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Lorsque Catherine réalise qu'un nouveau bestseller dévoile les secrets de son passé, le monde s'effondre peu à peu autour d'elle.
Cuaron signe une excellente série chargée de tension avec un jeu d'acteur formidable (Cate Blanchett). L'histoire est riche, complexe, entre la réputation de Catherine qu'elle essaye de maintenir tant bien que mal, son couple, sa relation avec son fils, ses ennemis. Le plus intéressant, c'est l'évolution de son personnage que l'on pense cruel, mais au fil des épisodes la réalité se nuance de plus en plus et bouscule nos certitudes.
Un thriller et drame psychologique maîtrisé de bout en bout. Si vous aimez les séries comme The Sinner, je vous le recommande.
Cuaron signe une excellente série chargée de tension avec un jeu d'acteur formidable (Cate Blanchett). L'histoire est riche, complexe, entre la réputation de Catherine qu'elle essaye de maintenir tant bien que mal, son couple, sa relation avec son fils, ses ennemis. Le plus intéressant, c'est l'évolution de son personnage que l'on pense cruel, mais au fil des épisodes la réalité se nuance de plus en plus et bouscule nos certitudes.
Un thriller et drame psychologique maîtrisé de bout en bout. Si vous aimez les séries comme The Sinner, je vous le recommande.
Les deux premiers épisodes donnaient vraiment envie de poursuivre cette série, avec d’excellents acteurs, Cate Blanchett et Kevin Kline, mais au troisième épisode quelle déception, on se retrouve à regarder du cinéma érotique avec des plans d’une longueur interminable, non pas choquants mais tellement ridicules, et si vous n’aimez pas les bruitages qui ne servent à rien, tout le temps, et la musique tartignole à souhait en continu, à un volume insupportable, là, vous allez être servis. Et le quatrième épisode, rebelote ! J’abandonne.
Disclaimer nous prend de court avec une intrigue remplie de rebondissements inattendus et une intensité dramatique qui nous tient en haleine. Kate Blanchett, dans son rôle, brille d'une manière extraordinaire, offrant une performance qui transcende l'écran. Chaque épisode semble être conçu pour surprendre le spectateur, le gardant sur le bord de son siège avec des développements imprévisibles et des retournements de situation maîtrisés.
Blanchett incarne son personnage avec une telle profondeur et une telle nuance que l'on ne peut qu'être émerveillé par son talent. Sa capacité à jongler entre différentes émotions et états d'esprit est remarquable, faisant de chaque scène un moment mémorable. La série explore également des thèmes complexes et pertinents, ajoutant une couche supplémentaire de profondeur à son récit déjà fascinant.
Une véritable surprise donc qui saura séduire ceux en quête d'une histoire captivante, portée par une actrice bluffante
Blanchett incarne son personnage avec une telle profondeur et une telle nuance que l'on ne peut qu'être émerveillé par son talent. Sa capacité à jongler entre différentes émotions et états d'esprit est remarquable, faisant de chaque scène un moment mémorable. La série explore également des thèmes complexes et pertinents, ajoutant une couche supplémentaire de profondeur à son récit déjà fascinant.
Une véritable surprise donc qui saura séduire ceux en quête d'une histoire captivante, portée par une actrice bluffante
Mini-série remarquablement filmée et jouée, mais on n'en attendait pas moins d'Alfonso Cuaròn. Les rôles principaux (Sacha Baron-cohen, Cate Blanchet, Leila George et Kevin Kline) sont parfaitement incarnés, même si les rôles secondaires, dont celui du fils laissent eux parfois un peu à désirer. Le reproche majeur est vraiment l'abus de la voix off qui est vraiment selon moi un signe de paresse.
Le scénario est bien construit avec une montée crescendo de la tension et un twist bienvenu. Du coup, on est assez motivé pour passer à l'épisode suivant ce qui est toujours un bon signe. On peut cependant regretter que l'ambiguïté finale arrive trop tard et aurait gagné à être installée plus tôt entre les 2 versions concurrentes de l'histoire. Ce qui nous aurait vraiment fait plus douter et aurait rajouté à la tension.
