scènes ainsi que le nécessite une série comme celle-ci conçue pour durer plusieurs saisons.
La critique complète est disponible sur le site Hollywood Reporter
Libération
par Olivier Lamm
L’entrée en matière des Anneaux de pouvoir est un plaisir dont on reconnaît avec un certain contentement la petite musique, récit choral, distribué entre les races et les communautés, d’une menace sourde, de quelque chose de pourri dans un monde entre-deux-guerres, lait noirci dans les pis d’une vache, ange enflammé tombé du ciel, troll qui mugit dans l’ombre.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Numerama
par Marcus Dupont-Besnard
Les Anneaux de Pouvoir, c’est de l’aventure et de la contemplation. On ne peut qu’espérer que cette démonstration haute en couleurs sur deux épisodes se confirme sur le reste de la saison, notamment en donnant plus de complexité à la quête principale.
La critique complète est disponible sur le site Numerama
Première
par Sylvestre Picard
Ces deux premières heures donnent donc l’impression de revenir dans un univers familier, celui de la fantasy forgée par Jackson il y a vingt ans, et c’est loin d’être désagréable, d’autant que le budget (très) confortable de la série lui donne une ampleur véritablement cinématographique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Pierre Langlais
Des économies ont semble-t-il été faites côté casting, ce qui se ressent ici ou là, particulièrement pour le personnage central de Galadriel – la Galloise Morfydd Clark manque d’expressivité et ne peut faire oublier Cate Blanchett, qui incarnait le rôle chez Jackson. Mais ce retour du Seigneur des anneaux reste une réussite technique et un blockbuster familial qui remplit parfaitement sa mission
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Huffington Post (FR)
par Claire Tervé
Il reste impossible de dire aujourd’hui si Les Anneaux de Pouvoir vont être à la hauteur du Seigneur des Anneaux. Deux épisodes ne peuvent refléter toute une série, d’une part. D’autre part, rien ne peut égaler le fait d’avoir grandi avec une œuvre, s’en être inspirée, d’en avoir fait un élément de sa culture, un modèle moral parfois.
La critique complète est disponible sur le site Huffington Post (FR)
Le Figaro
par Constance Jamet
Entre récit shakespearien et biblique, Les Anneaux de pouvoir parvient à dessiner avec davantage d'élégance cette Terre du Milieu vertigineuse que les personnages qui l'habitent. Certaines scènes d'action cassent le rythme inutilement.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Echos
par Cecilia Delporte
Au visionnage des deux premiers épisodes se dessine une trame narrative dense, écrite à la manière d'un film choral où les destins se croisent, s'éloignent pour mieux se retrouver. Tout est pensé pour séduire les amateurs d'heroic fantasy, tant dans l'esthétique très léchée, les effets visuels soignés que dans les légendes qui se nouent autour de ces royaumes fantastiques, terres de tous les possibles.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Time
par Judy Berman
Plutôt que de réinventer l’univers de Tolkien, ils se lancent dans une histoire développée avec respect et un gros budget pour raconter des choses que les spectateurs ont déjà vu des milliers de fois par le passé. Le résultat final pourra aussi bien marquer les esprits qu’ennuyer. Mais après visionnage de ses premiers épisodes, Les Anneaux de Pouvoir se présente comme une série charmante, mais qui ne prend aucun risque dans son développement.
La critique complète est disponible sur le site Time
Entertainment weekly
par Darren Franich
Les spectateurs qui voulaient explorer la Terre du Milieu seront sûrement satisfaits, et j’imagine que l’on pourrait dire que Les Anneaux de Pouvoir n’est pas pire que toutes les autres séries d’aventure aux budgets faramineux (Altered Carbon, vous vous souvenez ?) qui ont vu le jour ces récentes années sur les plateformes de streaming. Mais cette série est un catastrophique gâchis de son propre potentiel, préférant sacrifier un univers glorieux et sans limites au détriment d’un blockbuster étriqué et désespérant.
La critique complète est disponible sur le site Entertainment weekly
L'Obs
par Arnaud Sagnard
On étire un univers préexistant déjà exténué – Peter Jackson y a consacré dix-sept heures pour les versions courtes de ses six films –, au risque de créer un objet sans personnalité ni texture, brillant mais creux.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Thomas Sotinel
Pourtant réalisés par un cinéaste qui sait ce que genre (en l’occurrence fantastique horrifique) veut dire, Juan Antonio Bayona, Les Anneaux de pouvoir reste pour l’instant un projet essentiellement décoratif, peuplé de personnages à peine esquissés.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Washington Post
par Inkoo Kang
Les personnages – dont les Elfes Galadriel et Elrond, joués par Cate Blanchett et Hugo Weaving dans les films – n’ont guère plus d’épaisseur qu’une feuille de papier de cuisson, et les intrigues sont à peine plus satisfaisantes. Les performances des acteurs font le boulot sans briller, tandis que les dialogues sont particulièrement plats et malhabiles, avec trop de monologues à propos de la recherche de « la lumière » ou à propos des forces du mal quelles qu’elles soient.
La critique complète est disponible sur le site Washington Post
Le Journal du Geek
Les ingrédients d’une bonne saga épiques sont là, même si la mise en place donne parfois un peu le vertige. Rapidement, les choses avancent dans le bon sens et l’on retrouve la tendresse de l’univers imaginé par Tolkien, mais aussi les recoins plus sombres d’un monde gangrené par le mal et la quête de pouvoir. Une tonalité très solennelle, qui s’oppose parfois à des élans de légèreté et d’humour.
