Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Metro
par Stéphane Morneau
C’est signe qu’on est devant une production de qualité quand la première demi-heure d’une saison nous hante durant le reste de la journée. Des pistes de réflexion fascinantes et une beauté tragique, contemplative, comme regarder un accident au ralenti en espérant que les éclats épargnent les victimes. (…) Si vous n’avez qu’une série américaine à visionner cet automne, c’est celle-ci.
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TV Guide
par Megan Vick
C'est l'histoire d'un homme qui souffre mais qui continue de faire passer avant les siens les besoins de ses proches. C'est à la fois inspirant et tragique. Showtime a entre ses mains quelque chose de tout à fait spécial avec Kidding (…).
La critique complète est disponible sur le site TV Guide
The Hollywood Reporter
par Tim Goodman
Grâce à son ton auto-référentiel, un exceptionnel travail d'écriture et un remarquable jeu d'acteurs, Kidding – avec un Jim Carrey parfait dans son premier rôle régulier à la télévision depuis deux décennies – est la série de Showtime la plus accomplie et la plus satisfaisante de ces dernières années.
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
20 Minutes
par Antoine Irrien
Kidding est sûrement l’une des comédies les plus dramatiques de ces dernières années. (…) Quoi qu’il arrive, Jim Carrey a, dès ce premier épisode, crevé l’écran. Cheveux longs, costume loufoque, démarche un peu gauche, un style qui lui va parfaitement. Ses mimiques et son jeu sont tout aussi remarquables. Cette nouvelle association entre l’acteur et Michel Gondry tient une nouvelle fois toutes ses promesses.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Brain Damaged
par Asma El Mardi
Kidding propose donc avec son pilote une série autour d’un drame familial d’une tristesse inégalée cette saison. L’histoire d’un clown triste, qui dans la bienveillance de son travail va quand même chercher à donner du sens à sa vie malgré le malheur qui l’habite. Une tristesse qui va créer un lien cathartique entre le spectateur et son écran d’emblée, notamment grâce au pouvoir du jeu de Jim Carrey, plus touchant que jamais. Certes la série pour le moment ne propose pas un thème inédit ou peu vu à la télévision, mais s’attaque à un sujet avec une émotion dramatique et comique comme rarement à l’écran.
La critique complète est disponible sur le site Brain Damaged
DailyMars
par Florian Falcucci
Kidding démarre sous les meilleurs auspices, pour peu que vous appréciiez cette ambiance mordante et cruelle, noire et parfois sordide. Le parallèle d’une émission pour enfants croisée avec la brutalité de la vie réelle, symbolisé par ce personnage improbable et complexe joué par Jim Carrey, est le gros point fort de la série. Sa sincérité et sa naïveté sied parfaitement à l’acteur, qui joue une partition d’une mélancolie presque burlesque.
La critique complète est disponible sur le site DailyMars
Entertainment weekly
par Kristen Baldwin
C'est une histoire prenante sur la beauté et la difficulté de mettre un nom sur la douleur qui nous tourmente.
La critique complète est disponible sur le site Entertainment weekly
L'Express
par Audrey Kucinskas
Malgré des épisodes courts (il y en a 10 pour cette première saison, entre 28 et 32 minutes chacun), la série souffre toutefois de quelques longueurs. Peut-être parce qu'elle oscille parfois maladroitement entre loufoquerie et mélancolie, et que l'intrigue patine un peu. Heureusement, Jim Carrey, qui n'est décidément pas qu'un clown agaçant au visage vert et élastique, y est indéniablement touchant.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Ouest France
par Clémence Olivier
Créée par Dave Holstein, un ancien scénariste de Weeds, cette série est perturbante, car elle nous montre la faiblesse des hommes. Mais elle est d’abord poétique, parfois drôle. Dans le rôle de Jeff Pickles, Jim Carrey rappelle Truman, le personnage en quête d’identité du film The Truman Show mais aussi Joel, l’amoureux dépressif d’Eternal Sunshine of the Spotless Mind, d’un certain Michel Gondry. Tout aussi bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Première
par Charles Martin
Il y a indéniablement quelque chose du Truman Show et d'Eternal Sunshine of the Spotless Mind dans Kidding. Une sorte de croisement lunaire, qui raconterait la face cachée de la télévision et la schizophrénie qu'elle engendre, le difficile équilibre entre le réel et l'imaginaire, entre le sourire de façade et une incommensurable douleur intérieure impossible à effacer... Si la nouvelle série de Showtime est une belle réussite, aussi attachante que déprimante, c'est qu'elle offre un écrin sur mesure au plus grand clown triste du cinéma contemporain.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Pierre Langlais
Kidding est l’une des comédies les plus tristes de ces dernières années, une de ces séries de crise, qui compensent leur noirceur avec une bienveillance et une générosité contagieuses (…) Elle énonce un peu trop lourdement ses intentions, son envie de parler de deuil, de la solitude, de la difficulté de faire le bien dans un monde cynique. Elle parvient cependant à rester légère, grâce à la mise en scène de Gondry, aussi élégante que discrète – on la reconnaît particulièrement dans l’émission de Mr. Pickles, bricolo et poétique – et à de rares mais francs éclats de rires.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Martine Delahaye
Kidding chemine ainsi fort habilement sur un fil ténu : celui qui lie le ridicule d’un père endeuillé habillé en amuseur à l’introspection de l’homme qu’il est, s’interrogeant sur ce que signifie être soi, hors du regard des autres. Pour autant, Kidding n’a rien d’un one-man-show : son créateur, Dave Holstein (I’m Dying up Here, Raising Hope, Weeds), a entouré M. Pickles de personnages qui, eux aussi, à leur manière, cherchent à survivre. Impossible de deviner vers quel horizon nous mène cette série, mais il semble bien que tous vont être contraints de chercher à cerner ce dont leur mal-être est fait.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Vulture
par Jen Chaney
Kidding est plus mélancolique qu'elle n'est drôle, et bien interprétée bien que le développement de certains personnages laisse à désirer. Mais plus important encore, elle permet à Jim Carrey de faire le show.