Au final, ça reste une bonne série bien maitrisée et qui se regarde avec plaisir
Le scénario est bien construit avec une montée crescendo de la tension et un twist bienvenu. Du coup, on est assez motivé pour passer à l'épisode suivant ce qui est toujours un bon signe. On peut cependant regretter que l'ambiguïté finale arrive trop tard et aurait gagné à être installée plus tôt entre les 2 versions concurrentes de l'histoire. Ce qui nous aurait vraiment fait plus douter et aurait rajouté à la tension.
Au final, ça reste une bonne série bien maitrisée et qui se regarde avec plaisir
Alfonso Cuaron est un des maîtres modernes du 7e art. Ici il se frotte à un exercice inédit dans sa carrière : la série. Un format dont il va détourner les codes, expérimentant à tous les niveaux. Il profite au maximum du potentiel de la mini-série (7 épisodes) pour dérouler un récit à tiroirs, en variant les points de vues et en perdant son spectateur pour livrer au final un thriller troublant et tragique.
Toute l’ambition de cette série est d’explorer la question du récit et du point de vue. Ici ce personnage de journaliste d’investigation - habituée à enquêter et donc à mettre la lumière sur la “vérité” - se voit visée par un récit qui la concerne et qui va bouleverser sa vie en remuant son passé. Mais on est bien plus que face à un simple thriller à rebondissements ici tant cette série nous met face à notre propre point de vue et à nos a priori. Elle nous montre comment et à quel point nos préjugés peuvent être néfastes, dévastateurs.
Pour ne rien gâter et alors que la question du point de vue est centrale, le travail visuel est impeccable avec une mise en scène irréprochable et une photographie sublime. Côté casting là-aussi c’est le haut du panier avec notamment une Cate Blanchett absolument parfaite et l’excellent Kevin Kline.
Bref, si ce récit partait d’un postulat de base assez classique, ses qualités folles de mises en scènes, d’écriture et d’interprétation en font non seulement la meilleure série que j’ai vu cette anéne mais même tout simplement une des plus grandes oeuvres de 2024.
Toute l’ambition de cette série est d’explorer la question du récit et du point de vue. Ici ce personnage de journaliste d’investigation - habituée à enquêter et donc à mettre la lumière sur la “vérité” - se voit visée par un récit qui la concerne et qui va bouleverser sa vie en remuant son passé. Mais on est bien plus que face à un simple thriller à rebondissements ici tant cette série nous met face à notre propre point de vue et à nos a priori. Elle nous montre comment et à quel point nos préjugés peuvent être néfastes, dévastateurs.
Pour ne rien gâter et alors que la question du point de vue est centrale, le travail visuel est impeccable avec une mise en scène irréprochable et une photographie sublime. Côté casting là-aussi c’est le haut du panier avec notamment une Cate Blanchett absolument parfaite et l’excellent Kevin Kline.
Bref, si ce récit partait d’un postulat de base assez classique, ses qualités folles de mises en scènes, d’écriture et d’interprétation en font non seulement la meilleure série que j’ai vu cette anéne mais même tout simplement une des plus grandes oeuvres de 2024.
Je ne comprends pas que certains doute de la version finale : en effet comment la mère du jeune homme aurait elle pu avoir toutes les informations qu’elle donne dans le livre ?
Ce qui manque c’est la version de Sasha , personnage complètement mis de côté
Mais j’ai vraiment aimé cette série, prenante et très bien joué
Ce qui manque c’est la version de Sasha , personnage complètement mis de côté
Mais j’ai vraiment aimé cette série, prenante et très bien joué
Après l'immense Roma, le grand Alfonso Cuarón revient ni plus ni moins qu'avec un nouveau chef-d'œuvre (vu l'ensemble des 7 épisodes!)..
Disclaimer conte l'histoire de Catherive Ravenscroft (Cate Blanchett), journaliste émérite dont la vie professionnelle et personnelle va basculer du jour au lendemain lorsqu'une personne anonyme (Kevin Kline) lui envoie un roman contant avec une surprenante précision un évènement survenu 20 ans plus tôt.
