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Votre avis sur Emily in Paris ?
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Emily Cooper, une jeune américaine originaire de Washington, débarque à Paris pour des raisons professionnelles.
Son employeur a fait récemment l’acquisition d’une agence française de Marketing en difficulté, Emily doit apporter son expertise et surtout une touche américaine, à la pointe des réseaux sociaux.
Elle devra s’adapter à sa nouvelle vie parisienne, faire face à une patronne exigeante, une équipe de collaborateurs réfractaires aux changements et surtout à la solitude.
Nouvelle création de Darren Star (Beverly Hills 90210, Melrose Place et Sex and the City), Emily in Paris est drôle et exploite toutes les merveilles de notre capitale tellement romantique aux yeux des américains.
Le petit bémol réside dans de nombreuses références aux clichés parisiens (béret, Edith Piaf, les croissants, le vin, les parisiens grognons et râleurs …) qui donnent une image un peu trop vieillotte de notre pays !
Pour encore plus de critiques et de bonne humeur, suivez-moi sur Facebook et Instagram : Le Vidéo club de Sabrina !
Son employeur a fait récemment l’acquisition d’une agence française de Marketing en difficulté, Emily doit apporter son expertise et surtout une touche américaine, à la pointe des réseaux sociaux.
Elle devra s’adapter à sa nouvelle vie parisienne, faire face à une patronne exigeante, une équipe de collaborateurs réfractaires aux changements et surtout à la solitude.
Nouvelle création de Darren Star (Beverly Hills 90210, Melrose Place et Sex and the City), Emily in Paris est drôle et exploite toutes les merveilles de notre capitale tellement romantique aux yeux des américains.
Le petit bémol réside dans de nombreuses références aux clichés parisiens (béret, Edith Piaf, les croissants, le vin, les parisiens grognons et râleurs …) qui donnent une image un peu trop vieillotte de notre pays !
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Pfff que dire... épisodes inintéressants, on peut regarder 10 minutes du premier épisode et déjà deviner la suite ... Digne d’un téléfilm m6, pas d’une série Netflix
Très mauvais, comme déjà dit et redit, un ramassis de clichés et de caricatures de la vie parisienne selon les américains... Les français ne fument plus autant que dans les années 80, ne boivent pas de vin au petit déjeuner, à part quand ils sont alcooliques, mais dans ce cas de figure c'est une habitude internationale, et surtout, je n'avais pas conscience que nous nous promenions les bras figés pliés comme à l'image de Sylvie... Histoire sans intérêt, niaiseuse et bande son toute aussi cliché que le reste.
J'ai passé un très bon moment en regardant la saison 1 ( je l'ai même regardée deux fois ! ). Mais que dire de la saison 2 ...
Aucun scénario, des personnages lourds, les jolis plans de Paris ont disparus, les belles tenues également, une suite de déceptions !
Aucun scénario, des personnages lourds, les jolis plans de Paris ont disparus, les belles tenues également, une suite de déceptions !
Très sympa les acteurs jouent très bien. C'est un vrai plaisir de voir Paris mis en valeur. Série sans prétention qui tient très bien la distance des 10 épisodes.
Les premiers épisodes de la deuxième saison d’« Emily à Paris » m’ont un peu déçu. Non pas que la première année était un grand cru. Il est vrai que cette série américaine présentait, comme on l’a répété, un Paris de cartes postales où les Français étaient franchement caricaturés. Mais il y avait dans l’arrivée inopinée de cette jeune Américaine naïve et unilingue dans une chic boîte de marketing du 1er Arrondissement quelque chose de pétillant et de drôle qui m’avait séduit. D’autant que Lily Collins était adorable en Emily et que ses tenues vestimentaires étaient spectaculaires.
Un an plus tard, les ressorts sur lesquels repose l’action semblent un peu amochés. Alors, on s’est remet trop au même triangle amoureux formé par Emily, Gabriel et Camille. Tant et si bien que certains épisodes tiennent du roman-savon ou du vaudeville. Heureusement, l’arrivée de la patronne américaine, arrogante et intrusive, vient ajouter un peu de piquant à une saison qui jusque-là en manquait beaucoup.
Soit dit en passant, s’il est vrai que la série se moque sans vergogne des Français, les Américains aussi en prennent pour leur rhume. Et si les premiers paraissent plus attirés par la drague que par le travail, il faut noter qu’ils sont aussi présentés comme créatifs, charmants et raffinés.
Finalement, je n’ai boudé pas mon plaisir. « Emily à Paris » n’est pas un champagne, même s’il y est beaucoup question de cette boisson sublime, mais plutôt comme un mousseux qui se laisse boire agréablement, surtout par temps de pandémie. Ses bulles ne nous transportent pas d’allégresse, mais elles créent une petite ivresse à laquelle il est plaisant de s’abandonner.
Le dénouement laisse croire qu’il y aura une troisième saison. Aussi, devrions-nous revoir Emily avec ses tenues colorées, ses chapeaux invraisemblables, son immense sourire et son dynamisme pétillant, dans ce splendide Paris où il n’y a ni vacarme, ni foules, ni hordes de touristes, ni clochards, ni migrants, ni bouchons, ni smog, ni poubelles, ni crottes de chien.
Un an plus tard, les ressorts sur lesquels repose l’action semblent un peu amochés. Alors, on s’est remet trop au même triangle amoureux formé par Emily, Gabriel et Camille. Tant et si bien que certains épisodes tiennent du roman-savon ou du vaudeville. Heureusement, l’arrivée de la patronne américaine, arrogante et intrusive, vient ajouter un peu de piquant à une saison qui jusque-là en manquait beaucoup.
