Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
La Croix
par Cécile Jaurès
Au-delà du thriller psychologique, qui joue sur la diversité des points de vue pour brouiller habilement les cartes, "Disclaimer" brasse des thèmes forts (...) En point d’orgue, une révélation finale qui nous cueille et nous bouleverse.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Voici
par Vincent Cocquebert
Pour sa première incursion dans l'univers des séries, le réalisateur Alfonso Cuaron signe un thriller efficace et vénéneux qui questionne avec subtilité le culte de la transparence et le poids de la culpabilité.
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
Alfonso Cuarón nous enfonce dans un labyrinthe tortueux et torturé avec "Disclaimer", récit vertigineux sur la fiction et notre position de spectateurs.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Humanité
par Tom Demars-Granja
Alfonso Cuaron insuffle sa patte tout en douceur, là où d’autres seraient tombés dans la surenchère pour coller au thriller, un genre adepte de retournement de situation et de tension palpable. Le récit y puise, justement, une pudeur bienvenue.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Audrey Fournier
Jouant avec les points de vue et les narrateurs, la série navigue habilement de fausses pistes en faux-semblants, déconstruit les codes du thriller jusqu’à un retournement final puissant, qui déconcertera plus d’un téléspectateur.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par La Rédaction
Un thriller à la beauté glacée.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Olivier Joyard
Imparfait mais ambitieux.
Libération
par Marius Chapuis
Portée par Cate Blanchett et Sacha Baron Cohen, la première série d’Alfonso Cuarón est une splendeur de mise en scène. Dans la lignée de ses films "Gravity" et "Roma", un objet singulier qui tranche radicalement avec le reste de la production.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télé 7 Jours
par Christophe Séfrin
Un thriller sensuel et prenant, qui sème le trouble dans les esprits et nous fait entrer dans la peau de ses personnages.
Télérama
par Pierre Langlais
Le réalisateur mexicain joue ici avec les codes de la série et avec le regard des spectateurs à travers un suspense particulièrement troublant, qui divise la rédaction.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Alfonso Cuaron déploie son esthétisme cinématographique sur presque sept heures : si sa mise en scène ultra-travaillée et son talent pour sonder la psyché des protagonistes crée une ambiance mélodramatique unique, le temps semble parfois long...
Télé Loisirs
par Roxane Mansano
Avec une narration éclatée, multipliant les allers-retours entre présent et passé, et l'utilisation originale des voix-off, "Disclaimer" surprend tout en attisant notre curiosité.
Le Figaro Magazine
par Constance Jamet
Fiction à thèse, "Disclaimer" est, à ce titre, d'un classicisme déconcertant. Sans subtilité dans sa démonstration que les apparences sont trompeuses. À l'exception de l'épisode final qui offre à Cate Blanchett un retournement éprouvant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Première
par Pierre Lunn
Cette mini-série psychologique ne dévoile son vrai sujet qua dans la dernière ligne droite et souffre de certaines faiblesses.
Téléstar
par Romain Nigita
La narration se veut complexe et malicieuse, mais ne cache au final qu'un marivaudage vaguement sensuel.
La Croix
Au-delà du thriller psychologique, qui joue sur la diversité des points de vue pour brouiller habilement les cartes, "Disclaimer" brasse des thèmes forts (...) En point d’orgue, une révélation finale qui nous cueille et nous bouleverse.
Voici
Pour sa première incursion dans l'univers des séries, le réalisateur Alfonso Cuaron signe un thriller efficace et vénéneux qui questionne avec subtilité le culte de la transparence et le poids de la culpabilité.
Ecran Large
Alfonso Cuarón nous enfonce dans un labyrinthe tortueux et torturé avec "Disclaimer", récit vertigineux sur la fiction et notre position de spectateurs.
L'Humanité
Alfonso Cuaron insuffle sa patte tout en douceur, là où d’autres seraient tombés dans la surenchère pour coller au thriller, un genre adepte de retournement de situation et de tension palpable. Le récit y puise, justement, une pudeur bienvenue.
Le Monde
Jouant avec les points de vue et les narrateurs, la série navigue habilement de fausses pistes en faux-semblants, déconstruit les codes du thriller jusqu’à un retournement final puissant, qui déconcertera plus d’un téléspectateur.
Les Echos
Un thriller à la beauté glacée.
Les Inrockuptibles
Imparfait mais ambitieux.
Libération
Portée par Cate Blanchett et Sacha Baron Cohen, la première série d’Alfonso Cuarón est une splendeur de mise en scène. Dans la lignée de ses films "Gravity" et "Roma", un objet singulier qui tranche radicalement avec le reste de la production.
Télé 7 Jours
Un thriller sensuel et prenant, qui sème le trouble dans les esprits et nous fait entrer dans la peau de ses personnages.
Télérama
Le réalisateur mexicain joue ici avec les codes de la série et avec le regard des spectateurs à travers un suspense particulièrement troublant, qui divise la rédaction.
Le Journal du Dimanche
Alfonso Cuaron déploie son esthétisme cinématographique sur presque sept heures : si sa mise en scène ultra-travaillée et son talent pour sonder la psyché des protagonistes crée une ambiance mélodramatique unique, le temps semble parfois long...
Télé Loisirs
Avec une narration éclatée, multipliant les allers-retours entre présent et passé, et l'utilisation originale des voix-off, "Disclaimer" surprend tout en attisant notre curiosité.
Le Figaro Magazine
Fiction à thèse, "Disclaimer" est, à ce titre, d'un classicisme déconcertant. Sans subtilité dans sa démonstration que les apparences sont trompeuses. À l'exception de l'épisode final qui offre à Cate Blanchett un retournement éprouvant.
Première
Cette mini-série psychologique ne dévoile son vrai sujet qua dans la dernière ligne droite et souffre de certaines faiblesses.
Téléstar
La narration se veut complexe et malicieuse, mais ne cache au final qu'un marivaudage vaguement sensuel.