Les Nouvelles aventures de Sabrina : Critiques de la presse
Les Nouvelles aventures de Sabrina
Critiques spectateurs
Critiques presse
Note moyenne
3,2
11 titres de presse
Première
Le Figaro Magazine
Le Point
Les Inrockuptibles
Paris Match
20 Minutes
Brain Damaged
Huffington Post (FR)
Télé Loisirs
Télérama
Ecran Large
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Première
par Charles Martin
Autant le dire tout de suite, cette version Netflix de Sabrina n'est pas un reboot de L'Apprentie sorcière jouée par Melissa Joan Hart. Certes, on retrouve des noms familiers, deux tantes farfelues, un chat noir, et un peu de magie. Mais à part ça, rien à voir. Ici, tout est plus dark, plus soigné, plus adulte et plus complexe aussi. (…) c'est indéniable, cette nouvelle Sabrina s'avère diablement plus ensorcelante que sa version sitcom !
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Figaro Magazine
par Constance Jamet
Tournant le dos au sitcom des années 90, cette nouvelle adaptation des aventures de l’apprentie sorcière mise sur l’horreur et le fantastique. Son héroïne féministe, incarnée par Kiernan Shipka, s’inscrit dans les pas de Buffy contre les vampires.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Le Point
par Juliette Mitoyen
Exit les épisodes ponctués de rires enregistrés, place à une atmosphère sombre et des décors gothiques. L'histoire est beaucoup plus fidèle aux comic books originaux d'Archie Comics qui abritent les aventures de Sabrina Spellman depuis 1962. Si dans ce reboot concocté par Netflix, elle reste une adolescente qui doit concilier sa vie 'normale' et sa famille magique, elle se retrouve dans des situations bien plus dangereuses (parfois mortelles) que sa prédécesseure. En continuant d'aller au lycée, Sabrina intègre une académie de magie peuplée de sorcières malfaisantes et doit faire face à des démons adorateurs du diable. Roberto Aguirre-Sacasa, showrunner de la série et créateur de Riverdale, prend certainement un malin plaisir à plonger son public dans cette ambiance dark, gore et érotique qui tranche avec la joyeuse sitcom des nineties.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Léo Moser
Opportuniste et dans l'air du temps, cette nouvelle mouture live-action des aventures de Sabrina ne conserve de son aînée que la portion congrue - une toile de fond et le nom de ses personnages - pour en réinventer entièrement la mythologie. Pas dénuée d'idées et plutôt réussie visuellement, elle est avant tout un précieux témoignage de la façon dont une œuvre peut être remodelée à la faveur des enjeux, esthétiques et sociaux, de son époque.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Amandine Bourgoin
Les nouvelles aventures de Sabrina est un conte terriblement sombre, sombrement divertissant à l'univers et au ton résolument différents de ceux de la série des années 90 Sabrina, l'apprentie sorcière. Mais le charme opère toujours.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
20 Minutes
par Vincent Julé
Oubliez les sorcières apprentie ou bien-aimée, la nouvelle série Sabrina verse dans la magie noire, le film d'horreur et l'action féministe...
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Brain Damaged
par Aïssatou Loum
Ce n’est pas la meilleure série du moment, loin de là, mais elle entre bien dans la période et se laisse regarder facilement. (…) Roberto Aguirre-Sacasa a confectionné une série qui tente de prendre exemple sur des oeuvres qui l’ont précédée comme Buffy Contre les Vampires ou Charmed (l’originale). Elle mélange le surnaturel, le girl power, le désire de liberté et une certaine ténacité.
La critique complète est disponible sur le site Brain Damaged
Huffington Post (FR)
par Maxime Bourdeau
Les Nouvelles Aventures de Sabrina font table rase de la célèbre sitcom familiale et font le plein d'hémoglobine et de brouillard pour replonger dans l'histoire de cette jeune sorcière coincée entre sa vie magique et son entourage mortel. De nombreux médias anglophones saluent d'ailleurs l'esprit bien plus terrifiant de ce reboot (…) et certains -comme Melissa Joan Heart qui a été la première à prêter ses traits à Sabrina- vont même jusqu'à voir dans ce mélange de formules magiques, de problèmes familiaux et de combats contre les démons un parallèle avec une icône du genre: Buffy Summers. La nouvelle Sabrina Spellman serait-elle vraiment au niveau de la cultissime tueuse de vampires de Sunnydale ?
La critique complète est disponible sur le site Huffington Post (FR)
Télé Loisirs
par Albin Duvert
Choix évident, Kiernan Shiepka incarne toute l'ambiguïté de son héroïne avec brio, laissant bien peu de place aux rôles secondaires à l'exception peut-être des tantes qui amènent des éclats de comédie au milieu de toute cette noirceur. Dommage que les amourettes de Sabrina fasse parfois basculer la série dans la romance adolescente, comme si elle n'assumait pas totalement d'être une série d'horreur.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Télérama
par Pierre Langlais
Malheureusement, je ne suis pas emballé par cette nouvelle version. Dès son générique (certes inspiré du comic), elle souffre d’une direction artistique difficile, pour ne pas dire laide – effets spéciaux médiocres, cadres floutés sur les bords, effets dispensables, etc. Elle manque aussi de rythme et, si sa mythologie promet un peu d’ampleur, son cadre narratif est extrêmement pauvre – il se limite quasiment au lycée, à la forêt et à la maison des Spellman. La relation de l’héroïne avec son petit copain Harvey est ennuyeuse au possible, et la façon dont la série joue les cartes féministe et anti-bullying n’est pas très subtile. Le seul aspect réjouissant de la série est son approche du satanisme, originale et complexe, entre revendication d’une liberté d’être et possible mensonge au nom d’une religion nocive.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ecran Large
par Simon Riaux
Curieux projet que ces nouvelles aventures de Sabrina, à la fois remake d’un show culte, spin-off d’une série à la mode, et adaptation de comics ténébreux. Trois salles, trois ambiances et au moins autant de raisons de se rayer la cornée face à un ratage aussi spectaculaire.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Première
Autant le dire tout de suite, cette version Netflix de Sabrina n'est pas un reboot de L'Apprentie sorcière jouée par Melissa Joan Hart. Certes, on retrouve des noms familiers, deux tantes farfelues, un chat noir, et un peu de magie. Mais à part ça, rien à voir. Ici, tout est plus dark, plus soigné, plus adulte et plus complexe aussi. (…) c'est indéniable, cette nouvelle Sabrina s'avère diablement plus ensorcelante que sa version sitcom !