La critique complète est disponible sur le site Vulture
Les Inrockuptibles
par Olivier Joyard
D’après les premiers épisodes, dont certains réalisés par Michel Gondry, la série n’évite pas l’écueil de la mièvrerie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
USA Today
par Kelly Lawler
Ce n'est pas son humour noir et mature qui fait de Kidding une série différente des autres, mais bien son sujet. Quand l'humour de la série prend un tournure plus fantasque qu'austère, l'ensemble paraît plus léger ; la série gagne en intérêt grâce à ses scènes plus graves. En revanche, quand la série se prend trop au sérieux, elle manque le coche.
La critique complète est disponible sur le site USA Today
New York Times
par James Ponlewozik
Il y a quelque chose de curieux et de touchant dans la manière dont cette famille gère ses émotions. C'est pourquoi il est décevant de constater qu'au fil des épisodes, Kidding prend la tournure d'une comédie noire tel que le câble en produit régulièrement.
La critique complète est disponible sur le site New York Times
Variety
par Caroline Framke
La plupart du temps, Kidding semble bloquée entre plusieurs tonalités et idées qui l'empêchent d'être la série innovante qu'elle aurait pu être. Elle vacille entre une vague de scène sur la nature bienveillante de son personnage et des passages plus dépressif sur fond de crise existentielle, parfois avec brio, d'autre fois avec moins de réussite.
La critique complète est disponible sur le site Variety
TVLine
par Dave Nemetz
Malgré d'émouvantes performances, Kidding est à la fois un drame et une comédie, mais ne parvient jamais à convaincre dans aucun des deux genres.
La critique complète est disponible sur le site TVLine
Metro
C’est signe qu’on est devant une production de qualité quand la première demi-heure d’une saison nous hante durant le reste de la journée. Des pistes de réflexion fascinantes et une beauté tragique, contemplative, comme regarder un accident au ralenti en espérant que les éclats épargnent les victimes. (…) Si vous n’avez qu’une série américaine à visionner cet automne, c’est celle-ci.
TV Guide
C'est l'histoire d'un homme qui souffre mais qui continue de faire passer avant les siens les besoins de ses proches. C'est à la fois inspirant et tragique. Showtime a entre ses mains quelque chose de tout à fait spécial avec Kidding (…).
The Hollywood Reporter
Grâce à son ton auto-référentiel, un exceptionnel travail d'écriture et un remarquable jeu d'acteurs, Kidding – avec un Jim Carrey parfait dans son premier rôle régulier à la télévision depuis deux décennies – est la série de Showtime la plus accomplie et la plus satisfaisante de ces dernières années.
20 Minutes
Kidding est sûrement l’une des comédies les plus dramatiques de ces dernières années. (…) Quoi qu’il arrive, Jim Carrey a, dès ce premier épisode, crevé l’écran. Cheveux longs, costume loufoque, démarche un peu gauche, un style qui lui va parfaitement. Ses mimiques et son jeu sont tout aussi remarquables. Cette nouvelle association entre l’acteur et Michel Gondry tient une nouvelle fois toutes ses promesses.
Brain Damaged
Kidding propose donc avec son pilote une série autour d’un drame familial d’une tristesse inégalée cette saison. L’histoire d’un clown triste, qui dans la bienveillance de son travail va quand même chercher à donner du sens à sa vie malgré le malheur qui l’habite. Une tristesse qui va créer un lien cathartique entre le spectateur et son écran d’emblée, notamment grâce au pouvoir du jeu de Jim Carrey, plus touchant que jamais. Certes la série pour le moment ne propose pas un thème inédit ou peu vu à la télévision, mais s’attaque à un sujet avec une émotion dramatique et comique comme rarement à l’écran.