Soit dit en passant, s’il est vrai que la série se moque sans vergogne des Français, les Américains aussi en prennent pour leur rhume. Et si les premiers paraissent plus attirés par la drague que par le travail, il faut noter qu’ils sont aussi présentés comme créatifs, charmants et raffinés.
Finalement, je n’ai boudé pas mon plaisir. « Emily à Paris » n’est pas un champagne, même s’il y est beaucoup question de cette boisson sublime, mais plutôt comme un mousseux qui se laisse boire agréablement, surtout par temps de pandémie. Ses bulles ne nous transportent pas d’allégresse, mais elles créent une petite ivresse à laquelle il est plaisant de s’abandonner.
Le dénouement laisse croire qu’il y aura une troisième saison. Aussi, devrions-nous revoir Emily avec ses tenues colorées, ses chapeaux invraisemblables, son immense sourire et son dynamisme pétillant, dans ce splendide Paris où il n’y a ni vacarme, ni foules, ni hordes de touristes, ni clochards, ni migrants, ni bouchons, ni smog, ni poubelles, ni crottes de chien.
C'est d'une nullité, emily est une vraie petasse qui se tape tout le monde mais est choquée quand ses amies couchent avec quelqu'un. Emily est d'un pathétique, elle est tellement égoïste, elle détruit tout autour d'elle comme un éléphant en surpoids, je comprends pas comment elle peut être l'héroïne de cette série, elle est exactement tout le contraire. Et les clichés qui s'enchaînent à chaque épisode sont vraiment lourds, le scénariste a vraiment un sérieux problème pour avoir pu faire une abomination pareille !
Un peu de "le diable s'habille en Prada", un soupçon de "vacances romaines", un zest d'"un Américain à Paris" et une pincée de "10%" .... et surtout la délicieuse Lily Collins qui se débat au milieu des clichés les plus éculés sur les Français.
Truffée de clichés sur les Français, montrés comme des obsédés sexuels, triviaux... Malaimables.. Le sejour en région Champenoise, avec gentilhommière en pierre de tuffaut des pays de Loire montre leur méconnaissance totale de la France.
Puérile et idiot. Emily seule est sympathique. Hélas..
Puérile et idiot. Emily seule est sympathique. Hélas..
Une mini série feel good que j'ai binge watcher en quelques jours. C'est bourré de clichés, certains vrais comme la nourriture, les rapports travail-loisirs, l'art de vivre à la française, l'arrogance et la mauvaise humeur, l'ambiance parisienne avec ses monuments, ou la façon de draguer. Les futurs arrivants qui regardent ça de l'étranger vont déchanter rapidement, car dans la série tout est propre, toute la population semble sortie d'un magasine de mode, est très à l'aise financièrement et parle un anglais impeccable. La réalité est loin d'être aussi idyllique.
Même si l'on sait que c'est complètement niais, justement en cette période cela fait du bien de ne plus entendre parler de misère, de chomage, de politique, d'économie, d'attentats, de grève, de migrants, de maladies, bref de notre quotidien.
Même si l'on sait que c'est complètement niais, justement en cette période cela fait du bien de ne plus entendre parler de misère, de chomage, de politique, d'économie, d'attentats, de grève, de migrants, de maladies, bref de notre quotidien.
Les décors et les costumes sont magnifiques, les Américains rendent Paris magnifique mais hélas il n'y a aucun scénario c'est vide.
Série avec des situations de type "cliché et téléphoné"... Un Paris surfait de carte postale . Esprit roman-photo et collection Harlequin pour midinettes. Les acteurs surjouent leur rôle. Mais globalement rafraichissant et distrayant.
Bien que le film soit remplit de clichés et ne décrive aucunement la réalité de la vie à Paris (en enlevant les téléphones, c'est un Paris des années 60 peut-être...), cette série réussi à nous divertir et nous faire s'attacher aux personnages principaux. Satisfaisant globalement.
Une série à absolument regarder en VO.
On prend plaisir à suivre les aventures d'une américaine dans un Paris idyllique. Il y a certes énormément de clichés et il faut prendre le recul nécessaire pour l'apprécier. Il faut également avoir travaillé avec les américains pour comprendre également certains clichés US imperceptibles à ceux qui n'ont pas eu cette expérience.
Divertissant, Emily et ses acolytes sont attachants.
Moins de clichés dans la saison 2, plus focalisée sur les personnages et moins sur la vie Parisienne.
On prend plaisir à suivre les aventures d'une américaine dans un Paris idyllique. Il y a certes énormément de clichés et il faut prendre le recul nécessaire pour l'apprécier. Il faut également avoir travaillé avec les américains pour comprendre également certains clichés US imperceptibles à ceux qui n'ont pas eu cette expérience.
Divertissant, Emily et ses acolytes sont attachants.
Moins de clichés dans la saison 2, plus focalisée sur les personnages et moins sur la vie Parisienne.
Addictif ! Clône de "10%" mais ici transposé dans le milieu de la pub (ou l'inverse : qui a copié qui ?). La série pourrait tout aussi bien s'intituler "Une Américaine à Paris" sauce moderne puisque on a à faire ici (choses tellement rare) à des BOS-SEURS, l'héroïne, clône d'Audrey Hepburn à s'y méprendre dans certaine scènes. Une fule d'ingrédients déjà vu : les clichés anglo-saxons sur les Français (on n'échappera pas de si tôt, malgré tous les efforts d'Anne Hidalgo sur la propreté des trottoirs, aux crottes de chien (beurk) en ouvrant sa porte de bon matin ni au cliché de la ville où on s'envoie en l'air du matin au soir). Mais la fille est tellement battante et persévérante que ça vaut le coup de la regarder avec vos ados blasées dans l'espoir qu'elles y verront un modèle pour retrouver du peps à leur avenir. La mode et la cuisine sont très présentes aussi dans cette série qui change un peu de la morosité ambiante.