Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Télé 2 semaines
par La rédaction
L'énigme est dense, l'interprétation sans faille et la reconstitution historique somptueuse. Passionnant.
La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines
Franceinfo Culture
par La rédaction
Plus de 30 ans après le succès du film de Jean-Jacques Annaud, une mini-série propose une nouvelle adaptation séduisante du best-seller d'Umberto Eco Le nom de la rose.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Parisien
par Flora Zanichelli
A la fois grave et facétieuse, la série Le nom de la rose se veut une version haute en couleur du best-seller d’Umberto Eco. Portée par des acteurs au caractère trempé, (…), la fiction produite par la Rai offre un rythme soutenu sans pour autant trahir les propos philosophiques du roman. Une aventure aux tréfonds de l’âme humaine.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Sud Ouest
par Jean-Michel Selva
Battiato n’a pas voulu copier le travail de Jean-Jacques Annaud et c’est bien ainsi. Sa mise en scène est plus moderne dans un style aussi lumineux et coloré que l’atmosphère du film était sinistre et poisseuse. Ce polar médiéval mêle avec brio enquête et fresque historique. Une réussite.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Le Figaro Magazine
par Constance Jamet
La série (…) s’extirpe de l’enquête policière mais garde l’esprit de l’auteur italien.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
20 Minutes
par Anne Demoulin
Alors que Jean-Jacques Annaud filmait des monstres dans une atmosphère obscure, Giacomo Battiato fait le pari de la couleur. (…) Une approche qui va ravir tous les médiévistes, mais aussi les fans de Game of Thrones.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Les Inrockuptibles
par Alexandre Buyukodabas
Convaincante dans son arc policier, la mini-série Le Nom de la Rose s’encombre de digressions narratives et historiques artificielles.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Le Monde
par Renaud Machart
La réalisation, très académique, très soporifique, a des airs de déjà-vu. Les décors, qui semblent naviguer entre manipulation synthétique et carton-pâte (...), jouent à l’occasion les clairs-obscurs de pacotille à la chandelle : plus on croit servir le vrai par des artifices, plus ceux-ci sonnent faux et paraissent en toc.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Pierre Langlais
Sur le papier, l’idée n’était pas nécessairement mauvaise, d’autant que cette période de forte tension religieuse pouvait offrir quelques éléments de réflexion au téléspectateur de 2019. Mais sa transposition à l’image, à en croire les deux épisodes que nous avons pu voir, n’est guère convaincante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Le moins qu’on puisse dire est que cette adaptation du roman d’Umberto Eco sous forme de mini-série ne rivalise pas avec celle qu’en avait fait Jean-Jacques Annaud il y a 33 ans.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Télé 2 semaines
L'énigme est dense, l'interprétation sans faille et la reconstitution historique somptueuse. Passionnant.
Franceinfo Culture
Plus de 30 ans après le succès du film de Jean-Jacques Annaud, une mini-série propose une nouvelle adaptation séduisante du best-seller d'Umberto Eco Le nom de la rose.
Le Parisien
A la fois grave et facétieuse, la série Le nom de la rose se veut une version haute en couleur du best-seller d’Umberto Eco. Portée par des acteurs au caractère trempé, (…), la fiction produite par la Rai offre un rythme soutenu sans pour autant trahir les propos philosophiques du roman. Une aventure aux tréfonds de l’âme humaine.
Sud Ouest
Battiato n’a pas voulu copier le travail de Jean-Jacques Annaud et c’est bien ainsi. Sa mise en scène est plus moderne dans un style aussi lumineux et coloré que l’atmosphère du film était sinistre et poisseuse. Ce polar médiéval mêle avec brio enquête et fresque historique. Une réussite.
Le Figaro Magazine
La série (…) s’extirpe de l’enquête policière mais garde l’esprit de l’auteur italien.
20 Minutes
Alors que Jean-Jacques Annaud filmait des monstres dans une atmosphère obscure, Giacomo Battiato fait le pari de la couleur. (…) Une approche qui va ravir tous les médiévistes, mais aussi les fans de Game of Thrones.
Les Inrockuptibles
Convaincante dans son arc policier, la mini-série Le Nom de la Rose s’encombre de digressions narratives et historiques artificielles.
Le Monde
La réalisation, très académique, très soporifique, a des airs de déjà-vu. Les décors, qui semblent naviguer entre manipulation synthétique et carton-pâte (...), jouent à l’occasion les clairs-obscurs de pacotille à la chandelle : plus on croit servir le vrai par des artifices, plus ceux-ci sonnent faux et paraissent en toc.
Télérama
Sur le papier, l’idée n’était pas nécessairement mauvaise, d’autant que cette période de forte tension religieuse pouvait offrir quelques éléments de réflexion au téléspectateur de 2019. Mais sa transposition à l’image, à en croire les deux épisodes que nous avons pu voir, n’est guère convaincante.
aVoir-aLire.com
Le moins qu’on puisse dire est que cette adaptation du roman d’Umberto Eco sous forme de mini-série ne rivalise pas avec celle qu’en avait fait Jean-Jacques Annaud il y a 33 ans.