DailyMars
Kidding démarre sous les meilleurs auspices, pour peu que vous appréciiez cette ambiance mordante et cruelle, noire et parfois sordide. Le parallèle d’une émission pour enfants croisée avec la brutalité de la vie réelle, symbolisé par ce personnage improbable et complexe joué par Jim Carrey, est le gros point fort de la série. Sa sincérité et sa naïveté sied parfaitement à l’acteur, qui joue une partition d’une mélancolie presque burlesque.
Entertainment weekly
C'est une histoire prenante sur la beauté et la difficulté de mettre un nom sur la douleur qui nous tourmente.
L'Express
Malgré des épisodes courts (il y en a 10 pour cette première saison, entre 28 et 32 minutes chacun), la série souffre toutefois de quelques longueurs. Peut-être parce qu'elle oscille parfois maladroitement entre loufoquerie et mélancolie, et que l'intrigue patine un peu. Heureusement, Jim Carrey, qui n'est décidément pas qu'un clown agaçant au visage vert et élastique, y est indéniablement touchant.
Ouest France
Créée par Dave Holstein, un ancien scénariste de Weeds, cette série est perturbante, car elle nous montre la faiblesse des hommes. Mais elle est d’abord poétique, parfois drôle. Dans le rôle de Jeff Pickles, Jim Carrey rappelle Truman, le personnage en quête d’identité du film The Truman Show mais aussi Joel, l’amoureux dépressif d’Eternal Sunshine of the Spotless Mind, d’un certain Michel Gondry. Tout aussi bouleversant.
Première
Il y a indéniablement quelque chose du Truman Show et d'Eternal Sunshine of the Spotless Mind dans Kidding. Une sorte de croisement lunaire, qui raconterait la face cachée de la télévision et la schizophrénie qu'elle engendre, le difficile équilibre entre le réel et l'imaginaire, entre le sourire de façade et une incommensurable douleur intérieure impossible à effacer... Si la nouvelle série de Showtime est une belle réussite, aussi attachante que déprimante, c'est qu'elle offre un écrin sur mesure au plus grand clown triste du cinéma contemporain.
Télérama
Kidding est l’une des comédies les plus tristes de ces dernières années, une de ces séries de crise, qui compensent leur noirceur avec une bienveillance et une générosité contagieuses (…) Elle énonce un peu trop lourdement ses intentions, son envie de parler de deuil, de la solitude, de la difficulté de faire le bien dans un monde cynique. Elle parvient cependant à rester légère, grâce à la mise en scène de Gondry, aussi élégante que discrète – on la reconnaît particulièrement dans l’émission de Mr. Pickles, bricolo et poétique – et à de rares mais francs éclats de rires.
Le Monde
Kidding chemine ainsi fort habilement sur un fil ténu : celui qui lie le ridicule d’un père endeuillé habillé en amuseur à l’introspection de l’homme qu’il est, s’interrogeant sur ce que signifie être soi, hors du regard des autres. Pour autant, Kidding n’a rien d’un one-man-show : son créateur, Dave Holstein (I’m Dying up Here, Raising Hope, Weeds), a entouré M. Pickles de personnages qui, eux aussi, à leur manière, cherchent à survivre. Impossible de deviner vers quel horizon nous mène cette série, mais il semble bien que tous vont être contraints de chercher à cerner ce dont leur mal-être est fait.
Vulture
Kidding est plus mélancolique qu'elle n'est drôle, et bien interprétée bien que le développement de certains personnages laisse à désirer. Mais plus important encore, elle permet à Jim Carrey de faire le show.
Les Inrockuptibles
D’après les premiers épisodes, dont certains réalisés par Michel Gondry, la série n’évite pas l’écueil de la mièvrerie.
USA Today
Ce n'est pas son humour noir et mature qui fait de Kidding une série différente des autres, mais bien son sujet. Quand l'humour de la série prend un tournure plus fantasque qu'austère, l'ensemble paraît plus léger ; la série gagne en intérêt grâce à ses scènes plus graves. En revanche, quand la série se prend trop au sérieux, elle manque le coche.
New York Times
Il y a quelque chose de curieux et de touchant dans la manière dont cette famille gère ses émotions. C'est pourquoi il est décevant de constater qu'au fil des épisodes, Kidding prend la tournure d'une comédie noire tel que le câble en produit régulièrement.
Variety
La plupart du temps, Kidding semble bloquée entre plusieurs tonalités et idées qui l'empêchent d'être la série innovante qu'elle aurait pu être. Elle vacille entre une vague de scène sur la nature bienveillante de son personnage et des passages plus dépressif sur fond de crise existentielle, parfois avec brio, d'autre fois avec moins de réussite.
TVLine
Malgré d'émouvantes performances, Kidding est à la fois un drame et une comédie, mais ne parvient jamais à convaincre dans aucun des deux genres.