Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
Ouest France
par Pascale Vergereau
Cette plongée loufoque dans les coulisses de la télé est portée par un très bon casting : Mathilda May dans le rôle de la puissante productrice et aussi Olivier Charasson, Julie Bargeton, Amir El Kacem, la YouTubeuse Audrey Pirault. MC Jean Gab’1 et Princess Erika sont hilarants dans les rôles des parents de Yanis, au frein sur son choix de carrière. Comme l’ont été ceux d’Ahmed Sylla, à ses débuts. Les auteurs, adeptes de l’humour british d’un Ricky Gervais, parlent l’air de rien assez finement du racisme, des barrières sociales et générationnelles au coin de cette sympathique comédie.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Le Figaro Magazine
par La rédaction
Pour sa première création 100 % maison, C8 a eu la bonne idée de parier sur la comédie et sur Ahmed Sylla. Le héros de L’Ascension interprète un humoriste recruté dans une émission de télévision en perte de vitesse. Il lui faut trouver sa place, sans jouer le Noir de service, entre des collègues peu accueillants ou parfois un poil trop dans la discrimination positive et une productrice (Mathilda May) qui compte beaucoup sur lui. Cette série de 20 épisodes joue sur deux registres: les sketchs un peu délirants créés par l’équipe et la partie feuilletonnante misant plus sur un humour dépressif, qui laisse une place bienvenue aux temps morts et au malaise.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Le Parisien
par La rédaction
On pense à Platane. Mais là où la série d’Éric Judor séduisait par ses audaces scénaristiques, Access se veut plus classique et familial. Son (grand) atout : le talent XXL d’Ahmed Sylla qui offre une jolie performance en jonglant avec les costumes avec un naturel et un charme confondants. Mais si certains sketchs revendiquant une filiation avec les Inconnus et les Nuls sont efficaces, la série pâtit de sérieux problèmes de rythme, offrant des épisodes inégaux. Dommage, parce que les thèmes abordés (la diversité à l’écran, le besoin de reconnaissance parentale…) sont intéressants et traités de manière moderne.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé 2 semaines
par La rédaction
Le premier épisode très drôle présente efficacement le personnage incarné par Ahmed Sylla, également créateur de la série.
La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines
Télérama
par Pierre Langlais
Access alterne sketchs et quotidien des personnages. Ses séquences parodiques sont inégales mais toujours soignées et, quand elles osent l’absurde, peuvent être hilarantes. Il faut quelques épisodes pour que cette cousine de 30 Rock trouve son équilibre entre humour embarrassant, dérapages parfois incorrects et tendresse. Le naturel comique d’Ahmed Sylla, acteur hyper expressif à l’énergie contagieuse, fait le reste. Ses confrontations avec son père (inénarrable MC Jean Gab’1) sont particulièrement réussies.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ouest France
Cette plongée loufoque dans les coulisses de la télé est portée par un très bon casting : Mathilda May dans le rôle de la puissante productrice et aussi Olivier Charasson, Julie Bargeton, Amir El Kacem, la YouTubeuse Audrey Pirault. MC Jean Gab’1 et Princess Erika sont hilarants dans les rôles des parents de Yanis, au frein sur son choix de carrière. Comme l’ont été ceux d’Ahmed Sylla, à ses débuts. Les auteurs, adeptes de l’humour british d’un Ricky Gervais, parlent l’air de rien assez finement du racisme, des barrières sociales et générationnelles au coin de cette sympathique comédie.
Le Figaro Magazine
Pour sa première création 100 % maison, C8 a eu la bonne idée de parier sur la comédie et sur Ahmed Sylla. Le héros de L’Ascension interprète un humoriste recruté dans une émission de télévision en perte de vitesse. Il lui faut trouver sa place, sans jouer le Noir de service, entre des collègues peu accueillants ou parfois un poil trop dans la discrimination positive et une productrice (Mathilda May) qui compte beaucoup sur lui. Cette série de 20 épisodes joue sur deux registres: les sketchs un peu délirants créés par l’équipe et la partie feuilletonnante misant plus sur un humour dépressif, qui laisse une place bienvenue aux temps morts et au malaise.
Le Parisien
On pense à Platane. Mais là où la série d’Éric Judor séduisait par ses audaces scénaristiques, Access se veut plus classique et familial. Son (grand) atout : le talent XXL d’Ahmed Sylla qui offre une jolie performance en jonglant avec les costumes avec un naturel et un charme confondants. Mais si certains sketchs revendiquant une filiation avec les Inconnus et les Nuls sont efficaces, la série pâtit de sérieux problèmes de rythme, offrant des épisodes inégaux. Dommage, parce que les thèmes abordés (la diversité à l’écran, le besoin de reconnaissance parentale…) sont intéressants et traités de manière moderne.
Télé 2 semaines
Le premier épisode très drôle présente efficacement le personnage incarné par Ahmed Sylla, également créateur de la série.
Télérama
Access alterne sketchs et quotidien des personnages. Ses séquences parodiques sont inégales mais toujours soignées et, quand elles osent l’absurde, peuvent être hilarantes. Il faut quelques épisodes pour que cette cousine de 30 Rock trouve son équilibre entre humour embarrassant, dérapages parfois incorrects et tendresse. Le naturel comique d’Ahmed Sylla, acteur hyper expressif à l’énergie contagieuse, fait le reste. Ses confrontations avec son père (inénarrable MC Jean Gab’1) sont particulièrement réussies.