Un engrenage vindicatif et vengeur va alors se mettre en place, contaminant l'unité familiale de Catherine pour révéler les secrets d'une mort funeste n'ayant jamais été résolue.
7h d'Alfonso Cuarón est déjà une bénéfiction en soit, mais un véritable cadeau cinématographique lorsqu'on tient un puzzle narratif aussi bien écrit.
L'ampleur de Disclaimer se caractérise par une dimension étonnamment intime, filmant un délitement familial par 2 regards opposés (la coupable et la victime) tandis que le récit se mue en odyssée vengeresque à la portée émotionnelle déchirante (incroyable performance secondaire de Lesley Manville après Phantom Thread).
Mais là où Disclaimer est brillante (renouvelant son récit à chaque épisode et dévoilant toutes ses cartes jusqu'à la toute fin) c'est dans une narration méta en trompe-l'oeil, combinant de manière intuitive et symbiotique imaginaire et faits avérés (le choix d'Indira Varma pour conter le passé du personnage de Blanchett est lourd de sens).
Un discours sur la puissance du fictionnel en somme, utilisé en tant que révélateur de sens et catalyseur d'une quête de vérité : la quintessence même des histoires et du cinéma donc !
Et outre un suspense impeccablement distillé, Disclaimer bénéficie de tout un soin plastique relativement dingue pour une production télévisuelle : mise en scène virtuose caractéristique de Cuarón à base de plans-séquences menés de main de maître, photographie crépusculaire absolument remarquable de Emmanuel Lubezki (Gravity, Birdman, The Revenant) et Bruno Delbonnel (Amélie Poulain, Inside Llewyn Davis, Macbeth)..
Le tout saupoudré d'une superbe OST de Finneas épousant le côté esthésique de la réalisation, à la fois géniale dans sa tension dramatique mais aussi brillante lorsque dans un épisode 3 représentant une leçon d'érotisme, Cuarón renoue avec les fondations de don cinéma (Y Tu Mama Tambien).
Bref, une chronique existentialiste à hauteur d'homme (Kevin Kline livre la performance de sa carrière en antagoniste incroyablement bien écrit) et surtout de femme (Cate Blanchett prouve encore une fois qu'elle est la plus grande actrice en activité), questionnant de manière encore plus pertinente la notion de point de vue que le récent Anatomie d'une chute.
Brillant !
Disclaimer conte l'histoire de Catherive Ravenscroft (Cate Blanchett), journaliste émérite dont la vie professionnelle et personnelle va basculer du jour au lendemain lorsqu'une personne anonyme (Kevin Kline) lui envoie un roman contant avec une surprenante précision un évènement survenu 20 ans plus tôt.
Un engrenage vindicatif et vengeur va alors se mettre en place, contaminant l'unité familiale de Catherine pour révéler les secrets d'une mort funeste n'ayant jamais été résolue.
7h d'Alfonso Cuarón est déjà une bénéfiction en soit, mais un véritable cadeau cinématographique lorsqu'on tient un puzzle narratif aussi bien écrit.
L'ampleur de Disclaimer se caractérise par une dimension étonnamment intime, filmant un délitement familial par 2 regards opposés (la coupable et la victime) tandis que le récit se mue en odyssée vengeresque à la portée émotionnelle déchirante (incroyable performance secondaire de Lesley Manville après Phantom Thread).
Mais là où Disclaimer est brillante (renouvelant son récit à chaque épisode et dévoilant toutes ses cartes jusqu'à la toute fin) c'est dans une narration méta en trompe-l'oeil, combinant de manière intuitive et symbiotique imaginaire et faits avérés (le choix d'Indira Varma pour conter le passé du personnage de Blanchett est lourd de sens).
Un discours sur la puissance du fictionnel en somme, utilisé en tant que révélateur de sens et catalyseur d'une quête de vérité : la quintessence même des histoires et du cinéma donc !