Le Figaro Magazine
Tournant le dos au sitcom des années 90, cette nouvelle adaptation des aventures de l’apprentie sorcière mise sur l’horreur et le fantastique. Son héroïne féministe, incarnée par Kiernan Shipka, s’inscrit dans les pas de Buffy contre les vampires.
Le Point
Exit les épisodes ponctués de rires enregistrés, place à une atmosphère sombre et des décors gothiques. L'histoire est beaucoup plus fidèle aux comic books originaux d'Archie Comics qui abritent les aventures de Sabrina Spellman depuis 1962. Si dans ce reboot concocté par Netflix, elle reste une adolescente qui doit concilier sa vie 'normale' et sa famille magique, elle se retrouve dans des situations bien plus dangereuses (parfois mortelles) que sa prédécesseure. En continuant d'aller au lycée, Sabrina intègre une académie de magie peuplée de sorcières malfaisantes et doit faire face à des démons adorateurs du diable. Roberto Aguirre-Sacasa, showrunner de la série et créateur de Riverdale, prend certainement un malin plaisir à plonger son public dans cette ambiance dark, gore et érotique qui tranche avec la joyeuse sitcom des nineties.
Les Inrockuptibles
Opportuniste et dans l'air du temps, cette nouvelle mouture live-action des aventures de Sabrina ne conserve de son aînée que la portion congrue - une toile de fond et le nom de ses personnages - pour en réinventer entièrement la mythologie. Pas dénuée d'idées et plutôt réussie visuellement, elle est avant tout un précieux témoignage de la façon dont une œuvre peut être remodelée à la faveur des enjeux, esthétiques et sociaux, de son époque.
Paris Match
Les nouvelles aventures de Sabrina est un conte terriblement sombre, sombrement divertissant à l'univers et au ton résolument différents de ceux de la série des années 90 Sabrina, l'apprentie sorcière. Mais le charme opère toujours.
20 Minutes
Oubliez les sorcières apprentie ou bien-aimée, la nouvelle série Sabrina verse dans la magie noire, le film d'horreur et l'action féministe...
Brain Damaged
Ce n’est pas la meilleure série du moment, loin de là, mais elle entre bien dans la période et se laisse regarder facilement. (…) Roberto Aguirre-Sacasa a confectionné une série qui tente de prendre exemple sur des oeuvres qui l’ont précédée comme Buffy Contre les Vampires ou Charmed (l’originale). Elle mélange le surnaturel, le girl power, le désire de liberté et une certaine ténacité.
Huffington Post (FR)
Les Nouvelles Aventures de Sabrina font table rase de la célèbre sitcom familiale et font le plein d'hémoglobine et de brouillard pour replonger dans l'histoire de cette jeune sorcière coincée entre sa vie magique et son entourage mortel. De nombreux médias anglophones saluent d'ailleurs l'esprit bien plus terrifiant de ce reboot (…) et certains -comme Melissa Joan Heart qui a été la première à prêter ses traits à Sabrina- vont même jusqu'à voir dans ce mélange de formules magiques, de problèmes familiaux et de combats contre les démons un parallèle avec une icône du genre: Buffy Summers. La nouvelle Sabrina Spellman serait-elle vraiment au niveau de la cultissime tueuse de vampires de Sunnydale ?
Télé Loisirs
Choix évident, Kiernan Shiepka incarne toute l'ambiguïté de son héroïne avec brio, laissant bien peu de place aux rôles secondaires à l'exception peut-être des tantes qui amènent des éclats de comédie au milieu de toute cette noirceur. Dommage que les amourettes de Sabrina fasse parfois basculer la série dans la romance adolescente, comme si elle n'assumait pas totalement d'être une série d'horreur.
Télérama
Malheureusement, je ne suis pas emballé par cette nouvelle version. Dès son générique (certes inspiré du comic), elle souffre d’une direction artistique difficile, pour ne pas dire laide – effets spéciaux médiocres, cadres floutés sur les bords, effets dispensables, etc. Elle manque aussi de rythme et, si sa mythologie promet un peu d’ampleur, son cadre narratif est extrêmement pauvre – il se limite quasiment au lycée, à la forêt et à la maison des Spellman. La relation de l’héroïne avec son petit copain Harvey est ennuyeuse au possible, et la façon dont la série joue les cartes féministe et anti-bullying n’est pas très subtile. Le seul aspect réjouissant de la série est son approche du satanisme, originale et complexe, entre revendication d’une liberté d’être et possible mensonge au nom d’une religion nocive.
Ecran Large
Curieux projet que ces nouvelles aventures de Sabrina, à la fois remake d’un show culte, spin-off d’une série à la mode, et adaptation de comics ténébreux. Trois salles, trois ambiances et au moins autant de raisons de se rayer la cornée face à un ratage aussi spectaculaire.