TVLine
La série Le Seigneur des Anneaux d’Amazon Les Anneaux de Pouvoir valait la peine d’être attendue : une histoire épique et ambitieuse avec des effets visuels époustouflants.
Hollywood Reporter
Le premier épisode est principalement consacré au développement de l’univers, à l’exposition de l’intrigue et prouve qu’une narration de cette ampleur peut voir le jour à la télévision et être un succès, malgré quelques lenteurs. Dans le deuxième épisode, l’histoire commence à avancer, et j’ai été charmé par certains personnages et certaines scènes ainsi que le nécessite une série comme celle-ci conçue pour durer plusieurs saisons.
Libération
L’entrée en matière des Anneaux de pouvoir est un plaisir dont on reconnaît avec un certain contentement la petite musique, récit choral, distribué entre les races et les communautés, d’une menace sourde, de quelque chose de pourri dans un monde entre-deux-guerres, lait noirci dans les pis d’une vache, ange enflammé tombé du ciel, troll qui mugit dans l’ombre.
Numerama
Les Anneaux de Pouvoir, c’est de l’aventure et de la contemplation. On ne peut qu’espérer que cette démonstration haute en couleurs sur deux épisodes se confirme sur le reste de la saison, notamment en donnant plus de complexité à la quête principale.
Première
Ces deux premières heures donnent donc l’impression de revenir dans un univers familier, celui de la fantasy forgée par Jackson il y a vingt ans, et c’est loin d’être désagréable, d’autant que le budget (très) confortable de la série lui donne une ampleur véritablement cinématographique.
Télérama
Des économies ont semble-t-il été faites côté casting, ce qui se ressent ici ou là, particulièrement pour le personnage central de Galadriel – la Galloise Morfydd Clark manque d’expressivité et ne peut faire oublier Cate Blanchett, qui incarnait le rôle chez Jackson. Mais ce retour du Seigneur des anneaux reste une réussite technique et un blockbuster familial qui remplit parfaitement sa mission
Huffington Post (FR)
Il reste impossible de dire aujourd’hui si Les Anneaux de Pouvoir vont être à la hauteur du Seigneur des Anneaux. Deux épisodes ne peuvent refléter toute une série, d’une part. D’autre part, rien ne peut égaler le fait d’avoir grandi avec une œuvre, s’en être inspirée, d’en avoir fait un élément de sa culture, un modèle moral parfois.
Le Figaro
Entre récit shakespearien et biblique, Les Anneaux de pouvoir parvient à dessiner avec davantage d'élégance cette Terre du Milieu vertigineuse que les personnages qui l'habitent. Certaines scènes d'action cassent le rythme inutilement.
Les Echos
Au visionnage des deux premiers épisodes se dessine une trame narrative dense, écrite à la manière d'un film choral où les destins se croisent, s'éloignent pour mieux se retrouver. Tout est pensé pour séduire les amateurs d'heroic fantasy, tant dans l'esthétique très léchée, les effets visuels soignés que dans les légendes qui se nouent autour de ces royaumes fantastiques, terres de tous les possibles.
Time
Plutôt que de réinventer l’univers de Tolkien, ils se lancent dans une histoire développée avec respect et un gros budget pour raconter des choses que les spectateurs ont déjà vu des milliers de fois par le passé. Le résultat final pourra aussi bien marquer les esprits qu’ennuyer. Mais après visionnage de ses premiers épisodes, Les Anneaux de Pouvoir se présente comme une série charmante, mais qui ne prend aucun risque dans son développement.
Entertainment weekly
Les spectateurs qui voulaient explorer la Terre du Milieu seront sûrement satisfaits, et j’imagine que l’on pourrait dire que Les Anneaux de Pouvoir n’est pas pire que toutes les autres séries d’aventure aux budgets faramineux (Altered Carbon, vous vous souvenez ?) qui ont vu le jour ces récentes années sur les plateformes de streaming. Mais cette série est un catastrophique gâchis de son propre potentiel, préférant sacrifier un univers glorieux et sans limites au détriment d’un blockbuster étriqué et désespérant.
L'Obs
On étire un univers préexistant déjà exténué – Peter Jackson y a consacré dix-sept heures pour les versions courtes de ses six films –, au risque de créer un objet sans personnalité ni texture, brillant mais creux.
Le Monde
Pourtant réalisés par un cinéaste qui sait ce que genre (en l’occurrence fantastique horrifique) veut dire, Juan Antonio Bayona, Les Anneaux de pouvoir reste pour l’instant un projet essentiellement décoratif, peuplé de personnages à peine esquissés.
Washington Post
Les personnages – dont les Elfes Galadriel et Elrond, joués par Cate Blanchett et Hugo Weaving dans les films – n’ont guère plus d’épaisseur qu’une feuille de papier de cuisson, et les intrigues sont à peine plus satisfaisantes. Les performances des acteurs font le boulot sans briller, tandis que les dialogues sont particulièrement plats et malhabiles, avec trop de monologues à propos de la recherche de « la lumière » ou à propos des forces du mal quelles qu’elles soient.