Et outre un suspense impeccablement distillé, Disclaimer bénéficie de tout un soin plastique relativement dingue pour une production télévisuelle : mise en scène virtuose caractéristique de Cuarón à base de plans-séquences menés de main de maître, photographie crépusculaire absolument remarquable de Emmanuel Lubezki (Gravity, Birdman, The Revenant) et Bruno Delbonnel (Amélie Poulain, Inside Llewyn Davis, Macbeth)..
Le tout saupoudré d'une superbe OST de Finneas épousant le côté esthésique de la réalisation, à la fois géniale dans sa tension dramatique mais aussi brillante lorsque dans un épisode 3 représentant une leçon d'érotisme, Cuarón renoue avec les fondations de don cinéma (Y Tu Mama Tambien).
Bref, une chronique existentialiste à hauteur d'homme (Kevin Kline livre la performance de sa carrière en antagoniste incroyablement bien écrit) et surtout de femme (Cate Blanchett prouve encore une fois qu'elle est la plus grande actrice en activité), questionnant de manière encore plus pertinente la notion de point de vue que le récent Anatomie d'une chute.
Brillant !
Très belle série, bien réalisée avec un casting intéressant.
Les acteurs sont justes et le scenario en 2 temps, 2 époques facile a suivre.
La partie italienne est visuellement très réussie.
Je recommande.
Les acteurs sont justes et le scenario en 2 temps, 2 époques facile a suivre.
La partie italienne est visuellement très réussie.
Je recommande.
J'ai découvert par hasard et c'est une très bonne série, un thriller un peu étrange, mais tellement captivant et par moment assez malaisant, bravo au réalisateur et aux acteurs. Fan de bon thriller n'hesitez pas. ler épisode vous serez un peu perdu, mais c'est normal.
c'est bien jusqu'à....la fin,l'épilogue!
Mais quelle incohérence invraissemblable:j'ai dû revisionner l'épisode 3 où c'est elle qui aguiche, provoque, entraîne le jeune novice,recommence même le lendemain dans la cabine de plage et ne voilà t-il pas qu'il l'aurait violée en fait?
Ou alors elle invente ce viol pour se disculper et s'innocenter?
On nous prend pour des imbéciles,voilà!
Mais quelle incohérence invraissemblable:j'ai dû revisionner l'épisode 3 où c'est elle qui aguiche, provoque, entraîne le jeune novice,recommence même le lendemain dans la cabine de plage et ne voilà t-il pas qu'il l'aurait violée en fait?
Ou alors elle invente ce viol pour se disculper et s'innocenter?
On nous prend pour des imbéciles,voilà!
Il est impératif de visionner l’intégralité de la série pour en saisir toutes les facettes.
Cette série souligne à quel il est important de percevoir les nuances du monde qui nous entoure avant de tirer des conclusions.
Beaucoup de commentaires négatifs semblent provenir de personnes qui n´ont pas regardé jusqu´à la fin ce qui est dommageable car certaines remarques deviennent alors complètement hors de propos.
Cette série souligne à quel il est important de percevoir les nuances du monde qui nous entoure avant de tirer des conclusions.
Beaucoup de commentaires négatifs semblent provenir de personnes qui n´ont pas regardé jusqu´à la fin ce qui est dommageable car certaines remarques deviennent alors complètement hors de propos.
À regarder DANS SON ENSEMBLE avant d'en faire une critique SVP. Et malgré la fin, certaines critiques prouvent bien qu'on a besoin de séries comme celle là pour changer les mentalités...
Une des meilleures mini-séries du moment ! Inutile d'en dire plus, les avis en disent souvent trop sur l'intrigue. Le premier épisode est un peu déroutant, ensuite c'est addictif !
Je n'ai pas tout vu. Seulement 4 épisodes relatés d'après le point de vue de la maman qui n'a pas été témoin de l'histoire et l'a imaginée à partir des éléments en sa possession pour les transcrire dans un livre... Pas étonnant que cette partie soit à décharge contre une femme adultère et nous présente le jeune homme comme un puceau pris au piège de la salacité d'une garce abjecte dont on n'a pas encore entendu la version puisque personne ne l'écoute.
Superbe mini série et scénario au suspense incroyable. Je me suis régalé du premier au dernier épisode.