Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
GQ
par Maxime Joly
La dérision sert au départ à la fois à masquer dans un premier temps le passé tragique des héros, à panser leur blessures, mais leur permet surtout de rappeler constamment que la vie continue malgré tout et qu'ils doivent avancer dans leur chemin vers la rédemption. Un parcours aussi violent que drôle, aussi tragique que grotesque, aussi monstrueux qu’humain.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Brain Damaged
par Asma El Mardi
Côté réalisation et production, "Hunters" est une série de cachet : avec sa réalisation ouvertement inspirée des films des années 70, avec une grosse influence visuelle des films de Tarantino (Pulp fiction ou Orange Mécanique pour ne citer que ces deux-là) elle propose un New York des années 70 plus vrai que nature.
La critique complète est disponible sur le site Brain Damaged
CNN
par Brian Lowry
"Hunters" est une série suffisamment séduisante pour compenser ses problèmes de narration, tout du moins lors des premiers épisodes. Mais le ton de cette série Amazon – qui compte Al Pacino comme tête d’affiche – ne cesse de changer, laissant l’impression d’une série qui n’est pas mauvaise, mais qui aurait dû être bien meilleure qu’elle ne l’est en réalité.
La critique complète est disponible sur le site CNN
Le Parisien
par Michel Valentin
"Hunters" ne convainc pas et pire, provoque même parfois le malaise. La faute à un scénario qui fait constamment le grand écart entre des flash-back terribles et glaçants dans les camps de concentration, et des scènes modernes à l'humour décalé, quasi-"cartoonesque".
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Charles Martin
L'écriture des personnages laisse franchement à désirer et les héros de la bande de "Hunters", balourdement grotesques, manquent cruellement de charisme, de charme, de flamme. Pour le dire simplement, on a bien du mal à s'attacher au fil des premiers épisodes.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Inrockuptibles
par Léo Moser
"Hunters" s'adonne à un mélange des genres hautement périlleux, et moralement très gênant, lorsqu'elle bifurque vers le drame historique et revisite le génocide juif dans une théâtralisation de l'horreur gratuite et inepte.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Cécile Mury
Dans l’ensemble, la partie seventies du récit est plutôt nerveuse et efficace. (...) Le problème se corse – et la réponse se profile – lorsque David Weil et Nikki Toscano, les showrunners, décident de se prendre au sérieux, et multiplient les flash-back à Auschwitz. Toute leur sincérité, leur respect, leur évident désir de transmettre, ne parvient pas à compenser la maladresse gênante de cette mise en spectacle de l’indicible, à coups de chromos dont la facticité délavée confine involontairement à l’indécence.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
New Yorker
par Troy Patterson
Une série spectaculaire bancale… Ni les délibérations morales de "Hunters" ni ses prouesses techniques ne sont à la mesure de son ambition.
La critique complète est disponible sur le site New Yorker
GQ
La dérision sert au départ à la fois à masquer dans un premier temps le passé tragique des héros, à panser leur blessures, mais leur permet surtout de rappeler constamment que la vie continue malgré tout et qu'ils doivent avancer dans leur chemin vers la rédemption. Un parcours aussi violent que drôle, aussi tragique que grotesque, aussi monstrueux qu’humain.
Brain Damaged
Côté réalisation et production, "Hunters" est une série de cachet : avec sa réalisation ouvertement inspirée des films des années 70, avec une grosse influence visuelle des films de Tarantino (Pulp fiction ou Orange Mécanique pour ne citer que ces deux-là) elle propose un New York des années 70 plus vrai que nature.
CNN
"Hunters" est une série suffisamment séduisante pour compenser ses problèmes de narration, tout du moins lors des premiers épisodes. Mais le ton de cette série Amazon – qui compte Al Pacino comme tête d’affiche – ne cesse de changer, laissant l’impression d’une série qui n’est pas mauvaise, mais qui aurait dû être bien meilleure qu’elle ne l’est en réalité.
Le Parisien
"Hunters" ne convainc pas et pire, provoque même parfois le malaise. La faute à un scénario qui fait constamment le grand écart entre des flash-back terribles et glaçants dans les camps de concentration, et des scènes modernes à l'humour décalé, quasi-"cartoonesque".
Première
L'écriture des personnages laisse franchement à désirer et les héros de la bande de "Hunters", balourdement grotesques, manquent cruellement de charisme, de charme, de flamme. Pour le dire simplement, on a bien du mal à s'attacher au fil des premiers épisodes.
Les Inrockuptibles
"Hunters" s'adonne à un mélange des genres hautement périlleux, et moralement très gênant, lorsqu'elle bifurque vers le drame historique et revisite le génocide juif dans une théâtralisation de l'horreur gratuite et inepte.
Télérama
Dans l’ensemble, la partie seventies du récit est plutôt nerveuse et efficace. (...) Le problème se corse – et la réponse se profile – lorsque David Weil et Nikki Toscano, les showrunners, décident de se prendre au sérieux, et multiplient les flash-back à Auschwitz. Toute leur sincérité, leur respect, leur évident désir de transmettre, ne parvient pas à compenser la maladresse gênante de cette mise en spectacle de l’indicible, à coups de chromos dont la facticité délavée confine involontairement à l’indécence.
New Yorker
Une série spectaculaire bancale… Ni les délibérations morales de "Hunters" ni ses prouesses techniques ne sont à la mesure de son ambition.